Le Saint Graal ou le vrai Calice de Jésus-Christ
Référence : 87049
5 avis
Date de parution : 13 mars 2015
Éditeur : CHIRE (EDITIONS DE)
EAN 13 : 9782851901897
Nb de pages : 128
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Description
Cette étude du Calice vénéré à la Cathédrale de Valencia, en Espagne, se réfère essentiellement aux sources historiques et scientifiques dont nous disposons pour conclure à l'authenticité de cette précieuse Relique de la Passion de Jésus-Christ. S'y ajoutent les témoignages de l'art pictural, de la dévotion chrétienne et de la liturgie de la Messe concernant ce Calice, qui a fait rêver tant de générations et pourtant si inconnu.
L'auteur, prêtre catholique, ne pouvait analyser l'écrin sans se référer aussi au joyau : le Précieux Sang de Notre Seigneur Jésus-Christ. En ces temps où la paix des âmes et des nations fait si cruellement défaut, il est urgent de se rappeler la phrase de Saint Paul : Jésus-Christ a pacifié toutes choses par le Sang de sa Croix (Épître aux Colossiens, I, 20). Toutes choses, y compris la société.
« On ne bâtira pas la cité autrement que Dieu ne l'a bâtie ; on n'édifiera pas la société, si l'Eglise n'en jette les bases et ne dirige les travaux ; non, la civilisation n'est plus à inventer ni la cité nouvelle à bâtir dans les nuées. Elle a été, elle est ; c'est la civilisation chrétienne, c'est la cité catholique. Il ne s'agit que de l'instaurer et de la restaurer sans cesse sur ses fondements naturels et divins contre les attaques toujours renaissantes de l'utopie malsaine, de la révolte et de l'impiété : Omnia instaurare in Christo, tout restaurer dans le Christ (Saint Pie X).
L'auteur, prêtre catholique, ne pouvait analyser l'écrin sans se référer aussi au joyau : le Précieux Sang de Notre Seigneur Jésus-Christ. En ces temps où la paix des âmes et des nations fait si cruellement défaut, il est urgent de se rappeler la phrase de Saint Paul : Jésus-Christ a pacifié toutes choses par le Sang de sa Croix (Épître aux Colossiens, I, 20). Toutes choses, y compris la société.
« On ne bâtira pas la cité autrement que Dieu ne l'a bâtie ; on n'édifiera pas la société, si l'Eglise n'en jette les bases et ne dirige les travaux ; non, la civilisation n'est plus à inventer ni la cité nouvelle à bâtir dans les nuées. Elle a été, elle est ; c'est la civilisation chrétienne, c'est la cité catholique. Il ne s'agit que de l'instaurer et de la restaurer sans cesse sur ses fondements naturels et divins contre les attaques toujours renaissantes de l'utopie malsaine, de la révolte et de l'impiété : Omnia instaurare in Christo, tout restaurer dans le Christ (Saint Pie X).
Titre | Le Saint Graal ou le vrai Calice de Jésus-Christ |
Auteur | LABOUCHE (Abbé Bertrand) |
Éditeur | CHIRE (EDITIONS DE) |
Date de parution | 13 mars 2015 |
Nb de pages | 128 |
EAN 13 | 9782851901897 |
Présentation | Broché |
Épaisseur (en mm) | 8 |
Largeur (en mm) | 135 |
Hauteur (en mm) | 210 |
Poids (en Kg) | 0.18 |
Biographie
Abbé Bertrand LABOUCHE L'abbé Labouche, ordonné prêtre le 29 juin 1987 par S.E. Mgr Marcel Lefebvre, fut nommé la même année au Portugal où il exerça son apostolat jusqu'en 1997. Voir plus
Critique du libraire
16 pages de photos couleurs. Préface de Mgr Tissier de Mallerais. La quête du Graal ! L'Abbé Labouche, chevalier de la Table ronde moderne, est parti en mission pour le plus grand plaisir de ses lecteurs. Pas de formules alchimistes, ni de décryptage de symboles ésotériques, non, rien de ces aberrations si souvent propagées par les sectes secrètes, vous ne trouverez ici qu'une exposition claire et limpide des faits prouvés par des documents historiques et les seuls mages auxquels fait appel l'abbé Labouche ne sont que d'éminents historiens, professeurs, scientifiques... Le Graal, ce Calice utilisé par Notre Seigneur lors de la dernière Cène, objet des fantasmagories de romancier, vous attend tout simplement à la cathédrale de Valence en Espagne. C'est ce que démontre ce petit ouvrage extraordinaire qui retrace le parcours du Vrai Calice des mains du Christ à celle de saint Pierre, saint Laurent, Jean-Paul II et Benoît XVI !
