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La religion écologiste - Climat, CO2, hydrogène : la réalité et la fiction - Des lois pour rien

Référence : 117945
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Date de parution : 5 mai 2021
EAN 13 : 9782810010394
Nb de pages : 272
18.00
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Description
La température moyenne de la planète a augmenté d'environ 1°c depuis un siècle. Selon le GIEC, la cause principale de cette hausse serait le CO2 d'origine humaine et, pour sauver notre terre d'une catastrophe imminente, il faudrait faire baisser nos émissions de CO2. C'est le sens de l'engagement pris par les nations qui ont signé l'accord de Paris.
Dans la droite ligne de ce pacte, la Convention Citoyenne sur le Climat s'est fixée comme objectif de réduire de 40 % nos émissions nationales. Un effort énorme pour la France (et un coût faramineux) mais qui ne correspond pourtant qu'à 0,25 % des émissions mondiales.
Car ce ne sont plus les pays développés qui comptent, mais l'Inde, la Chine, et demain l'Afrique qui ont tous un besoin vital de pétrole, de gaz naturel et de charbon pour sortir leurs populations de la pauvreté comme nous l'avons fait nous-mêmes. Les projections officielles de ces pays montrent ainsi que les émissions mondiales de CO2 vont inexorablement continuer à croître.
Faut-il alors craindre la catastrophe ? Non. Il y avait 4 fois plus de CO2 dans l'atmosphère au temps des dinosaures et tout allait bien.
Si nous avons peur, c'est parce qu'on nous fait peur car la peur rend docile. Toutes les religions le savent bien. Pourtant, il ne devrait s'agir ici que de science. L'Homme est-il vraiment responsable de tous ces maux ? Conduit par une vraie démarche scientifique et en s'appuyant sur les propres chiffres du GIEC, Christian Gerondeau montre qu'il n'en est rien.
Cessons de trembler, ouvrons les yeux et utilisons notre raison.  

Ingénieur polytechnicien et diplômé de Science-Po, spécialiste de l'environnement et des transports, Christian Gerondeau a publié de nombreux ouvrages, dont certains sont traduits dans le monde anglo-saxon.
TitreLa religion écologiste - Climat, CO2, hydrogène : la réalité et la fiction - Des lois pour rien
Auteur GERONDEAU (Christian)
ÉditeurARTILLEUR (EDITIONS)
Date de parution5 mai 2021
Nb de pages272
EAN 139782810010394
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)23
Largeur (en mm)141
Hauteur (en mm)221
Poids (en Kg)0.35
Les avis clients
Les idées fausses...
5/5 Francis Richard
Ce livre est organisé en deux parties. La première dénonce en seize points les idées fausses qui ont cours. La seconde, à caractère historique, relate comment les tenants d'une idéologie écologique, religion des temps modernes, ont méthodiquement conquis en un demi-siècle le pouvoir des idées au sein du monde occidental et au détriment de l'humanité. L'ÉPOQUE DE LYSSENKO ET LA NÔTRE Sous Staline, un certain Trofim Lyssenko inventa une nouvelle technique de production agricole, qui n'était pas scientifique mais idéologique, et qui eut en URSS des résultats désastreux. Soutenu par Staline et successeurs qu'il avait su manipuler, il n'était pas question de le critiquer puisqu'il détenait la vérité. Qu'importaient que ses affirmations soient sans preuves. C'était pour les opposants le goulag et/ou la mort. Aujourd'hui il en est de même avec l'idéologie écologique qu'un nouvel idéologue, Maurice Strong, a réussi à imposer avec des conséquences bien plus graves pour l'humanité entière, idéologie qu'il ne faut pas critiquer sous peine d'être réduits au silence ou ostracisés. SEIZE POINTS QUI METTENT À MAL LA RELIGION ÉCOLOGISTE 1 - Dans un avenir prévisible, de quelques décennies, il sera impossible, c'est factuel, de réduire les émissions de CO2 de telle manière qu'il n'y en ait plus en 2050, comme le prévoit l'Accord de Paris. 