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L'avenir de Jérusalem - Espérances et chimères - Réponse aux congrès sionistes

Référence : 74610
EAN 13 : 9782845193970
Nb de pages : 356
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Description
Réponses aux congrès sionistes en 1901, qui restent d'une actualité saisissante.
Ce que Jésus-Christ a prophétisé du temple de Jérusalem, et du royaume d'Israël ; que les juifs doivent probablement recevoir et acclamer l'Antéchrist comme Messie ; que Jérusalem ne redeviendra pas capitale d'un état Juif ; que le temple ne sera pas réédifié pour servir au culte de Jéhova ; de la certitude de la conversion du peuple Juif, qui ne redeviendra pas possesseur de la Palestine.
Autant de questions admirablement traitées par l'abbé Augustin Lérnann, juif converti, professeur d'exégèse aux facultés catholiques de Lyon.
TitreL'avenir de Jérusalem - Espérances et chimères - Réponse aux congrès sionistes
Auteur LEMANN (Mgr Augustin)
ÉditeurSAINT REMI (EDITIONS) ESR
Nb de pages356
EAN 139782845193970
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)21
Largeur (en mm)145
Hauteur (en mm)204
Poids (en Kg)0.47
Critique du libraire

Une réponse au sionisme par un juif converti. Le sionisme, véritable hérésie génocidaire qui de nos jours continue de jouer plus ou moins consciemment son rôle de détonateur apocalyptique pour le compte du Nouvel Ordre Mondial. L’objectif dissimulé derrière le soutien de la haute finance internationale à l’état d’Israël et dont le communiste sanguinaire Joseph Staline fut le tout premier à reconnaître officiellement l’existence, ayant toujours été le déclenchement d’une déflagration mondiale avec comme corolaire l’éradication d’un maximum de chrétiens orientaux mais aussi de juifs religieux (que les mondialistes détestent) et d’Israéliens lambda emprisonnés dans ce gigantesque ghetto situé, ironie satanique oblige, au beau milieu de la Terre Sainte. Il en va de même pour le monde musulman dont une saignée est également planifiée. Il s’agit d’une guerre mondiale après tout, ou plutôt d’un gigantesque crime rituel souhaité ardemment par l’élite mondialiste. On retiendra les éclairants rappels historiques que contient ce texte datant de 1901, comme par exemple l’ancienneté du projet sioniste qui a eu de nombreux précurseurs à travers les siècles (plus d’une vingtaine notamment sous l’empire romain). La plus célèbre tentative de reconstruction du Temple de Jérusalem fut peut-être celle entreprise sous le règne de Julien l’Apostat, le grand héros de l’antisémite Céline qui lui dédia son pamphlet « L’École des Cadavres » et du néo-païen Alain de Benoist.

En effet dans sa haine fanatique du christianisme, ce despote cruel qui pratiquait l’anthropomancie s’associa aux juifs déicides dans leur projet qui fut finalement réduit à néant par une impitoyable intervention divine. Il nous est également rappelé l’opposition quasi-unanime du monde juif en général (qu’il s’agisse de rabbins orthodoxes ou des juifs « assimilés » de France, d’Angleterre ou d’Allemagne) à laquelle durent faire face l’ambitieux Théodore Herzl et son fidèle lieutenant l’intellectuel Max Nordau. Projet délirant, chimère politique, considéré comme une absurdité par nombre de Juifs, religieux ou non, le sionisme est excellemment réfuté point par point dans cette étude juste et impartiale. L’auteur s’en réfère tout d’abord aux prophètes de l’Ancien Testament que les sionistes (fidèles en cela à une longue tradition rabbinique et talmudique qui consiste à faire dire aux Écritures absolument tout et n’importe quoi) interprètent de manière charnelle et erronée. Il concrétise par la suite son habile démonstration en s’appuyant sur les enseignements des Docteurs de l’Église. On appréciera les réflexions relatives à l’Antéchrist et le lien que celui-ci entretiendra avec le peuple juif qui le recevra comme le Messie tant attendu, en citant par exemple ces paroles de saint Jean Damascène :

« Les Juifs ont donc rejeté le Seigneur Jésus, Christ et Dieu, et Fils de Dieu ; ils recevront au contraire l’imposteur qui s’attribuera avec arrogance la divinité. » (p. 206)

I. C., dans Lectures Françaises no 812 (décembre 2024)