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La tunique déchirée

Référence : 25143
2 avis
Date de parution : 1 avril 1968
Auteur : CASINI (Tito)
EAN 13 : 9782723314893
Nb de pages : 160
10.00
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Description
Sommaire: 
Unanimes uno ore: "Moi j'suis chrétien". Le "sens des fidèles". Dimanche de la Passion. "Langue prédestinée". Le latin comme les confetti. Sentimentaux et innovateurs. Egalité par en-bàs. Scandales à l'église. La revanche du "P'tit Pierre". Stupeur des "barbares". Etrangers même à l'église. Marthe et Marie. La foi du charbonnier. Dévotion électronique. Gaité à l'église. La langue des jeunes. Esthétisme? Le serviteur de Dieu, Pie XII. Le serviteur de Dieu, Jean XXIII. Le Concile. 
In gratia cantantes Deo: Depuis la "Messe du pape Marcel". Ala "Messe des Piqués". Coqs et chapons. Souvenirs d'un chantre d'eglise. Usquequo Domine?
TitreLa tunique déchirée
Auteur CASINI (Tito)
ÉditeurNOUVELLES EDITIONS LATINES (NEL EDITIONS)
Date de parution1 avril 1968
Nb de pages160
EAN 139782723314893
Épaisseur (en mm)10
Largeur (en mm)119
Hauteur (en mm)187
Poids (en Kg)0.14
Critique du libraire
Préface du cardinal Antonio Bacci. Lettre d'un catholique sur la réforme liturgique.
Les avis clients
Outrances
5/5 Revue des cercles d'études d'Angers
.----. C'est dans cet esprit qu'il faut lire ce petit livre, dans l'excellente traduction française de M. Raymond Dulac, accompagnée de notes qui aident à l'intelligence du texte, lequel fourmille de locutions et proverbes italiens, de mots populaires et d'anecdotes significatives. Aucun catholique ne devrait vraiment se scandaliser, au vrai sens du terme, de cet écrit véhément, mais qui part d'un cœur sincère et d'une foi sans équivoque. Et puis, les faits sont les faits. Depuis la publication de la TUNIQUE DECHIREE, il s'en est ajouté d'autres qui, bien malheureusement, sont venus confirmer les appréhensions de l'auteur. Enfin, le Cardinal Lercaro a renoncé à ses hautes fonctions... Il n'est pas mauvais qu'un tel livre nous mette en garde contre les outrances -- certaines touchent au sacrilège -- que se sont permises et se permettent encore, sous le couvert de la rénovation liturgique, ceux qui, en fait, ont non seulement outrepassé mais littéralement violé et contredit le texte et l'esprit de la Constitution conciliaire, et qui, de gré ou de force, veulent nous imposer leurs fantaisies dégradantes. (numéro 1, octobre 1968 ).
Directives liturgiques
4/5 Revue des cercles d'études d'Angers
.----. Ce livre a fait quelque bruit quand il parut, en Italie, au début de 1967. Son auteur n'allait pas par quatre chemins pour dire ce qu'il pensait de la façon dont l'éminentissime Cardinal Lercaro avait cru pouvoir interpréter et faire mettre en pratique les directives liturgiques données par la Constitution conciliaire sur la liturgie. Tito Casini ne s'indignait pas seulement des abus et des déviations qui déjà avaient outrepassé les instructions émanant du Cardinal; il s'en prenait à ces instructions elles-mêmes qui devaient avoir pour conséquences -- d'où le titre donné par l'auteur à sa protestation -- de déchirer la tunique du Christ, ce que n'avaient osé faire les soldats romains sur le Golgotha. La robe sans couture, c'est-à-dire l'unité de l'Eglise, allait-elle être mise en pièces? Evidemment, ce titre d'accusation, qui s'adressait, quoique le Cardinal ne fût pas nommément désigné, à l'archevêque de Bologne, président du CONCILIUM pour l'application de la Constitution sur la Liturgie, les flèches décochées, les expressions vigoureuses, allant jusqu'à l'indignation, le ton général de cette philippique étaient bien faits pour susciter quelque scandale . Cependant, l'ouvrage était présenté par un autre Cardinal, S. Em. Antonnio Bacci qui lui apportait une garantie de poids. Celle-ci n'allait pas sans réserves, mais qui ne concernaient que le ton de l'épître, laquelle pouvait "sembler peu révérencieuse à quelques-uns ". Mais "tous, ajoute le Cardinal, n'en devront pas moins reconnaître qu'elle fut uniquement dictée par un amour envers l'Eglise et sa dignité liturgique ". Et il excuse Tito Casini d'avoir dépassé quelquefois les bornes du respect, dans l'expression de sa douleur, parce que son cœur "était exacerbé de certaines innovations qui semblent, et qui sont, de vraies profanations ". (numéro 1,octobre 1968 ).