Attention, vous utilisez un navigateur obsolète ! Vous devriez mettre à jour celui-ci dès maintenant !

Pensez à commander vos cartes de voeux, et vos agenda pour 2024 !

La librairie n'expédiera aucun colis du 25 décembre au 1er janvier. Une maintenance sera ouverte le 30 et 31 décembre.

La reconquête

Référence : 118244
5 avis
Date de parution : 26 mai 2021
EAN 13 : 9782381320090
Nb de pages : 282
9.50
+ d'éco-contribution

Tarifs dégressifs

Tarif par lot

  • -
    soit le lot
Expédié sous de 1 jours
Voir la disponibilité en magasin

Description
2026. La France s'embrase. Pris entre les manifestations monstres des Français attachés à leur identité et les émeutes des banlieues, le gouvernement Macron est sur le point de s'effondrer.
Tel est le point de départ d'un roman palpitant sur la reconquête de la France par ses habitants. Le réveil d'un peuple qui tente de se relever avant qu'il ne soit trop tard.
Un roman, bien sûr. Mais aussi un scénario parfaitement crédible et que l'actualité rend chaque jour plus vraisemblable.
TitreLa reconquête
Auteur ONTEN (Charles d')
ÉditeurPRESSES DE LA DELIVRANCE (EDITIONS)
Date de parution26 mai 2021
Nb de pages282
EAN 139782381320090
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)16
Largeur (en mm)110
Hauteur (en mm)175
Poids (en Kg)0.26
Critique du libraire
Il est bien difficile de donner un avis, dans l'ensemble ceux qui paraissent sont favorables mais il y a des exceptions par exemple celle de Tony Truand "C'est un roman, c'est bien écrit mais d'une banalité affligeante..."
Les avis clients
Chaque jour plus vraisemblable !
5/5 https://www.leforumcatholique.org/
.----. Un petit livre qui se glisse dans la poche ou dans son sac à main ! Et un contenu qui vous tient en haleine. Bien écrit, percutant, à mettre aussi dans les mains des jeunes à partir de 17/18 ans il faut en effet avoir un peu de culture "politique" pour savourer ces lignes. ! La Reconquête, c'est maintenant ! A lire maintenant... pour préparer 2026 ! 2026. La France s'embrase. Pris entre les manifestations monstres des Français attachés à leur identité et les émeutes des banlieues, le gouvernement Macron est sur le point de s'effondrer. Tel est le point de départ d'un roman palpitant sur la reconquête de la France par ses habitants. Le réveil d'un peuple qui tente de se relever avant qu'il ne soit trop tard. Un roman, bien sûr. Mais aussi un scénario parfaitement crédible et que l'actualité rend chaque jour plus vraisemblable. [ Signé Anne Charlotte Lundi le 5 novembre 2021 sur " Le Forum Catholique " ]
Palpitant et visionnaire
5/5 Hervé
Un superbe roman qui anticipe une crise majeure dans notre pays et qui donne malgré tout de l'espérance ! A lire, vous ne le regretterez pas !
La guerre civile aura-t-elle lieu ?
5/5 https://www.lesalonbeige.fr/
.----. La guerre civile aura-t-elle lieu en France ? C’est le pari que fait Charles d’Onten, auteur de La Reconquête, roman qui nous plonge dans un scénario haletant dans lequel Emmanuel Macron, réélu en 2022 face à Marine le Pen, dirige un pays à bout de souffle. D’un côté, les attentats qui frappent la France provoquent un gigantesque chaos avec la mobilisation de la France des gilets jaunes, de l’autre les banlieues explosent. Le gouvernement vacille, tombe, et tout s’emballe… Entretien avec Charles d’Onten, auteur de cette fiction politique aux accents prémonitoires. Vous avez fait le pari risqué d’écrire un scénario qui devrait se produire à court terme puisque l’horizon de temps est 2027-2031. Pourquoi ce choix ? En effet, le pari est risqué ! Plus l’horizon de temps est court, plus l’auteur s’expose à voir ses thèses décrédibilisées. Cependant, mes rapports avec le monde politique m’ont convaincu que le scénario que j’ai imaginé est l’un des plus probables. Tout me pousse à croire qu’une crise majeure surviendra dans les quinze prochaines années. Je m’explique. Il est désormais certain, sans le moindre doute possible, que d’ici 2050, la France aura fondamentalement changé d’identité : immigration massive, soumission de nos élites à la “cancel culture” venue d’Amérique, islamisation de pans entiers de notre territoire, effondrement de la pratique religieuse chez les chrétiens… Tous ces ingrédients, ajoutés à une