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Le clan des Médicis - Tempus 449

Référence : 71542
1 avis
Date de parution : 12 avril 2012
Auteur : HEERS (Jacques)
Collection : TEMPUS
EAN 13 : 9782262037611
Nb de pages : 384
10.00
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Description
A l'inverse d'autres villes italiennes, Florence, type même de la cité "libre", fleuron des arts et des lettres à la Renaissance, ne va pas confier pendant deux siècles ses destinées à un condottiere, mais à un clan de simples citoyens. Longtemps obscurs, suffisamment habiles pour survivre aux convulsions d'une cité en proie aux pires désordres, les Médicis unissent leur destinée à celle de la ville et la portent à la quintessence de la culture dans tous les domaines.
Derrière une peinture violente et raffinée de l'époque, l'auteur décrit l'ascension, la grandeur et la faillite de cette famille de changeurs devenus princes sans titre de Florence.  
Jacques Heers, professeur émérite à la Sorbonne, a notamment publié chez Perrin Les Négriers en terre d'islam, VIIe-XVIe siècle, Chute et mort de Constantinople, Le Moyen Age, une imposture et La Naissance du capitalisme au Moyen Age.
TitreLe clan des Médicis - Tempus 449
Auteur HEERS (Jacques)
ÉditeurPERRIN TEMPUS (EDITIONS)
Date de parution12 avril 2012
Nb de pages384
CollectionTEMPUS
N° Collection449
EAN 139782262037611
PrésentationPoche
Épaisseur (en mm)17
Largeur (en mm)110
Hauteur (en mm)178
Poids (en Kg)0.23
Les avis clients
Florence ?
3/5 Réseau Regain .
.----. La peinture violente et raffinée de la Renaissance italienne à travers l’exercice du pouvoir des Médicis à Florence. Dans cet ouvrage, Jacques Heers étudie les conflits politiques et la lutte pour le pouvoir qui se jouèrent à Florence. Type même de la cité "libre", fleuron des arts et des lettres à la Renaissance, la ville va pendant plus de deux siècles se soumettre au pouvoir d’un tyran. À l’inverse de nombreuses autres cités italiennes, Florence n’est pas conquise par un capitaine victorieux, mais c’est volontairement qu’elle confie son avenir à un clan de simples citoyens. Longtemps obscurs, suffisamment habiles pour survivre aux convulsions d’une cité en proie aux pires désordres, les Médicis unissent leur destinée à celle de la ville. Se gardant des ambitions des princes et des capitaines d’aventure, Florence s’est elle-même asservie à l’un des siens. Cette période illustre également ce qui aujourd’hui semble incompréhensible et même choquant pour notre esprit. À savoir qu’une civilisation si brillante et si raffinée s’est éclose, maintenue et développée, non en un temps de paix et de concorde sociale, mais dans un climat de désordres, de massacres et de destructions… [ Rédigé à partir de la première édition chez Perrin - 2008 - Notes de lecture de Georges Leroy - juin 2008 ]