Ne nous laissons pas prendre !
5/5 L'appel des pins .
.----. Il faut préciser également entre l' " objectivement blâmable " sans connaissance et volonté expresses profondes et le " subjectivement blâmable " avec connaissance et volonté consentante ; dans le deuxième cas seulement il y a " péché " c'est-à-dire offense à Dieu et donc obligation de repentir et de nous en faire absoudre ; dans le premier cas, il n'y a rien de "peccamineux " au sens théologique du terme, mais chacun sait qu'il doit aligner sa conscience sur la Vérité morale objective enseignée par l'Eglise, et qu'il y a faute selon le degré de volonté existant dans la négligence à le faire.
Une dernière remarque : ne nous laissons pas prendre par des manifestations d'un quelconque ésotérisme, ni tibétain (explication donnée en ce sens p. 139-142), ni boudhiste, ni yogiste, ni etc. : les hauts initiés de ces religions asiatiques agissent par pouvoir angélique satanique quand ils sont en vie..., après ? ..., j'en doute. [ Numéro 35 - avril 1978 de " L'appel des pins " , bulletin trimestriel des Amis de Garabandal ; Directeur-gérant : Abbé Jehan de Bailliencourt ]
Revenir !
5/5 L'appel des pins .
.----. Dans la détresse physique, la mort clinique ayant été constatée, c'est l'expérience de ceux qui en sont revenus... Sorte de décorporation passage dans un long et obscur tunnel, rencontre d'amis et parents défunts, le " corps spirituel " au contact avec un être de " Lumière " rempli de douceur et de tendresse qui oblige à faire le bilan, rapide et instantané, de la vie passée et même y aide parfois ; puis une barrière, une frontière empêche d'aller plus loin, il faut revenir... Cela ne vous fait penser à rien ? Ne serait-ce pas une expérience identique qui sera la nôtre au jour de l'Avertissement ? [ Numéro 34 - janvier 1978 de " L'appel des pins " bulletin trimestriel des Amis de Garabandal - Directeur-gérant : Abbé Jehan de Bailliencourt ]
Les vrais ressuscités ont existé.
5/5 Alex-Ceslas Rzewuski O.P.
.----. Quant à ce qui se passe après une authentique mort réelle, seule une enquête menée auprès de vrais morts, qui auraient été ensuite ressuscités, pourrait nous en apporter une connaissance fondée. .
Or, précisément, ces morts authentiques, ces vrais ressuscités ont existés. Nous les connaissons grâce aux témoignages de nos quatre évangélistes. Mais ces vrais morts n'ont jamais rien rapportés, ni dit, pas même par allusion, au sujet de ce qu'ils auraient vu et éprouvé au cours de leur passage dans l'état de mort. [ extrait du chapitre terminal " Après la mort "? du livre " L'INSTANT, testament d'un dominicain " du célèbre auteur de " A travers l'invisible cristal " ]
Comparaison avec l'effet des drogues !
5/5 Alex-Ceslas Rzewuski O.P.
.----. De plus, quiconque a expérimenté durant sa vie les effets produits par des anesthésies opératoires, et surtout ceux qui résultent de l'usage de drogues hypnogènes, reconnaîtra sans difficultés dans les récits de ces prétendus morts revenus à la vie, ce qu'il a lui-même ressenti.
Les habitués des produits hallucinogènes ou stupéfiants, tels le haschisch, l'héroïne ou la marijuana, connaissent bien ces sensations : tunnels noirs sans fin prévisible, plans lumineux ou spirales multicolores se mouvant à des vitesses vertigineuses, accompagnés le plus souvent par des sonorités dépassant la capacité auditive normale..
Ainsi, si les gens interrogés par l'auteur ont pu lui raconter leurs expériences d'un soi-disant au-delà, c'est qu'en réalité, ils n'avaient pas subi une " vraie mort ", mais seulement une " mort clinique ". ( suite ... )
Morts " cliniques " ?
5/5 Alex-Ceslas Rzewuski O.P.
.----. Malheureusement, le titre alléchant du livre porte en soi une importante équivoque, puisque tous les exemples cités concernent non des cas de morts réelles, mais bien de ce qu'on appelle en langage médical de morts " cliniques " ( Etat où, au point de vue médical, il n'y aurait plus de signe de vie. ) ( suite ... )
Après la mort : ce qui se passe ...
5/5 Alex-Ceslas Rzewuski O.P.
