Réponse :
5/5 Chiré
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Les compagnons de Taberdga
4/5 Gerard
C'est l'histoire vraie de mes camarades, à laquelle j'ai participé
Comprendre ce que furent les combats
4/5 Revue des cercles d'études d'Angers
....Le récit s'achève précisément par un honnête examen de conscience de l'auteur qui a vu l’œuvre, à laquelle il a cru, se dissoudre, après 1961, par décision politique, Alors qu'il avait le sentiment d'être vainqueur. Récit sans prétention littéraire, tranche de vie, on ne peut que le recommander chaudement à la jeunesse régulièrement abusée par des éducateurs peu virils ; elle leur permettra de comprendre ce que furent les combats d'Algérie aux petits échelons et leur donnera, peut-être, le goût de l'effort gratuit qui ennoblit l'homme. ( numéro 1, octobre 1973 ).
Authenticité
4/5 Revue des cercles d'études d'Angers
Richard Marillier paraît avoir été l'un d'eux. Son récit : LES COMPAGNONS DE TABERDGA, relate quelques épisodes de l'action d'un commando de chasse dans les Aurès-Némentcha. Cette région, la plus haute de l'Algérie, peuplée de Berbères frustes, les " Chaouïa ", a toujours été turbulente et à tendance particulariste. Déjà, les Romains durent maintenir, sur le pourtour des Aurès, d'importantes garnisons. De 1954 à 1961, des bandes, certes en lutte contre nous, n'obéissaient pas pour autant à l'Organisation du Front de Libération, c'est dire l'âpreté des combats ! L'authenticité caractérise le récit de l'auteur. Authenticité des personnages aux noms à peine camouflés pour lesquels il est montré plus d'indulgence que de méchanceté, nous pouvons en témoigner ; authenticité des scènes vécues sur le terrain, quelquefois choquantes pour les raffinés, contées dans ce style haché et concis des soldats ; authenticité des mœurs militaires, avec les mesquineries inhérentes à toute société fermée : les jalousies, antipathies, "vacheries", n'allant d'ailleurs jamais très loin, car la camaraderie n'est pas un vain mot. Non, ce livre 'est pas fait d'images d'Epinal. (suite).
Contre-guérilla
4/5 Revue des cercles d'études d'Angers
La guerre d'Algérie, eu égard aux dimensions du théâtre montagneux d'opérations sur lequel elle se déroulait et aux effectifs en présence, a mis en vedette un type de lutte qui, s'il n'était pas nouveau, permit du moins aux Français de mettre au point une tactique efficace de contre-guerilla : celle des commandos de chasse. De la valeur d'une compagnie légère, ces commandos mixtes de Français métropolitains et de Harkis sélectionnés avaient pour but de rendre la vie impossible aux bandes rebelles, de les obliger à bouger, et bien entendu de les détruire. Lancées seules dans le djebel pour surprendre l'adversaire, surprises quelquefois elles-mêmes, reliées au commandement par radio mais s'imposant silence le plus souvent pour ne pas donner l'alerte, appuyées si besoin par l'aviation et les hélicoptères, mais pas de nuit, ces unités d'élite devaient avoir des chefs en acier trempé, vivant avec et comme leurs hommes, sachant obtenir et exploiter le renseignement, ne craignant pas les coups durs, bref des "caractères", désintéressés, se battant pour la gloire de leur troupe, en somme pour le "sport". (suite).
demande de traduire
3/5 Mebarkia Abdalkader
salut je veux traduire cet livre vers l'arabe mais je n'ai pas une copie c'est vous êtes intéressé pour cette idées aidez moi et envoyez le vers aek_meb@yahoo.fr
Merci.