économie en berne et un Etat en faillite, font de la France un Liban en puissance. Mais je crois qu’une réaction va se produire avant la moitié du XXIe siècle, réaction issue de la France périphérique, chère à Christophe Guilluy, et celle des classes moyennes et bourgeoises, chrétiennes ou patriotes. Cette alliance, théorisée par Patrick Buisson, serait la seule à même de changer le cours de choses. Encore faut-il savoir comment elle pourrait se réaliser et ce à quoi elle aboutirait ! C’est en effet ce que vous mettez en scène dans votre scénario, l’élément déclencheur est une vague d’attentats qui pousse les Français à réagir. Tout à fait. Je suis convaincu qu’une série d’attentats, ou une agression particulièrement odieuse et qui marquera les esprits, pourrait engendrer la réaction nécessaire au salut de la France. Mais la réaction ne suffit pas, il faut en voir l’aboutissement politique. Nous l’avons vu au moment des Manifs pour Tous, par ailleurs remarquablement organisées : la transformation de cette organisation, issue de la société civile, en mouvement réellement politique ou activiste n’a pas pris. C’est ce qui a signé son arrêt de mort en quelques mois, malgré une capacité de mobilisation unique en France ! Je fais donc le pari, dans mon roman, que le mouvement se reconnaitra ensuite dans l’une des figures politiques bien connues de notre pays – je n’en dis pas plus pour ne pas tout révéler à vos lecteurs ! Cette figure, ou une autre, sera l’élément clé pour réussir la reconquête. Il ne s’agit pas d’avoir l’homme providentiel, il nous faut en revanche un chef, un chef qui ait trois qualités : humilité, courage et sens du sacrifice. Sans cela, toute tentative sera, à mes yeux, vouée à l’échec. Et pensez-vous réellement qu’il soit encore envisageable d’inverser le cours des choses ? Ce sera bien sûr extrêmement difficile. L’enjeu est absolument monumental, digne de ce qu’on dû bâtir nos rois pour créer ce qui s’est appelé une nation. Notre nation est fragmentée, déchirée, entre trois courants irréconciliables : ceux des immigrés qui ne veulent pas s’intégrer, ceux des natifs qui sont attachés viscéralement à leur terre, leur culture, leur histoire… et les autres qui sont attachés au matérialisme et à l’individualisme, ce qui les mène au transhumanisme, à l’Homme sans Dieu. Entre ces trois courants, la guerre est déclarée. Les premiers et les seconds se battront probablement un jour au sens propre, c’est la guerre civile que j’anticipe. Les troisièmes n’auront qu’à fuir le pays, étant déracinés, ils pourront pour la plupart choisir de partir. Mais il reste le ventre mou, celui de la jeunesse qui est sous influence de Tik-Tok, Youtube ou autres médias, pour qui l’incarnation de la réussite est d’être rappeur ou footballeur. Ces générations, qui sortent majoritairement avec de grosses lacunes en termes d’éducation intellectuelle et de savoir-être, devront être la priorité de nos gouvernants. Si nous n’arrivons pas à leur redonner l’amour de la France, rien ne servira de reconquérir le pouvoir et de combattre l’islamisme car l’ultime gagnant sera Big Brother. Bref, la reconquête devra être à la fois territoriale, économique, politique, éducative, morale, culturelle… Le chantier est immense. Il nous faudra pour cela une personnalité hors norme. Nous verrons bien si mon roman aura réussi à anticiper qui pourra nous sauver et comment ! Un livre à commander [ Salon Beige le 24 juin 2021 ]
2 ème extrait ...
4/5 https://www.bvoltaire.fr/
.----. 16 février 2026, Fleury-Mérogis Youssouf rentra dans le bâtiment, dont la façade grise et sale surplombait une cour close, en frissonnant. Il ne supportait plus le froid glacial qui traversait le pays de part en part depuis d’interminables semaines. Il était heureux que cela se termine, définitivement. Il regarda ses camarades à travers la vitre. Ils se recroquevillaient en fumant leur cigarette, s’accrochant à ce petit bout de chaleur qui encombrait doucement leurs poumons. Les hauts murs d’enceinte, hérissés de barbelés et surmontés de miradors, rendaient l’atmosphère écrasante. Il se demanda comment ils pouvaient supporter de s’étouffer avec une fumée artificielle dans un environnement si suffocant. Il pénétra dans la salle commune