Claude MOUTON-RAIMBAULT (1932 - ) A partir de l'âge de 7 ans, il a été transplanté à l'autre bout de l'Algérie, dans le petit bled de Sédrata, dans le Constantinois, où il a passé une partie de son enfance. Après des études au lycée de Bône, puis au lycée de Constantine et au petit séminaire de cette même ville, il devint clerc de notaire, puis journaliste à La Dépêche de Constantine. Il aurait voulu faire une carrière littéraire, mais les événements d'Algérie en décidèrent autrement. Pour défendre sa province natale, il adhère au M.P.13 de Robert Martel. Ce qui le conduit à la clandestinité, à la prison, enfin à la présentation du livre La Contrerévolution en Algérie, en 1972. Il avait déjà publié, aux Editions Saint Michel, le Conte d'un clandestin, livre épuisé depuis longtemps.
Cette même année 1972, date de la mort de Claire Ferchaud, le voit journaliste à Nantes, après avoir exercé à Pau. Son arrivée dans l'Ouest français le conduit à mener une longue enquête sur l'expiatrice de Loublande et sur ses messages relatifs au Drapeau du Sacré-C œur et à la Messe Perpétuelle. En 25 ans, il publie cinq livres sur ce sujet. Mais il n'oublie pas sa province natale, avec Les Oranges de l'Exil (poèmes) et Notre-Dame de l'Atlas, où il consigne ses souvenirs. Parallèlement, il s'intéresse à la vie d'un jeune héros, Jean Collé et plaide la cause du Maréchal Pétain et du Général de Sonis. Voir plus
Le moyen du salut
Référence : 30374
3 avis
Date de parution : 1 janvier 1974
Éditeur : CHIRE (EDITIONS DE)
EAN 13 : 9782851900067
Nb de pages : 108
8.40 €
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Description
Le 21 mars 1917, un fait trop méconnu et pourtant historique s'est produit en France. Une jeune fille de 20 ans, messagère du Sacré-Cœur, arrivant de sa Vendée natale, était reçue à Paris par le Président de la République Raymond Poincaré. Auparavant, le 1er janvier de la même année, elle lui avait adressé une lettre accompagnée de détails intimes que lui seul connaissait et qui accréditait le caractère divin de la démarche. De la même manière, Jeanne d'Arc avait approché le dauphin Charles VII.
Claire Ferchaud dit à Poincaré : "C'est Dieu qui m'envoie pour vous faire connaître ses volontés, à vous, M. le Président. Le Sacré-Cœur s'adresse à vous. Il veut que la France officielle reconnaisse Dieu pour Maître, et Il veut pour nos temps actuels que son Cœur soit peint sur nos couleurs nationales, et c'est du Chef d'Etat qu'Il attend cet hommage." De la même manière encore, Sainte Marguerite-Marie s'était adressée à Louis XIV.
Mais, comme le Roi, le Président ne donna aucune suite à la demande du Ciel. Alors, pour "payer" le refus de la France officielle, l'humble messagère s'enferma dans un couvent à Loublande (Deux-Sèvres) et devint avec quelques compagnes, une réparatrice-expiatrice. Claire Ferchaud est morte le 29 janvier 1972. Sa vie, qui ne fut qu'une longue agonie, ressemble à un échec. Mais voilà qu'elle laisse un second message qui surpasse le premier et qui peut se résumer ainsi : "La France officielle ayant refusé le Sacré-Cœur, Dieu triomphera seul par la Messe Perpétuelle". Claire Ferchaud se tourne vers le Pape. Que le Saint-Père donne l'autorisation de célébrer la Messe Perpétuelle (car celle-ci ne peut-être qu'institution d'Eglise) et le monde est sauvé !... Le Vatican est au courant. Faudra-t-il atteindre le fond du gouffre pour que soit enfin posée la pierre de la résurrection ?... Claire Ferchaud disait que l'ordre arriverait "Quand tout irait contre".