Les avis clients
Fin de l'ésotérisme...
5/5 siegfried
et du roman de courtoisie chevaleresque teintée d'idéalisme religieux ! Scientifique, historique, vrai. Authentique ! J'ai eu le privilège d'entendre son auteur en parler, c'est merveilleux d'avoir pû conserver une telle relique. Beau sujet ! Bien vu DPF !
Une solide documentation
5/5 Mouvements religieux N° 423-424
L’auteur de ce livre a été ordonné prêtre par Mgr. Lefèbvre en 1987 au sein de la Fraternité Sacerdotale Saint Pie X, séparée de l’Église catholique romaine. Il a été professeur au séminaire de cette fraternité en Argentine de 2005 à 2012. L’ouvrage a été publié par une entreprise attachée au catholicisme le plus traditionnel. Il a pour objectif de présenter le calice conservé en Espagne dans la cathédrale de Valence, en Espagne, comme étant le saint Graal dans lequel Jésus a transformé le vin en son sang peu de temps avant sa passion.
Le livre repose sur une solide documentation qui donne beaucoup d’informations sur le calice de Valence et la dévotion qui lui est rendue, les autres calices qu’on prétend être le Graal, les calices en général, leurs représentations dans l’art, et le sang du Christ dans la liturgie.
L’auteur rejette toutes les identifications d’autres calices au Graal. Les seules coupes authentiques sont d’après lui le vase d’Antioche que Jésus aurait utilisé au début de la cène et, donc, la coupe de Valence.
Évidemment, il faut convaincre le lecteur que le calice de Valence est bien le saint Graal.
L’auteur en donne une description dont il tire la conclusion qu’il est composé de plusieurs éléments élaborés entre le premier et le quatorzième siècle, moment où ils ont été définitivement assemblés. Seule la coupe proprement dite aurait été utilisée par Jésus. D’autres objets semblables retrouvés par l’archéologie donnent une vraisemblance à sa datation supposée. C’est une coupe de grande valeur en pierre fine et il serait impossible qu’elle ait été égarée comme n’importe quel vulgaire récipient.
L’itinéraire du calice est retracé : selon l’abbé Labouche il est vraisemblable que saint Pierre l’ait emmené à Rome. Il note que le canon romain de la messe contient la formule « ce précieux calice » alors que la liturgie grecque de saint Jean Chrysostome mentionne « la coupe » ; selon l’auteur le « ce » au lieu du « la » prouverait que le calice utilisé à Rome est celui utilisé par le Christ. Le dernier pape l’ayant utilisé fut Sixte II (257-258) qui, pendant une persécution, l’a confié à saint Laurent qui avant son martyre l’aurait envoyé en Espagne, à Huesca.
De là, l’objet aurait été mis à l’abri en divers lieux des Pyrénées avant d’être conservé au monastère de Saint Jean de la Pena de 1071 à 1399, dans lequel le légat pontifical a introduit le rite romain. Finalement le roi d’Aragon Alphonse V l’a transféré à Valence.
Dans quelle mesure l’Histoire peut-elle prendre en compte ce récit ?
L’existence du calice de Valence n’est pas mentionnée avant le XIIème siècle pour ce qui concerne sa localisation. Auparavant la mention du Graal en Espagne est liée à l’hagiographie de saint Laurent dont la plus ancienne version incluant l’épisode du calice n’est pas antérieure au VIème s. Donc aucune attestation contemporaine des faits. Pour remonter plus haut dans le temps, l’hypothèse que saint Pierre ait amené le Graal à Rome repose sur le fait que l’Église catholique le considère comme son premier chef et sur la différence entre un « ce » et un « la » dans la liturgie de la messe. C’est trop peu pour être déterminant.
