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Le culte du moi - Sous l´oeil des barbares (BNF Ed. 1910)

Référence : 119277
1 avis
Date de parution : 1 avril 2016
Auteur : BARRES (Maurice)
Collection : LITTERATURE
EAN 13 : 9782013541381
Nb de pages : 292
17.40
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Description
Sommaire :
Départ inquiet
Tendresse
Désintéressement
Paris à vingt ans
Dandysme
Extase
Affaissement
Oraison
TitreLe culte du moi - Sous l´oeil des barbares (BNF Ed. 1910)
Auteur BARRES (Maurice)
ÉditeurHACHETTE BNF (EDITIONS)
Date de parution1 avril 2016
Nb de pages292
CollectionLITTERATURE
EAN 139782013541381
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)15
Largeur (en mm)156
Hauteur (en mm)234
Poids (en Kg)0.42
Critique du libraire
" Henri Massis parle, ici, pour notre triste époque "
Les avis clients
Sous l'œil des barbares
4/5 Je suis Français
Henri Massis parle, ici, pour notre triste époque " Les plus redoutables des barbares, il est vrai, ne sont sans doute pas les guerriers au visage peint, à la chevelure luisante de beurre, que les soldats romains voyaient surgir avec horreur des ténèbres de la Thuringe. La frontière de la sauvagerie et de la civilisation n'est pas inscrite seulement sur le sol. Elle partage le coeur de chaque civilisé. Freud n'a eu qu'à les appeler par leur nom pour que jaillissent des abîmes les monstres et les chimères qu'en des temps plus sages confesseurs et pédagogues refoulaient au delà des barrières qui protégeaient les mortels de leurs démons nocturnes. Chaque âme a besoin d'être, comme la Cité, couronnée de remparts " ( Henri Massis ) Pensée du jour qui nous ramène à ce que nous sommes en train de vivre. « Sous l'œil des barbares » est le titre d'un livre de Maurice Barrès, le premier que le jeune Maurras ait lu, d'un trait, dit-il, et qui fut la source ou le prélude de leur amitié. « Triste époque » est une expression que Shakespeare prête au roi Lear, lequel dit aussi qu'il faut bien en porter « le fardeau ». Déjà. Nous avons nos fardeaux et nos barbares, de provenances diverses, et d'une violence croissante, non pas comme cause première mais conséquence seconde, si l'on nous passe le pléonasme. Le mal, en effet, est d'abord en nous-mêmes, nous devrions le savoir. [ Lectures de Pierre Builly publiée le 13 août 2021 ]