Les cavaliers de Roissy

D'une Gare au soleil la critique avait dit : "Ce roman témoigne d'un tempérament, d'une expérience, d'un talent décidés" (Les Nouvelles Littéraires) ; "Un roman étrangement actuel, attachant, lucide" (Marie Claire) ; "Un très grand talent" (Le Dauphiné Libéré) ; "II faut lire cette très simple histoire" (La Revue de Paris) ; "Enfin un roman, un vrai" (Ouest France)...
Des Cavaliers de Roissy l'écrivain Paul Vialar dit : "Jacques Archambault a choisi de nous raconter une histoire avec des personnages vivants, sensibles, concernés par les choses et les événements ; il nous peint leurs rapports, leurs espoirs et leurs peines. De plus il n'a pas rompu le lien avec la nature. Il sait ce qu'elle est, ce qu'elle doit demeurer pour un vivant, ce que peut être, par exemple, à côté des milliers de chevaux de Concorde, un seul cheval que l 'on soigne et qu'on aime... Il nous prouve que ce qui pourrait être inhumain demeure malgré tout et contre tout humain. C'est là, à mes yeux, en dehors des péripéties passionnantes de son expérience, ce qui fait la véritable valeur de son livre", Mais aussi quelle histoire ! Celle de la construction d'un des plus modernes aéroports du monde.
Jacques Archambault a connu les lourdes années de l'occupation avec un merveilleux professeur : l 'écrivain André Dhôtel. Puis, ingénieur, il a travaillé aussi bien dans les Andes Péruviennes que dans le golfe du Bengale. Maintenant responsable aux Relations Publiques d'Aéroport de Paris, il a intimement vécu cette aventure à travers la plaine de la "Vieille France" de Roissy. Son prochain roman Requiem pour Metlaoui paraîtra vers la fin de l'année.