Les intellectuels juifs sont toujours prompts à se plaindre de la résurgence de l'antisémitisme. Ils nous le disent et nous le répètent : l'antisémitisme est une "folie", une "maladie", un "crime contre l'humanité".
Les juifs, eux, sont parfaitement innocents, ne sont coupables en rien de ce qui pourrait leur être reproché. Ce sont les "autres" qui les accusent à tort et qui projettent sur eux leur propre culpabilité. Les juifs sont ainsi les éternels "boucs émissaires", toujours persécutés, toujours victimes de la folie des hommes.
Pourtant, il suffit d'observer la production culturelle du judaïsme pour se rendre compte que ce sont bien les juifs eux-mêmes qui n'ont de cesse de projeter sur l'humanité des crimes inavouables. En les lisant avec un miroir, tout devient très simple et très lumineux.
Hervé Ryssen a publié en 2005 Les Espérances planétariennes, un livre qui met en lumière les origines religieuses du projet mondialiste. Les partisans les plus acharnés de la disparition des frontières et de l'unification du monde sont animés par une foi inébranlable dans la venue d'un messie.
Psychanalyse du judaïsme, paru en 2006, montre que le judaïsme intellectuel présente tous les symptômes de la pathologie hystérique. Il n'y a pas d'"élection divine", mais la manifestation d'un dérèglement qui trouve son origine dans la pratique de l'inceste. Freud avait patiemment étudié cette question à partir de ce qu'il constatait dans sa propre communauté.
Le Fanatisme juif, publié en 2007, présente le rôle des juifs dans toutes les entreprises révolutionnaires qui ont miné la civilisation européenne traditionnelle et dresse un tableau complet de la psychopathologie du judaïsme.
La Mafia juive (2008), braque les projecteurs sur le monde criminel issu de la communauté : racket, meutres, trafic d'armes, trafic de drogue, proxénétisme, blanchiment, casinos et discothèques, "diamants de sang", trafic d'oeuvres d'art, industrie du porno, traite des Blanches, traite des Noirs, grandes escroqueries, etc.