Un livre de méditation et d'action !
5/5 Culture et Lecture des Jeunes.
.----. Plus qu'un diagnostic sur notre société, ces pages proposent un engagement lucide et fort contre le retour en arrière de la barbarie et de la révolution.
Il était difficile d'enfermer dans les dimensions d'un petit livre de poche ( note : il avait ce format dans la première édition ) une telle somme de réflexions sur la civilisation et les conditions de la paix dans nos cités. Pourtant l'ouvrage se lit d'un trait. Non seulement sa lecture est captivante mais incline à l'étude le crayon à la main. Un peu abstrait parfois, à cause de l'immensité du sujet lui-même, c'est un livre de méditation et d'action.
POUR QUI CE LIVRE ? : Pour tout français à partir de 15 ans. [ Numéro XVI - grandes vacances 1971 ]
Essai de synthèse !
5/5 Culture et Lecture des Jeunes .
.----. Essai de synthèse des tendances à l'oeuvre dans notre société de la fin du XXe siècle. Essai de clarification des principes en cause et de leurs conséquences profondes. Essai d'élaboration d'un style d'action nouveau, bien adapté aux nécessités vitales de la petite et de la grande patrie.
Ce livre est un appel aux combattants : " Ce n'est pas seulement à l'heure du danger majeur, la guerre, qu'il faut servir son pays. Ce n'est pas seulement avec les armes qu'il faut se battre pour lui. Chacun doit mettre à son service sa pensée et son cœur ". Appel pressant donc aux hommes d'élite pour qu'ils réalisent une action civique en tous lieux, milieux et circonstances. ( suite ... )
Ce livre est un appel !
5/5 Culture et Lecture des Jeunes .
.----. L'enjeu c'est l'ensemble des choses qui nous a été légué par les générations passées de notre pays. C'est un style de vie, expression haute de la civilisation. C'est aussi la barbarie totalitaire des forces marxistes à l'oeuvre partout. C'est en fin de compte ce qui appartiendra au vainqueur du combat présent dans chaque famille, chaque communauté sociale, chaque patrie comme chaque continent.
L'enjeu ce sont nos libertés et notre âme. - Ce livre est un essai. Ce livre est un appel. ( suite ... )
Vingt ans de luttes.
4/5 Revue des cercles d'études d'Angers
.----. La première édition de ce livre est de 1971 sous la marque : "Editions O.R.A.C.--- "Ce n'est pas pour des intérêts sordides que nous nous sommes battus ". Cette phrase se trouve dans l'introduction à L'ENJEU, petit livre qu'une équipe d'anciens combattants de l'Union Française vient d'écrire pour montrer ce qui doit être défendu dans notre société en folie, et justifier à postériori vingt ans de luttes.
Existe-t-il une civilisation idéale vers laquelle toutes devraient tendre? Les sociétés civilisées se valent-elles? La nôtre est-elle la meilleure ? Si nous devons nous battre pour elle, encore faut-il en bien connaître les valeurs.
C'est à ces valeurs qu'est consacrée la première partie du livre. L'enjeu du combat, c'est celui de "la personne" dans sa dignité et dans sa responsabilité. Deux conceptions de l'homme s'affrontent dans le monde d'aujourd'hui : l'homme, sujet (spirituel s'entend), et l'homme, objet. "La dignité humaine c'est le respect du droit que la nature donne à l'homme de se mouvoir lui-même en vue de sa fin"
La seconde partie désigne les forces à combattre : le totalitarisme parce que l'économie repose sur une déshumanisation, l'homme robot ; l'esprit de subversion qui veut la désintégration de la société et la révolution continue parce que tout ce qui enracine l'homme est une "aliénation"
Alors que faire? c'est l'objet de la dernière partie. Elle présente des lacunes. "Si le but n'est pas de rétablir un système politique et social... mais de rendre à la société sa santé" les auteurs n'en affirment pas moins que pour définir et promouvoir un "ordre", une formation doctrinale est nécessaire. Mais alors, quelle doctrine? Le texte ne le précise pas. Ceci ne l'empêche pas de déplorer dans ce domaine l'ignorance de tant de chefs et d'élites, qui les fait facilement manœuvrer par les idéologues. Les méthodes d'action préconisées ne soulèvent pas d'objection. Il faut agir par les corps intermédiaires, les médiateurs naturels, les réseaux sociaux, par capillarité, en se manifestant le moins possible et en évitant les procédés marxistes, fruits du pragmatisme pur, alors que les fins diffèrent et ne justifient pas tous les moyens.
Si cette remarquable étude appelle une réserve : celle de vouloir construire sans Dieu, si elle nous laisse sur notre faim, elle a le mérite de porter à la réflexion en posant bien le problème de la subversion et les moyens de l'enrayer. ( numéro 1, octobre 1971 ).