.----. Un livre paru il y a quelques années aux U.S.A., et traduit en bien des langues, porte le titre prometteur de Life after Life ( en français : La vie après la vie, du docteur en médecine et philosophie R. Moody, Ed.R. Laffont 1977, N. d.l.r. : rééd.2016 ) Son auteur a eu l'idée généreuse de projeter sur les lecteurs une rassurante lumière concernant ce qui se passe avec l'âme après la mort.
Il rapporte les résultats de multiples interviews obtenues auprès d'un grand nombre de personnes à la suite de leurs expériences subies en " état de mort ". En général elles avaient été en chambres de réanimation à la suite de graves maladies ou d'accidents. ( suite ... )
Absence de valeur morale ...
3/5 L'appel des pins .
.----. Ensuite, si " la notion récompense-châtiment dans l'après-vie se trouve abandonnée, voire démentie " (sic), c'est que le quasi-jugement particulier n'est en lui-même ni une récompense, ni un châtiment comme les termes eux-mêmes l'indiquent avec évidence ; de plus, comme l'âme doit rejoindre son corps, comme la vie humaine n'est pas terminée, point n'est besoin que la simple vision du bilan de sa vie soit suivie d'effet immédiat.
Quant à l'absence de la valeur morale dans tous les témoignages, il faut comprendre que le " patient " se réserve ce qui lui est le plus intime à lui-même ; le médecin n'est qu'un médecin, il n'est ni Prêtre, ni Confesseur, ni Directeur de conscience ; et si, même à ce dernier, on a le droit de conserver un petit coin très secret de son âme, a fortiori l'intimité morale qui est strictement personnelle à chacun n'a pas à être dévoilée à quiconque.
Cependant, le Dr Moody précise " que lorsque les actes apparemment les plus blâmables et les plus peccamineux étaient manifestés devant l'être de lumière, celui-ci ne réagissait pas par la colère et l'indignation, mais au contraire par la compréhension, parfois même par l'humour " (sic). Il ne faut pas oublier que s'il y a la Justice, il y a aussi et à identique perfection la Miséricorde ; nous savons qu'aucune ne l'emporte en Dieu et dans son jugement de quiconque ; quels mouvements divins s'exercent donc en sondant le tréfonds " des reins et des cœurs " ? c'est le Secret de Dieu qui examine chacun selon sa personnalité, son individualité propres et uniquement par rapport à Lui seul (cf. la Parabole des ouvriers à la vigne et recevant le même salaire : Mt. 20, 1-15) ; nos notions ici, même employées analogiquement, s'évanouissent devant le Sublime, le Transcendant, l'Ineffable... ( suite ... )
Précisions !
2/5 L'appel des pins .
.----. Dans le numéro 35 du même bulletin, le rédacteur ajoute : Il faut cependant apporter les précisions que voici : A partir de la p. 131, ce sont essentiellement des essais d'explications, plus ou moins contestables, sous la seule responsabilité de l'auteur ; nous pourrions en donner de plus valables et selon la véritable Doctrine de Foi Catholique ; à vous de les trouver ; déjà ce qui suit peut vous y aider
Ce qui nous intéresse au plus haut point, ce sont essentiellement les témoignages transcrits que je vous ai rapidement résumés dans le n° 34, c'est-à-dire uniquement les premier et deuxième chapitre. En dehors des minces commentaires qui accompagnent ces expériences relatées et qui sont convenables quoique venant d'un incroyant ou d'un agnostique, il y a p. 117-118, la presque conclusion de cette première partie qui demande explications et corrections.
En effet, si " personne n'a décrit un paradis de bande dessinées avec porte de pierres précieuses, rues pavées d'or, anges ailés jouant de la harpe, et pas davantage un enfer de flammes peuplé de démons armés de fourches " (sic) -- ce " tableau inspiré de la mythologie courante " (sic) étant bien proche d'une ironie blasphématoire ! --, c'est que personne n'y est allé vraiment ; chacun a trouvé une barrière, une frontière à ne pas franchir car il fallait revenir. Les expériences décrites en restent à " l'antichambre ", si l'on peut dire, du quasi-jugement particulier sans pousser plus avant... Mais nous savons par la Foi que, tant le Paradis, le Purgatoire que l'Enfer sont bien autre chose que ces pâles images qui ne veulent qu'essayer de cerner et de symboliser la Réalité invisible, incorporelle, spirituelle (cf. la description biblique du Paradis terrestre exprimant le Bonheur invisible de la Vie surnaturelle d'intimité avec Dieu)... ( suite ... )
