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Le vrai Salazar

Référence : 30755
2 avis
Date de parution : 1 octobre 1995
Auteur : MEGEVAND (Louis)
EAN 13 : 9782723311823
Nb de pages : 224
13.50
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Description
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Sommaire :
Pays natal - Parents - Premières années
Long séjour à Viseu
Etudiant à Coïmbre
Action chrétienne et civique
Professeur à l'Université de Coïmbre
Activités diverses
Entrées au Gouvernement
Le Ministre des Finances
Chef du Gouvernement
- Nouvelle Constitution
- Réalisations
Salazar et les ouvriers
La politique de Salazar
Salazar est-il un dictateur ?
L'opposition
La personne de Salazar
Ce que les Français pensent de Salazar et de son oeuvre
Les Portugais tiennent à Salazar
Et... après Salazar ?
TitreLe vrai Salazar
Auteur MEGEVAND (Louis)
ÉditeurNOUVELLES EDITIONS LATINES (NEL EDITIONS)
Date de parution1 octobre 1995
Nb de pages224
EAN 139782723311823
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)15
Largeur (en mm)120
Hauteur (en mm)188
Poids (en Kg)0.20
Critique du libraire
Avec de nombreuses photos. Pages à coupées.
Les avis clients
Un homme hors du commun !
5/5 Culture et Lectures des Jeunes .
.----. D'une façon générale, l'intérêt d'une biographie augmente au fur et à mesure que l'on tourne les pages, car la personnalité de celui dont le biographe raconte la vie est cernée, de plus en plus, au fil des chapitres. Quand il s'agit d'un homme hors du commun, comme Salazar, cet intérêt est d'autant plus grand. Aujourd'hui, quelques semaines après sa mort, il prend un relief peu ordinaire. L'auteur ne cache pa sa sympathie pour l'homme en lui-même, son admiration pour l'oeuvre. Louis Mégevand est impartial et objectif ; il s'appuie sur des faits facilement contrôlables. Son livre date de 1958. Il ne fait donc pas état du chemin parcouru depuis 12 ans par le Portugal, et qui doit être considérable, si l'on en juge par celui parcouru de 1928 à 1958. Un pareil livre donne l'envie de connaître ce pays et son peuple qui a eu l'inestimable chance de posséder un tel chef et qui, espérons-le, aura des continuateurs dignes de lui... Antonio de Oliveira Salazar - ce dernier nom étant le nom de jeune fille de sa mère - est né dans une famille pauvre, profondément chrétienne. Elevé par une mère admirable, très jeune il a connu les valeurs irremplaçables qui dans tous les temps et dans tous les lieux garderont leur prédominance : Dieu "premier servi" - patrie - travail - famille. Très jeune également, il fait preuve de dons remarquables. Ces dons, il les mettra au service de sa patrie dont il a conduit le redressement d'une façon qui a "étonné le monde" comme le dit l'auteur. Appelé au gouvernement en 1928 comme ministre des finances il deviendra peu après chef du gouvernement. Il refusera toujours d'être président de la République. La raison avouée est qu'il sert mieux son pays à ce poste de chef de gouvernement, l'inavouée est qu'il déteste les honneurs. "Il aime le peuple, mais la foule ne l'intéresse pas". "A la base.... il y a une peu commune humilité, celle qui fait les vrais grands hommes." Salazar s'est toute sa vie appuyé sur "la toujours vivante spiritualité de l'Eglise et son enseignement constamment sûr, (qui) doivent continuer à guider les peuples". Ce sont ses propres paroles en 1950. Cette vie est un bel exemple de civisme, c'est pourquoi nous recommandons ce livre à tous. POUR QUI CE LIVRE ? 18 ans. [ " Culture et Lecture des Jeunes " , numéro XV - Pâques 1971 ]
Extraordinaire aventure.
5/5 Lectures Françaises-1958.
.----. Cet ouvrage est le résultat de longues et intimes conversations avec Salazar et d'enquêtes soigneuses sur les lieux comme auprès des témoins de son existence. D'une éminente sagesse, d'une profonde modestie, d'un désintéressement absolu, Salazar était bien l'homme de l'extraordinaire aventure qu'il a vécue. Sa naissance ne l'y prédestinait pas, mais dès son enfance ses remarquables qualités attirèrent l'attention. Et lorsque, conduit par l'anarchie au bord de l'abîme, son pays chercha le salut, il apparut aussitôt comme le seul capable d'assumer une tâche aussi difficile. Le livre de M. Louis Megevand est passionnant à lire et fructueux à méditer. ( Numéro 13; mars 1958 ;notice non signée mais probablement écrite par Henry Coston ).