2 - Les pays développés peuvent réduire un peu ces émissions, mais certainement pas les nations en développement qui veulent sortir à leur tour de la pauvreté et de la mort: les hydrocarbures (pétrole, gaz naturel et charbon) leur sont indispensables. 3 - L'Union Européenne a la prétention utopique de réduire ses émissions de CO2 mais celles-ci ne représentent que 10% des émissions totales de la planète, c'est-à-dire seulement 3,2 milliards de tonnes, et pèsent peu sur la masse de CO2 dans l'atmosphère, 3200 milliards de tonnes: Les énergies renouvelables intermittentes ne peuvent fournir au plus que la moitié de l'électricité d'un pays. Et elles ne peuvent répondre de manière réaliste à plus de 10% de l'ensemble de ses besoins finaux qui vont bien au-delà de l'électricité. 4 - Les énergies fossiles ne sont pas inépuisables (en dépit de toujours meilleurs rendements dus au progrès technique), mais elles ne seront pas épuisées avant la fin du siècle au plus tôt, et vouloir l'anticiper conduit à de lourds gaspillages dont souffrent d'abord les plus défavorisés de la planète. (bien plus tard, d'autres sources [viendront] prendre la relève dans des conditions que nous ne pouvons imaginer aujourd'hui) 5 - La concentration actuelle de CO2 dans l'atmosphère (440 ppm) est quatre fois inférieure à celle du temps des dinosaures et la température n'y atteignait pas les quelque cinquante degrés qu'indiquent les modèles du GIEC pour de telles concentrations! De plus, l'augmentation de 50% du CO2 depuis 1960 a contribué au quadruplement de la production mondiale de céréales... 6 - L'évolution passée du climat sur 500 000 ans montre que de courtes périodes interglaciaires (comme celle que nous connaissons) ont succédé à de longues périodes glaciaires et que les écarts de température étaient de 10°C entre les unes et les autres... En 170 ans la température moyenne a seulement augmenté d'1°C: hausse de 1850 à 1900; baisse de 1900 à 1910; hausse de 1910 à 1940; baisse de 1940 à 1975; hausse de 1975 à 2000; stagnation de 2000 à 2015; hausse depuis 2015. (il n'y a pas de lien évident entre la hausse de 1°C enregistrée et la concentration de CO2 qui n'a augmenté significativement que depuis 1950...) 7 - Les 245 scénarios du 3e rapport du GIEC de 2001 prévoient sans la moindre justification scientifique des hausses de température d'ici 2100 variant de 1,4 à 5,8°C (la science unanime a parlé...): c'est le seul scénario qui prévoyait une hausse de 6°C qui fit la une de tous les journaux du monde... 8 - Les 164 scénarios du rapport spécial du GIEC de 2011 sur les énergies renouvelables montrent que leur impact sur les émissions de CO2 varie entre leur triplement et une forte baisse en 2100: le seul scénario qui est retenu est celui qui prévoit qu'elles pourraient répondre en 2050 à 80% des besoins énergétiques de l'humanité... 9 - En 2015, les signataires de l'Accord de Paris se sont engagés à parvenir à la neutralité carbone en 2050. C'est-à-dire à faire en sorte que les 33 milliards de tonnes de CO2 émises à l'heure actuelle soient neutralisées. Mais il est impossible de capter le carbone pour le stocker dans le sous-sol parce qu'il est en quantité infime dans l'atmosphère: il faudrait donc le capter à l'endroit où il est produit, mais ce serait à un coût vertigineux. (sur les 33 milliards de tonnes de CO2 émises par l'usage d'hydrocarbures, 15 accroissent le stock dans l'atmosphère, 18 sont absorbées par les océans et la végétation...) 10 - L'Allemagne est dans l'impasse depuis qu'elle a misé sur les énergies renouvelables qui, bien que représentant 36% de l'électricité produite, ne constituent que 8% de l'énergie totale finale et sont intermittentes, c'est-à-dire relayées par les centrales nucléaires, les centrales à charbon et à gaz naturel, qui doivent disparaître... les premières fin 2022 et les autres en 2035. (produire, p.ex., de l'hydrogène à partir de l'électricité coûterait dix fois plus cher que les hydrocarbures qu'il remplacerait...) 