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Le droit canonique est-il aimable ?

Référence : 33690
1 avis
Date de parution : 25 septembre 1986
Éditeur : AUTOEDITION
EAN 13 : 0000028500001
Nb de pages : 360
18.00
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Description
Un ouvrage très complet et d'une grande clarté qui initie au droit canonique, avec des commentaires sur le nouveau code et une analyse de la situation actuelle de l'Eglise.
TitreLe droit canonique est-il aimable ?
Auteur COACHE (Abbé Louis)
ÉditeurAUTOEDITION
Date de parution25 septembre 1986
Nb de pages360
EAN 130000028500001
Épaisseur (en mm)20
Largeur (en mm)140
Hauteur (en mm)210
Poids (en Kg)0.50
Biographie
Critique du libraire
Livre ancien légèrement écorné
Les avis clients
Le droit canonique a vocation à être « aimable
5/5 https://www.lerougeetlenoir.org/
.----. L’abbé Grégoire Celier, ordonné prêtre en 1986 par Mgr Lefebvre, est un passionné de théologie, de philosophie (docteur en Sorbonne) et d’histoire du XIXe siècle. Il a dirigé la revue Fideliter et les éditions Clovis (Fraternité Saint-Pie X), et est aujourd’hui prieur de Notre-Dame de Consolation (Paris VIIIe), tout en rédigeant la Lettre à nos Frères prêtres, expédiée à tous les prêtres diocésains de France. Auteur de plus de 800 articles, il a publié, par exemple, Benoît XVI et les traditionalistes ainsi que Un regard chrétien sur l’immigration en 2007 ; Saint Thomas d’Aquin et la possibilité d’un monde créé sans commencement en 2020 ; et fera paraître en 2022 un ouvrage consacré à des figures du nationalisme et de l’antilibéralisme catholique. R&N : Pourquoi les questions d’ordre canonique ne semblent-elles pas intéresser les laïcs catholiques ? Sont-ce des débats qui passionnent uniquement les clercs ? Abbé Célier : Tout simplement parce qu’il s’agit de droit, et que cette matière n’attire spontanément qu’une fraction de l’humanité. Ne soyez d’ailleurs pas dans l’illusion : une partie des clercs se met également à bailler dès que l’on aborde des questions canoniques. Pourtant, comme le disait l’abbé Louis Coache (1920-1994), docteur en droit canonique et grand combattant de la Tradition catholique, le droit canonique a vocation à être « aimable », en d’autres termes digne d’être aimé. Tout simplement parce qu’il s’agit du recueil des lois qui, dans l’ordre externe (le droit ne porte pas en soi sur les dispositions internes), sont établies pour favoriser le salut éternel des âmes, donc pour procurer leur vrai bonheur. C’est en ce sens que le Code de Droit canonique promulgué en 1983, que nous contestons par ailleurs en plusieurs de ses dispositions (nous nous référons plutôt au Code promulgué en 1917), se termine, en son ultime canon (ou article de loi, si vous préférez), par cette belle et opportune formule : « …sans perdre de vue le salut des âmes, qui doit être dans l’Église la loi suprême ». Le droit canonique (ou ecclésiastique) est également intéressant dans la mesure où il est l’héritier d’une longue tradition d’étude, de réflexion et de confrontation avec une réalité complexe : à ce titre, il est d’une rare subtilité, et promet à celui qui l’étudie les plaisirs toujours renouvelés de la découverte de règles puissamment efficaces et cohérentes, sous une enveloppe à certains égards un peu austère [ Entretien avec M. l'abbé Celier le 21 mai 2021 sur le site " Le Rouge & le Noir." ]