Les collines de l´espoir - Dély-Brahim, premier village français en Algérie, 1830-1962
Référence : 24632
2 avis
Date de parution : 25 juin 2006
Éditeur : HUGUES DE CHIVRE (EDITIONS)
EAN 13 : 9782916043081
Nb de pages : 224
26.00 €
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Description
Comme l'a écrit Marcel Proust :
"Si notre vie est vagabonde, notre mémoire est sédentaire."
Arlette Schneider, professeur d'espagnol à Bordeaux, de famille pieds-noirs depuis quatre générations, a vécu en Algérie pendant quinze ans. Portée par le souvenir, les émotions, 43 ans plus tard, elle nous retrace l'histoire de la conquête française en nous racontant la vie dure, passionnée, émouvante et colorée de ses ancêtres partis de France depuis 1830.
Hommes courageux, persévérants, ne cédant point au découragement, ils réussissent à reconstituer un puzzle harmonieux et à bâtir sur un point de la carte géographique de l'Algérie, sur "les collines de l'espoir", le premier village français, Dély-Ibrahim avec la première église.
La vie bucolique est née des cendres de l'histoire. Elle a pansé les plaies pour trouver la sérénité jusqu'en 1962.
Récits, portraits, photos, cartes postales, peintures brodent admirablement les lieux d'une mémoire, celle des tout premiers pas de la colonisation française en Algérie.
A travers un vayage autobiographique jonché d'anecdotes, l'écrivain nous fait rencontrer des femmes et des hommes qu'elle a côtoyés jusqu'en 1962.
Elle évoque également les coutumes, décrit les animaux et les paysages fabuleux de sa terre natale.
Le lecteur, présent à ses côtés, est chaleureusement invité à la grande et magnifique promenade ensoleillée. Balayé par l'air frais des eucalyptus et des palmiers dattiers, il traversera les rues du petit village.
"C'était beau là-bas pour qu'après tant d'années, je ne puisse l'oublier !"
"Si notre vie est vagabonde, notre mémoire est sédentaire."
Arlette Schneider, professeur d'espagnol à Bordeaux, de famille pieds-noirs depuis quatre générations, a vécu en Algérie pendant quinze ans. Portée par le souvenir, les émotions, 43 ans plus tard, elle nous retrace l'histoire de la conquête française en nous racontant la vie dure, passionnée, émouvante et colorée de ses ancêtres partis de France depuis 1830.
Hommes courageux, persévérants, ne cédant point au découragement, ils réussissent à reconstituer un puzzle harmonieux et à bâtir sur un point de la carte géographique de l'Algérie, sur "les collines de l'espoir", le premier village français, Dély-Ibrahim avec la première église.
La vie bucolique est née des cendres de l'histoire. Elle a pansé les plaies pour trouver la sérénité jusqu'en 1962.
Récits, portraits, photos, cartes postales, peintures brodent admirablement les lieux d'une mémoire, celle des tout premiers pas de la colonisation française en Algérie.
A travers un vayage autobiographique jonché d'anecdotes, l'écrivain nous fait rencontrer des femmes et des hommes qu'elle a côtoyés jusqu'en 1962.
Elle évoque également les coutumes, décrit les animaux et les paysages fabuleux de sa terre natale.
Le lecteur, présent à ses côtés, est chaleureusement invité à la grande et magnifique promenade ensoleillée. Balayé par l'air frais des eucalyptus et des palmiers dattiers, il traversera les rues du petit village.
"C'était beau là-bas pour qu'après tant d'années, je ne puisse l'oublier !"
Titre | Les collines de l´espoir - Dély-Brahim, premier village français en Algérie, 1830-1962 |
Auteur | SCHNEIDER (Arlette) |
Éditeur | HUGUES DE CHIVRE (EDITIONS) |
Date de parution | 25 juin 2006 |
Nb de pages | 224 |
EAN 13 | 9782916043081 |
Présentation | Broché |
Épaisseur (en mm) | 19 |
Largeur (en mm) | 165 |
Hauteur (en mm) | 235 |
Poids (en Kg) | 0.39 |
Biographie
Arlette SCHNEIDER (1946 - ) Arlette Schneider est née à Alger en 1946. Elle vivra quinze ans dans le premier village français, Dély-Ibrahim, avant de rejoindre la France en 1962, lors de l'exode des Pieds-noirs. Voir plus
Critique du libraire
Dély-Brahim, premier village français en Algérie, 1830-1962. Illustré de dessins, gravures et photographies. Arlette Schneider, issue d´une famille pied-noir (depuis 4 générations), a vécu sur la terre algérienne pendant 15 ans jusqu´en 1962. Elle retrace l´histoire de la conquête française et raconte la vie dure, passionnée, émouvante et colorée de ses ancêtres qui ont quitté la métropole en 1830.
Les avis clients
Retour aux sources !
5/5 L'Algérianiste.
.----. Les collines de l'espoir pourraient être le titre d'un roman, mais le lecteur y découvrira tout autre chose : un livre d'histoire bien documenté, illustré de nombreuses reproductions de textes glanés auprès des Archives nationales et de cartes postales anciennes. Evocation émouvante de souvenirs, anecdotes et peinture d'une belle galerie de portraits agrémentent cet ouvrage dans lequel le retour aux sources souhaité par Arlette Schneider reste plein de simplicité et de fraîcheur. Réel espoir de ces premiers habitants de jouir d'une vie moins difficile, espoir peut-être déçu pour ces musulmans et ces Européens de ne pas avoir pu continuer à vivre ensemble, espoir enfin de bâtir un monde serein, plus juste et plus fraternel. [ Signé Christian Graille dans " L'Algérianiste, numéro 117 - mars 2007 ]
Nostalgie !
5/5 L'Algérianiste .
.----. Récit quelque peu nostalgique sur ce village du Sahel tant aimé et qui fut le premier édifié en Algérie. La vie de la narratrice y fut douce, paisible, heureuse et chargée d'émotions. C'est sa grand-mère maternelle, Mélanie, avec laquelle elle éprouvait les plus tendres affinités qui lui racontera les premiers épisodes de la conquête et bercera ses rêves d'enfant : la grande misère des premiers arrivants, les conditions climatiques de ces terres inhospitalières ruinant leurs espérances, mais aussi leur santé ( fièvres, choléra, paludisme ), ce petit village qui éprouvera tant de mal à se construire mais aussi cette exceptionnelle solidarité qui unira tous ces pionniers, les renforçant dans leurs convictions de lutter encore avec un exceptionnel courage et une farouche détermination. ( suite ... ).