L’abbé Labouche a l’honnêteté de reconnaître l’insuffisance de ses sources. Il écrit que son raisonnement appuyé par la logique peut être crédible. Il a raison de considérer comme une légende le récit selon lequel le roi Titurel aurait amené le Graal au monastère hispanique de Montsalvat qui pourrait être celui de Saint Jean de la Pena : l’Histoire ne connaît pas de roi Titurel, un personnage de la geste des chevaliers de la table ronde. Le fait que le calice de Valence soit celui dans lequel a transformé le vin en son sang est du domaine de l’hypothèse et non de la certitude.
On peut lire ce livre pour s’informer sur les calices et notamment celui de Valence. Le reste relève de la croyance. Mais les croyants sont les premiers auxquels l’auteur s’adresse.
Bernard Blandre
Valence ?
5/5 Bibliothèque de combat.Le 06/08/2015.
.----. Le Saint Graal se trouve en Espagne ! . ******. De Jérusalem à Rome (...) Il est impossible, affirme le professeur Beltran ( El santo Caliz de la catedral de Valencia - 1984), que le récipient qui servit à l'institution d'un si auguste sacrement ait pu se perdre. Il est vraisemblable, renchérit Don Augustin de Sales, que Saint Pierre, tête visible de l'Eglise, l'emmena à Rome après l'Assomption de la Vierge Mère qui le tenait en grande dévotion dans son oratoire avec d'autres reliques, souffrant de nouveau avec elle la douloureuse passion de son Fils. Il n'est pas non plus invraisemblable que Saint Jean, lui célébrant la messe tous les jours, ait consacré dans ce Calice et communié la Vierge avec lui. Quand elle eut laissé cette terre en présence des saints Apôtres et disciples, il est très naturel qu'ils durent répartir entre eux ses reliques et celles de son divin Fils. Il est parfaitement logique et raisonnable de penser que le précieux Calice ait alors été confié à Saint Pierre, chef de l'Eglise, et qu'il l'emmena avec lui à Rome. Un indice capital va nous le montrer. Un adjectif démonstratif du canon Romain Le cœur de la liturgie de la Messe, d'institution apostolique, immuable par conséquent, est le Canon Romain, où se trouvent les prières de la consécration, par lesquelles le prêtre opère la transsubstantiation des espèces du pain et du vin au Corps et au Sang de Notre Seigneur Jésus-Christ. Or les paroles qui précèdent immédiatement la consécration du vin sont les suivantes : "simili modo, postquam coenatum est, accipiens et HUNC proeclarum Calicem in sanctas ac venerabiles manus suas" : "De même, après la Cène, Jésus prit entre ses mains saintes et vénérables CE précieux Calice." Mais le rite grec de la liturgie de Saint Jean Chrysostome dit simplement : "De même, il prit LA coupe (to poterion) de vin, en disant...". Pourquoi la tradition romaine précise-t-elle CE Calice à la différence de la tradition grecque, sinon parce que cette dernière ne le possédait pas, à l'inverse de l'Eglise de Rome ? Ainsi les successeurs de Saint Pierre, célébrant avec ce même Calice, reprirent la même formule, conservée dans le Canon Romain jusqu'à nos jours. Le dernier Pape ayant célébré à Rome les saints Mystères avec ce Calice fut Saint Sixte II, élu le 30 août 257 et martyrisé le 6 août 258. Le diacre à qui il avait confié la gestion des biens de l'Eglise était Saint Laurent, martyrisé le 10 août 258. Après de multiples péripéties racontées dans l'ouvrage, le Saint Graal est désormais conservé depuis 1437 en la Cathédrale Sainte-Marie de Valence (Espagne).
Intéressé
5/5 Ludovic
A l'approche du temps de la Passion et de la Semaine Sainte, une bonne suggestion de lecture. Je vais le commander sans tarder !
Trés intéressant
5/5 Xavier
Ayant fait une relecture des épreuves, l'étude est très bien menée, un sujet plus que passionnant. A lire...