Claire Ferchaud dit à Poincaré : "C'est Dieu qui m'envoie pour vous faire connaître ses volontés, à vous, M. le Président. Le Sacré-Cœur s'adresse à vous. Il veut que la France officielle reconnaisse Dieu pour Maître, et Il veut pour nos temps actuels que son Cœur soit peint sur nos couleurs nationales, et c'est du Chef d'Etat qu'Il attend cet hommage." De la même manière encore, Sainte Marguerite-Marie s'était adressée à Louis XIV.
Mais, comme le Roi, le Président ne donna aucune suite à la demande du Ciel. Alors, pour "payer" le refus de la France officielle, l'humble messagère s'enferma dans un couvent à Loublande (Deux-Sèvres) et devint avec quelques compagnes, une réparatrice-expiatrice. Claire Ferchaud est morte le 29 janvier 1972. Sa vie, qui ne fut qu'une longue agonie, ressemble à un échec. Mais voilà qu'elle laisse un second message qui surpasse le premier et qui peut se résumer ainsi : "La France officielle ayant refusé le Sacré-Cœur, Dieu triomphera seul par la Messe Perpétuelle". Claire Ferchaud se tourne vers le Pape. Que le Saint-Père donne l'autorisation de célébrer la Messe Perpétuelle (car celle-ci ne peut-être qu'institution d'Eglise) et le monde est sauvé !... Le Vatican est au courant. Faudra-t-il atteindre le fond du gouffre pour que soit enfin posée la pierre de la résurrection ?... Claire Ferchaud disait que l'ordre arriverait "Quand tout irait contre".
Titre | Le moyen du salut |
Auteur | MOUTON (Claude) |
Éditeur | CHIRE (EDITIONS DE) |
Date de parution | 1 janvier 1974 |
Nb de pages | 108 |
EAN 13 | 9782851900067 |
Présentation | Broché |
Épaisseur (en mm) | 6 |
Largeur (en mm) | 140 |
Hauteur (en mm) | 210 |
Poids (en Kg) | 0.17 |
Biographie
Critique du libraire
Introduction au message du Sacré-Coeur à Claire Ferchaud de Loublande. En 1917, au fin fond des Deux-Sèvres, le Sacré-Coeur apparaît à une jeune fille pour faire passer le message de son Amour. Désormais elle se consacrera à sa mission en écrivant aux autorités et en offrant son existence en expiation. 50ème Anniversaire du rappel à Dieu de Sœur Claire Ferchaud vu par https://www.lesalonbeige.fr/ " La petite paysanne de Loublande (5 mai 1896 - 29 janvier 1972), suivant la volonté du Sacré-Cœur, avait osé donner un avertissement au Président Poincaré et aux Généraux en pleine guerre 1914-1918. Pendant 55 ans, elle vécut effacée dans la Maison du Sacré-Cœur où elle s'était retirée avec ses compagnes à Noël 1917 pour une vie de prière et pénitence pour la France et l'Eglise. Les marques de bienveillances de l'Eglise ne lui manquèrent pas dans les nombreuses difficultés qui accablèrent sa vie : Sa Chapelle fut bénite le 12 juin 1918 par son Evêque Monseigneur Humbrecht qui, ainsi que Monseigneur de Durfort, se firent son réconfort et son soutien dans l'épreuve. Le 20 septembre 1939, Bénédiction de sa Sainteté Pie XII « acceptant l'holocauste de Claire pour l'Eglise, le Sacerdoce et le Salut des Ames ». Par décret du Saint Office, le 1er juillet 1964, la Chapelle devient Oratoire public. Le 8 septembre 1964, le Cardinal Ottaviani Secrétaire du Saint Office fait savoir à Claire que « le Calvaire de Loublande est terminé ». Depuis Loublande est devenu un lieu de pèlerinage. Nombreux sont ceux qui viennent se recueillir sur sa tombe, à la Communauté et prier aux Rinfillières. Les pèlerins viennent prier pour le monde d'aujourd'hui, menacé par une tempête sans précédent de matérialisme de violences et d'immoralité, qui ne se relèvera qu'après s'être agenouillé dans le repentir, pour rendre à son Sauveur un hommage public et solennel dans l'Adoration de son Créateur et de son Dieu. C'est par la Messe Perpétuelle, seconde mission de Sœur Claire que le monde désormais sera sauvé. C'est là toute l'Espérance dans la Miséricorde du Seigneur. "
Les avis clients
Méditations, citations, photographies !