11 - Les hydrocarbures depuis deux siècles ont permis à l'humanité de sortir de la pauvreté et de la mort, d'abord dans les pays développés et maintenant dans les pays en développement qui consommeront de plus en plus de charbon, de pétrole et de gaz naturel et qui émettront donc de plus en plus de CO2: De 1980 à 2020, les émissions de CO2 des 50 pays les plus pauvres du monde ont doublé pendant que la proportion de leur population échappant à la pauvreté a également été multipliée par deux, passant de 30 à 60%. 12 - Il y a une différence considérable entre deux prévisions d'émissions de CO2 faites par l'Agence Internationale de l'Énergie: les déclarations nationales qui lui ont été transmises représentent un total de 35,6 milliards de tonnes en 2040 et l'hypothèse de développement durable imposée par sa direction, 15,8 milliards de tonnes, à la même date... Pour y parvenir, il faudrait que les pauvres deviennent encore plus pauvres... 13 - En France, lors de la Convention citoyenne pour le climat, seuls les tenants des thèses officielles sont intervenus... À l'issue de la Convention, il va être imposé aux Français un effort considérable (sans parler des 30 milliards d'euros pour sauver la planète): le kWh (il était à 12 centimes en 2000) passera de 19 centimes en 2020 à 30 centimes en 2030 pour réduire les émissions de CO2 alors que la France ne représente que 9% des émissions européennes, 2,5% des émissions de l'OCDE, et 0,9% des émissions mondiales... L'objectif ambitieux fixé par la Convention est de réduire de 40% les émissions de CO2 à partir de 1990 (l'année de référence) d'ici 2030. Comme la France émettait 367 millions de tonnes en 1990, qu'elle a déjà réduit ses émissions de 60 millions entre 1990 et 2018, il lui reste à les réduire de 87 millions (ce qui correspondra à un total de 220 millions de tonnes), soit à une réduction de 0,25% des émissions mondiales de CO2 estimées à 35 milliards de tonnes en 2030... Tout ça pour ça... 14 - La voiture électrique n'émet peut-être pas de CO2 quand elle roule, mais d'une part sa construction, ainsi que celle de sa batterie, en émet, d'autre part, suivant l'origine de l'électricité qui l'alimente, il y a plus ou moins d'émissions préalables de CO2: en moyenne, une voiture électrique circulant en Europe émet au cours de sa vie entière presque autant de CO2 qu'un véhicule à essence ou a fortiori diesel. 15 - En admettant l'hypothèse du GIEC selon laquelle il faudrait qu'en 2050 les émissions de CO2 soient réduites à zéro, la réduction moyenne annuelle des émissions depuis 2018 jusqu'à cette date devrait être de 8 milliards de tonnes (l'augmentation annuelle étant actuellement de 16 milliards). Le stock actuel de 3200 milliards de tonnes passerait à 3700 milliards dans l'hypothèse de la poursuite des émissions à leur rythme actuel. En conséquence la diminution du stock ne serait que de 256 milliards (=8X32), soit de 7% (=256/3700X100): Les calculs montrent alors que la diminution de la température terrestre n'excéderait pas 0,16°C... 16 - L'air des villes des pays développés est pur, de plus en plus. Tous les relevés effectués en France par les organismes spécialisés dans le sujet le montrent, alors que les Français croient le contraire d'après différents sondages d'opinion et pensent même que la pollution des villes est due au réchauffement climatique (sic)... CONCLUSION DE LA PREMIÈRE PARTIE La perspective d'un réchauffement sans précédent de la planète ne repose sur rien; et l'idée que l'humanité puisse renoncer aux hydrocarbures et réduire ses émissions de CO2 est une utopie. LE MYTHE FONDATEUR DES "EXPERTS" Le GIEC (Groupement intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat) est la traduction mensongère de l'organisme onusien dont le nom originel, Intergovernmental Panel on Climate Change, n'aurait pas dû, en français, comme dans d'autres langues, comporter le mot experts, qui n'y figure pas... C'est d'autant