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La royauté sociale de Notre-Seigneur Jésus-Christ d´après le cardinal Pie

Référence : 30539
2 avis
Date de parution : 1 janvier 2020
EAN 13 : 9782845191938
Nb de pages : 262
13.00
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Description
Pourquoi cette étude ? - Son importance pour le monde et pour la France. - Son actualité. - Pourquoi d'après le Cardinal Pie ? - Nature de ce travail et méthode suivie. - Plan général.
Notre Seigneur Jésus-Christ venu sur la terre pour sanctifier les âmes, y est-il aussi descendu pour imposer Sa volonté aux institutions sociales, aux codes, aux assemblées, aux souverains eux-mêmes et devenir ainsi le Roi suprême des nations et des peuples ?
TitreLa royauté sociale de Notre-Seigneur Jésus-Christ d´après le cardinal Pie
Auteur SAINT-JUST (R.P. Théotime de)
ÉditeurSAINT REMI (EDITIONS) ESR
Date de parution1 janvier 2020
Nb de pages262
EAN 139782845191938
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)13
Largeur (en mm)145
Hauteur (en mm)200
Poids (en Kg)0.34
Biographie
Cardinal Louis-François-Désiré-Edouard PIE (1815-1880)
Cardinal Louis-François-Désiré-Edouard PIE (1815-1880) Louis-François-Désiré-Edouard Pie naquit d'une honorable famille, le 26 septembre 1815, à Pontgouin, au diocèse de Chartres. Dès sa première enfance, on vit briller en lui la piété la plus vive, aussi bien qu'un amour ardent pour l'étude, et dès lors ses progrès firent concevoir des espérances que plus tard sa science justifia. Voir plus
Critique du libraire
« Sire, quand de grands politiques comme votre Majesté m'objectent que le moment n'est pas venu, je n'ai qu'à m'incliner parce que je ne suis pas un grand politique. Mais je suis évêque, et comme évêque, je leur réponds : « Le moment n'est pas venu pour Jésus-Christ de régner, eh bien ! Alors le moment n'est pas venu pour les gouvernements de durer » Cardinal Pie .
Les avis clients
Une citation !
5/5 Cardinal Pie
.----. Dire que Jésus-Christ est le Dieu des individus et des familles, mais n’est pas le Dieu des peuples et des sociétés, c’est dire qu’Il n’est pas Dieu. Dire que le christianisme est la loi de l’homme individuel et n’est pas la loi de l’homme collectif, c’est dire que le christianisme n’est pas divin. Dire que l’Eglise est juge de la morale privée et qu’elle n’a rien à voir à la morale publique, c’est dire que l’Eglise n’est pas divine. Cardinal Pie (1815-1880) - La Royauté sociale de Notre-Seigneur Jésus-Christ
Entretien du 15 mars 1856 Entre Mg Pie et Napoléon III. Dieu déchaînera la foudre sur votre trône.
5/5 chartedefontevraultprovidentialisme
.----. Entretien du 15 mars 1856 Entre Mgr Pie et Napoléon III A propos du Règne social de Jésus-Christ Le cardinal Pie : « je m’empresse de rendre justice aux religieuses dispositions de Votre Majesté et je sais reconnaître, Sire, les services qu’elle a rendus à Rome et à l’Eglise, particulièrement dans les premières années de son gouvernement. Peut-être la Restauration n’a-t-elle pas fait plus que vous ? Mais laissez-moi ajouter que ni la Restauration, ni vous, n’avez fait pour Dieu ce qu’il fallait faire, parce que ni l’un ni l’autre, vous n’avez relevé son trône, parce que ni l’un ni l’autre, vous n’avez renié les principes de la Révolution dont vous combattez cependant les conséquences pratiques, parce que l’évangile social dont s’inspire l’Etat est encore la Déclaration des Droits de l’Homme, laquelle n’est autre chose, Sire, que la négation formelle des Droits de Dieu. Or, c’est le Droit de Dieu de commander aux Etats comme aux individus. Ce n’est pas pour autre chose que Notre Seigneur est venu sur la terre. Il doit y régner en inspirant les lois, en sanctifiant les mœurs, en éclairant l’enseignement, en dirigeant les conseils, en réglant les actions des gouvernements comme des gouvernés. Partout où Jésus-Christ n’exerce pas ce règne, il y a désordre et décadence. Or, j’ai le devoir de vous dire qu’il ne règne pas parmi nous et que notre Constitution n’est pas, loin de là, celle d’un Etat chrétien et catholique. Notre droit public établit bien que la religion catholique est celle de la majorité des Français, mais il ajoute que les autres cultes ont droit à une égale protection. N’est-ce-pas proclamer équivalemment que la Constitution protège pareillement la vérité et l’erreur ? Eh bien ! Sire, savez-vous ce que Jésus-Christ répond aux gouvernements qui se rendent coupables d’une telle contradiction ? Jésus-Christ, Roi du Ciel et de la terre, leur répond : « Et Moi aussi, gouvernements qui vous succédez et vous renversant les uns les autres, Moi aussi, je vous accorde une égale protection. J’ai accordé cette protection à l’Empereur votre oncle, j’ai accordé la même protection aux Bourbons, la même protection à Louis-Philippe, la même protection à la République, et à vous aussi, la même protection vous sera accordée. » L’empereur arrêta l’évêque : » Mais encore croyez-vous que l’époque où nous vivons comporte cet état de choses, et que le moment soit venu d’établir ce règne exclusivement religieux que vous me demandez ? Ne pensez-vous pas, Monseigneur, que ce serait déchaîner toutes les mauvaises passions ? » Le cardinal Pie : « Sire, quand de grands politiques comme votre Majesté m’objectent que le moment n’est pas venu, je n’ai qu’à m’incliner parce que je ne suis pas un grand politique. Mais je suis évêque, et comme évêque, je leur réponds : « Le moment n’est pas venu pour Jésus-Christ de régner, eh bien ! Alors le moment n’est pas venu pour les gouvernements de durer » 14 ans plus tard, le 4 septembre 1870, l'Empereur Napoléon III était renversé. [ Publié le 10 juin 2017 par Alain Texier ]