5/5 L'appel des pins .
.----. Tandis que les ténèbres enveloppent l'humanité comme un linceul de mort, que l'Ordre naturel est bafoué dans ses profondeurs que les sociétés sont les proies de l'argent, des dictatures ou de l'anarchie, que l'Eglise elle-même connait "l'auto-démolition", que "la 3e guerre mondiale risque d'éclater d'un moment à l'autre" (S.S. Paul VI), il s'agit de savoir si réellement l'Année Sainte sera celle de la Réconciliation et si les prières des humbles arriveront à contrebalancer les crimes et les génocides qui insultent l'Amour de Dieu et provoquent sa Justice. Dans la négative, le monde tombe dans le plus effroyable des chaos. Alors, il n'y aura plus qu'un seul recours : la Croix elle-même, la Messe perpétuelle que le Sacré-Cœur a demandée à sa Messagère Claire Ferchaud de Loublande. " C'est la Rédemption qui sauvera l'Univers ", lui a-t-il promis. C'est ce que "Le Moyen du Salut" tente d'expliquer par des méditations, des citations et des photographies en couleurs. [ Numéro 25 - octobre 1975 de " L'appel des pins " , bulletin trimestriel des Amis de Garabandal " - Directeur-gérant : Abbé Jehan de Bailliencourt ]
Plus qu'un récit, une méditation !
5/5 Plaisir de Lire .
.----. Plus qu'un récit, c'est une méditation que nous livre l'auteur, faisant alterner dans une présentation agréable : son texte, des paroles de Sœur Claire, des photos.
Bien que le Vatican n'ait pas encore "reconnu" les faits surnaturels vécus par elle, Claire Ferchaud reçut la bénédiction de S.S. Pie XII ; Benoit XV et Paul VI furent bienveillants à son égard.
On ne peut rester insensible à une telle vie de piété, de sacrifice surtout, dans une soumission totale au Pape et aux Evêques.
POUR QUI CE LIVRE ? : Nous conseillons donc, à partir de 15 ans, la lecture de cette "Introduction" qui pourra être complétée par les " Notes autobiographiques". [Numéro 34 - Pâques 1976 de " Plaisir de Lire" ]
Claire Ferchaud et Loublande ?
5/5 Plaisir de Lire .
.----. Comme le sous-titre l'indique, Claude Mouton, dans ce petit livre, nous fait connaître Claire Ferchaud et la mission qui lui a été confiée par le Sacré Cœur : réintroduire la place de Dieu dans les institutions.
A 20 ans, le 21 mars 1917, arrivant de sa Vendée natale, elle fut reçue à Paris par le Président de la République, Raymond Poincaré et lui transmit son message : Dieu veut que la France officielle le reconnaisse pour Maître et que le Sacré Cœur soit peint sur nos couleurs nationales. Le Président ne donna pas suite à la demande du Ciel.
Pour "payer" le refus de la France officielle, Claire se retira dans un couvent à Loublande (Deux-Sèvres) et devint avec quelques compagnes une réparatrice-expiatrice. Elle est morte le 29 janvier 1972, nous laissant un second message qui surpasse le premier : "La France officielle ayant refusé le Sacré Cœur, Dieu triomphera seul par la Messe Perpétuelle , ce qui ne dispense pas les hommes d'armes de combattre pour que Dieu donne la victoire : "Le reste, tout le reste, la politique, le social, le catéchisme, l'école, la famille, la nourriture, la défense de la nature, le pain complet ou biologique, les principes doctrinaux et la doctrine d'action sont des combats qu'il faut, certes, livrer mais annexes et voués à l'échec si Dieu sur la Croix ne triomphe pas. Claire Ferchaud se tourne vers le Pape. Et nous attendons. ( suite ... )