plus mensonger que la plupart des scientifiques qui participent à la rédaction des rapports du GIEC ne sont pas eux-mêmes des experts du climat et que le GIEC proprement dit est avant tout une structure politique et administrative: - un secrétariat, de 13 personnes permanentes, hébergée à Genève par l'Organisation Météorologique Mondiale, dont le GIEC est une filiale commune avec le Programme des Nations-Unies pour l'environnement; - un bureau de 30 membres qui dans leur quasi-totalité ne sont pas des experts du climat et qui est composé paritairement de 15 membres de pays développés et de 15 membres de pays en développement; - une Assemblée générale des représentants des 195 pays de la planète dont 90% ne disposent pas d'experts capables d'avoir une opinion sur les documents présentés et dont ceux qui votent sont désignés par leur ministre de l'environnement. LE PROCESSUS DE DÉCISIONS Christian Gerondeau prend l'exemple du rapport sur les énergies renouvelables, SRREN, publié en 2011 et relève les étapes suivantes: - un rapport illisible de 1544 pages, rédigé par des centaines d'experts1 extérieurs qui sont sérieux, mais ont été choisis par les gouvernements et les ONG écologistes (après avoir milité contre le nucléaire, elles se sont reconverties dans la lutte pour le climat), et dont aucun ne connaît dans leur totalité les dizaines de domaines d'expertise évoqués: ils ne sont dans ce rapport que pour servir de caution; - un résumé technique, tout aussi illisible, de 178 pages, signé par 41 experts, qui servent aussi de caution: seuls trois d'entre eux ont participé au chapitre décisif relatif aux 164 scénarios du rapport, lesquels n'ont fait l'objet d'aucun examen scientifique; - un résumé de 25 pages à l'intention des décideurs qui ne retient qu'un seul des 164 scénarios sans émettre aucun jugement à leur égard; - un long communiqué de 6 pages qui informe que le rapport de 1544 pages a été approuvé à l'unanimité en Assemblée générale des 195 pays, c'est-à-dire par des fonctionnaires ou des responsables politiques qui ne l'ont certainement pas lu; - une phrase mensongère et absurde mise en exergue: Il serait possible que près de 80% de l'approvisionnement énergétique mondial soient assurés par les énergies renouvelables en 2050 (en réalité, c'est 10%); - des déclarations des hauts responsables qui en rajoutent sans vergogne. Il est à noter que le seul scénario retenu est celui de Sven Teske, éminent dirigeant de Green Peace, représentant patenté du lobby de l'industrie du photovoltaïque: ceci explique sans doute cela... Il s'agit d'un processus de désinformation. Il est professionnel en ce sens qu'il est bien organisé. Il est immoral parce qu'il est présenté comme scientifique alors qu'il ne l'est pas: Le but poursuivi est politique sinon religieux, et n'a rien à voir avec l'environnement, encore moins avec la science et avec l'intérêt de l'humanité. Le processus de décisions du GIEC décrit ci-dessus et mis en place par Bert Bolin ne laisse aucune place au hasard et pas la moindre chance à ceux qui ne partageraient pas les mêmes convictions. Il en résulte que, même si les rapports du GIEC ne sont pas en tous points conformes à la religion verte, le résumé à l'intention des décideurs l'est de toute façon, le nombre d'experts mentionnés accréditant fallacieusement la formule selon laquelle la science a parlé. LA GENÈSE DE LA RELIGION VERTE La genèse de cette religion catastrophiste et antihumaniste se trouve dans trois ouvrages des années 1960, qui ont en commun d'avoir une vision négative de l'humanité: - Le printemps silencieux de Rachel Carson, qui ne voyait que les effets nuisibles du DDT pour les oiseaux mais ne voyait pas ses effets bénéfiques pour les hommes; - Limits to Growth du Club de Rome, qui accusait faussement les hommes de dilapider les ressources de la planète; - The Population Bomb de Paul Ehrlich, qui prévoyait la mort par famine de millions d'êtres