Attention, vous utilisez un navigateur obsolète ! Vous devriez mettre à jour celui-ci dès maintenant !

Pensez à commander vos cartes de voeux, et vos agenda pour 2024 !

La librairie n'expédiera aucun colis du 25 décembre au 1er janvier. Une maintenance sera ouverte le 30 et 31 décembre.

Le Latin langue de l´Eglise

Référence : 126621
Date de parution : 1 février 1998
EAN 13 : 0000001266214
Nb de pages : 196
13.00
+ d'éco-contribution

Tarifs dégressifs

Tarif par lot

  • -
    soit le lot
Expédié sous de 2 jours
Voir la disponibilité en magasin

Description
Ed. Pierre Téqui, 1998. 240 g - 13 cm * 21 cm - 196 pages. Livre épuisé. Etat neuf. Article d'occasion, vendu dans la limite des stocks disponibles.
TitreLe Latin langue de l´Eglise
Auteur LECUREUX (Bernadette)
ÉditeurPIERRE TEQUI (EDITIONS)
Date de parution1 février 1998
Nb de pages196
EAN 130000001266214
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)20
Largeur (en mm)130
Hauteur (en mm)210
Poids (en Kg)0.24
Critique du libraire
Préface de Dom Philippe Dupont, abbé de Solesmes. Il ne s'agit pas de revendiquer pour la langue latine une exclusivité qu'elle n'a jamais détenue dans la liturgie catholique, ni de contester le bien-fondé des innovations apportées par le Concile en matière de langues cultuelles... Le latin a été, et demeure, la "langue de l'Église" par excellence, parce que l'Église l'a adopté comme telle, l'a modelé à son usage au cours d'une longue tradition ; l'a sanctifié en l'appliquant uniquement à l'expression du sacré. Ce n'est pas par pur caprice ni par entêtement borné que les papes ont maintenu jusqu'à présent, et que le Concile Vatican II s'est efforcé de préserver le plus possible, cette langue dite "morte", au sein d'une société vivante à laquelle il faut présenter le message du Christ en un langage intelligible... Les qualités qui rendent le latin si apte à l'expression du sacré sont autant de raisons qui militent en faveur de son maintien, et rendent son remplacement extrêmement délicat. Il ne s'agit ici que d'exposer objectivement les caractères de la langue latine, et de faire mesurer les difficultés et les dangers d'un abandon intégral de cet instrument privilégié d'unité, de sanctification, d'universalisme et de maintien des traditions. L'auteur, archiviste-paléographe, excellente latiniste, n'a pas voulu pourtant faire oeuvre d'érudition, mais s'adresse à tout lecteur avec simplicité. M. Henri Rollet, auditeur laïc au Concile, a bien voulu présenter cet ouvrage, montrant bien ainsi qu'il ne saurait en aucune manière se placer dans une ligne autre que celle de Vatican II, d'autant qu'aujourd'hui, à l'heure où l'Église multiplie les grands rendez-vous catholiques internationaux, les chrétiens redécouvrent toute l'universalité de cette "langue de l'Église".