La soif de la source perdue T2 - Croisade pour le réel L´homme ouvrier de Dieu, sur la terre

Le Tome I, " Les Cadeaux de la Révolution Française" constitue, à l'occasion d'un bicentenaire, et sur un ton d'ironie mordante, une analyse fouillée, et souhaitée exhaustive, des résultats, pour l'Homme de la fin du vingtième siècle, de la mise en application, pendant deux siècles, des principes révolutionnaires, matérialisés par la fameuse "Déclaration des Droits de l'Homme", et la non moins fameuse devise républicaine : "Liberté-Egalité-Fraternité". En passant en revue ce qu'a donné, dans la vie pratique quotidienne, l'application des idéologies maçonniques, et la "qualité de vie" qui en résulte pour l'humanité contemporaine, la synthèse ultérieure amène à se poser des questions sur l'innocuité des dites idéologies, et sur les motivations réelles de ceux qui nous les imposent.
Le Tome II, "Coisade pour le réel", partant du constat d'échec de l'expérience idéaliste, politique et éthique qui a été imposée à l'Humanité par l'intermédiaire des révolutionnaires de 1789, considère indispensable de découvrir le ou les moteurs qui meuvent ce complot, et de démonter les mécanismes qui en assurent le développement. Ce n'est qu'après avoir disséqué les motivations et décortiqué le détail des méthodes employées par ceux qui veulent asservir l'Humanité par le Matérialisme qu'il sera possible de programmer la "Croisade pour le réel" indispensable pour rétablir la primauté de l'Esprit sur la Matière, et de réagir pour reconstruire un monde réaliste conforme aux lois naturelles, c'est-à-dire replacer dans leur conformité au Décalogue les rapports de l'Homme avec la Matière, avec son Prochain, avec son Ame et avec Dieu.
Le Tome III,"L'éternité, réduite aux acquets", cherche à cerner cette anxiété à se libérer du Temps, qui hante celui qui va au fond de sa pensée : l'Homme, une fois né, et bien vivant, n'a qu'une seule certitude absolue : celle de sa mort. Et ce manque d'incertitude, tout à fait exceptionnel sur cette Terre, ne semble pourtant pas de nature à le rassurer, malgré son immense besoin de sécurité. C'est pourtant la base indubitable de sa perception de la "durée", de l'écoulement "irréversible" du Temps. Et le problème pour lui n'est pas tellement "pendant" sa vie, mais "après", et pourquoi pas, par symétrie,"avant" ? Conscient de la "durée", il a également conscience de ce qu'il sent être "l'Eternité", mais il n'en peut conçevoir la nature profonde que par ce qu'il en "pressent", dans son passage terrestre. Et nous voilà partis au moins pour la Métaphysique. Certains vont même plus loin et "Croient"... l'auteur aussi...