humains, mais c'est le contraire qui s'est produit. SES TROIS GRANDS PRÊTRES Ils sont trois, inconnus des Français, à avoir porté le climat aux premiers rangs des préoccupations du globe: - Météorologiste, le Suédois Bert Bolin (1925-2007), en 1959, prononce devant l'Académie nationale des sciences américaines un exposé dans lequel il prévoit une augmentation de concentration de gaz carbonique dans l'atmosphère de 25% d'ici la fin du XXe siècle (elle sera de 17%) et, en conséquence, un réchauffement radical du climat. Les faits ne sembleront lui donner raison qu'à partir de 1975. Entre-temps il aura gravi les échelons dans des organisations internationales et commencera à faire triompher ses thèses (qui ne reposent que sur une intime conviction) en étant le principal animateur de la conférence sur le climat, organisée par l'Organisation météorologique mondiale et par le Programme des Nations-Unies pour l'Environnement, en 1985, à Villach, en Suisse, puis en devenant le premier président du GIEC en 1988 (jusqu'en 1997), organisme qui sera la réponse de l'humanité au réchauffement climatique... - Autodidacte, le Canadien Maurice Strong (1929-2015), après avoir fait fortune, côtoie les grands de ce monde, préside notamment la première conférence sur le développement humain, en 1972, à Stockholm. Il obtient la création, en 1973, du Programme des Nations-Unies pour l'environnement dont il est le directeur pendant deux ans. Il devient, en 1983, membre de la Commission mondiale sur l'environnement et le développement des Nations-Unies, connue sous le nom de commission Brundtland où il retrouve Bert Bolin et qui conclut dans un rapport, publié le 30 mars 1987, à la nécessité de réduire les émissions de CO2. Il organise enfin le fameux Sommet de la Terre consacré au climat, à Rio de Janeiro, en 1992... - Physicien et astronome, l'Américain James Hansen (1941- ), a dirigé de 1981 à 2013 un département de la NASA. Il a étudié l'atmosphère de Vénus et en a tiré vraisemblablement des conclusions sans fondement pour celle de la Terre. À partir de 1985 il devint le chantre infatigable de la thèse de l'influence des activités humaines sur le climat et l'a exposé avec succès au Sénat, en 1988, un jour de canicule... Prédisant en toute occasion l'apocalypse pour demain, il est toujours à la base des affirmations du GIEC dont il constitue une omniprésente référence. Aucun de ces trois grands prêtres ne connaissait quoi que ce soit en matière de climat, mais ils croyaient tous les trois dans le caractère néfaste de l'action humaine et avaient la certitude que celle-ci conduisait à un désastre qu'ils avaient mission d'éviter. Comme ils avaient une force de conviction sans égale, ils ont donné naissance à La religion écologiste, cette religion des temps modernes qui perdure jusqu'à ce jour, servie par des successeurs tout autant déterminés qu'eux. CONCLUSION DE LA DEUXIÈME PARTIE S'agissant du climat, on sait ce qui s'est passé: les aberrations qui ont aujourd'hui cours doivent leur naissance et leur survie à la prise du pouvoir au sein des Nations-Unies par une poignée d'hommes qui, avec l'appui des grandes ONG militantes de l'écologie, ont oeuvré depuis près d'un demi-siècle pour pérenniser la vision malfaisante qu'ils avaient de notre monde et de notre avenir. QUE FAIRE ? Il appartient à ceux qui sont les héritiers de Descartes de se révolter contre ce tragique travestissement de la vérité en vue de redonner à la population du monde et en particulier à sa jeunesse confiance dans l'humanité et dans l'avenir. 1 - Les rares experts qui ont protesté et affirmé qu'on avait détourné leurs travaux pour leur faire dire ce qu'ils ne voulaient pas dire ont été obligés de quitter les travaux du GIEC... <p align="right">Francis Richard le 22 mai 2021 sur Le blog de Francis Richard, Semper longius in officium et ardorem<a href= https://www.francisrichard.net/ target=_blank>www.francisrichard.net</a>