Le Château du roi dormant
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En pénétrant dans l’atelier de Lionel Le Falher, peintre symboliste de la seconde moitié du siècle dernier, l’auteur tombe en arrêt devant un grand pastel représentant le château de Bagnac, une ancienne forteresse médiévale en ruines, que son dernier marquis avait transformée naguère en une folie troubadouresque à la mode du Second Empire.
L’artiste se désolait de son délabrement, dont il ignorait la cause.
Yves-Marie Adeline raconte le destin de ce monument, dont le déclin accompagna l’idéal qui avait présidé à sa restauration : le retour du Roi en France…
Yves-Marie Adeline, docteur de l'Université de Paris I, enseignant dans plusieurs établissements d’enseignement supérieur, écrivain et penseur royaliste, il fonda le mouvement politique l’Alliance royale en 2001 (qu’il présida jusqu’en 2008).
Titre | Le Château du roi dormant |
Auteur | ADELINE (Yves-Marie) |
Éditeur | AUTOEDITION |
Date de parution | 11 novembre 2024 |
Nb de pages | 140 |
EAN 13 | 9798346210610 |
Présentation | Broché |
Épaisseur (en mm) | 9 |
Largeur (en mm) | 152 |
Hauteur (en mm) | 226 |
Tout commence avec un tableau peint par un ami, et la découverte du monument qu’il représente : un château qui n’en finit pas de tomber en ruines, en contrebas de la nationale qui relie Poitiers à Limoges. Un château rené de ses cendres, au XIXe siècle, par la volonté de son propriétaire, dernier descendant de sa lignée et fervent légitimiste, qui faute de descendant envisagea de léguer sa noble demeure au prince en exil, lui aussi dernier descendant, mais de la branche aîné des Bourbons : le comte de Chambord. Ce château emporté par les affres du temps devient, sous la plume de l’auteur, la métaphore de la cause royale – « le château du roi dormant » – au gré des vicissitudes de l’Histoire : mort du comte de Chambord, querelles dynastiques, divisions occasionnées par les grands drames nationaux du XXe siècle, oubli de cette même cause royale par le grand nombre, et parfois par les prétendants eux-mêmes !, dissonances entre ceux des royalistes qui se contentent de faire mémoire et au contraire ceux qui tentent de hisser leur entreprise au rang d’une action proprement politique. L’auteur, qui s’essaya courageusement à faire revivre un royalisme politique, nous retrace son parcours et règle aussi quelques comptes, ce qui fera probablement grincer quelques dents. Malgré sa ruine, les murs du « château du roi dormant » se dressent encore. Comme si le mot « fin » ne pouvait être encore écrit…