sous le regard pesant, lourd d’attente et pourtant craintif, de ses coreligionnaires. Ils savaient tous que le jour était venu. Personne ne l’avait balancé, il était certain qu’aucun des détenus n’oserait trahir son secret. Il avait derrière lui de puissants réseaux, ils le savaient et le craignaient. De toute façon, même si c’était le cas, il était trop tard pour l’arrêter. La salle était étrangement calme, il avait l’impression d’être sous l’eau, les sons atténués lui semblaient lointains, inaccessibles. Il entendait, mieux, il sentait son cœur battre, doucement, comme s’il avait conscience de sa fin imminente. Le sang pulsait à ses oreilles. Tout semblait ralenti, comme s’il avait été dans une autre dimension. Il ne faisait déjà plus partie du monde des hommes. Depuis des mois, des soldats de l’ombre comme lui s’organisaient dans de nombreux endroits. Ils avaient prévu d’agir de concert pour faire vaciller leur ennemi, lui faire comprendre qu’il avait perdu le contrôle. Le manque de surveillance et les faibles moyens que ses adversaires s’étaient donnés en avaient fait une proie facile, blessée. Il était temps de la mettre à mort. Il s’approcha du gardien de prison le plus proche, sortit son couteau et hurla « Allahou Akbar! » Aujourd’hui, la France allait payer. Le même jour, Saint-Denis Akim se baladait dans le centre-ville de Saint-Denis en gardant les mains dans ses poches pour les maintenir au chaud, à l’abri de l’effroyable vent qui soufflait depuis trois jours sur la ville. Il s’ennuyait fermement chez lui, il s’était donc décidé à rejoindre ses amis là où ils traînaient toujours. Sa mère avait encore crié, elle ne voulait pas qu’il voie les « extrémistes du quartier ». Mais depuis que son père était parti, Akim se moquait de l’autorité. Il n’avait plus peur de sa mère, il n’avait pas à lui obéir. Il devait obéir à une seule personne : l’imam. Il n’était pas pour autant toujours d’accord avec ses amis, il les trouvait trop haineux, toujours à parler de vengeance, d’infidèles, de conquête… Lui préférait avancer, il avait déjà décidé, du haut de ses 14 ans, qu’il ne détesterait pas les Blancs. Il choisissait de les ignorer, ce n’était d’ailleurs pas difficile : à part quelques vieux, il n’en voyait jamais, si ce n’est à la télé, et, même là, de moins en moins. Il arriva bientôt au porche du HLM sous lequel se trouvait en permanence l’un ou l’autre de ses « frères », comme il les appelait. Il était fier d’avoir pour amis des jeunes de 16 à 25 ans, il ressentait cela comme une marque de confiance. Il n’y avait personne au lieu de zonage habituel. Bizarre. Il décida d’aller au centre commercial, là, il devrait y trouver quelques-uns de ceux qu’il cherchait. Il arriva par la place de la Halle et entra dans le centre. Il déambula puis aperçut rapidement Farid, l’un de ses plus proches amis, au loin. Il s’inquiéta tout de suite de sa présence dans le centre commercial, Farid était recherché par la police pour avoir agressé un jeune homme quelques jours plus tôt, il était censé se cacher chez des amis pendant quelques semaines, d’autant que le gars qu’il avait cogné était dans le coma et que Farid en était à sa quatrième récidive. Il s’approchait de son ami quand il vit deux policiers se diriger vers lui, Farid ne les avait pas vus, il hurla : « Va-t’en, va-t’en Farid ! » Ce dernier se retourna et aperçut les policiers, il commença à courir et il sortit une arme de poing, il se retourna dans sa course et visa les forces de l’ordre. Des coups de feu fusèrent. Trois. Farid s’écroula et son arme glissa sur le sol jusqu’au premier vigile. Une flaque de sang s’élargissait sous son corps sans vie, criblé de deux balles, la troisième avait troué un mannequin dans une vitrine voisine. Akim s’approcha, les yeux fixés sur le visage de son ami, perdu dans un abîme d’incompréhension et de tristesse. Le policier le plus proche ramassa l’arme, il l’observa, écarquilla les yeux et murmura : « Putain, c’est un pistolet à bille ! » [ Publié le 1er août 2021 ]
"sur le point de s’effondrer"
4/5 https://www.bvoltaire.fr/
.----. 2026. La France s’embrase. Pris entre les manifestations monstres des Français attachés à leur identité et les émeutes des banlieues, le gouvernement Macron est sur le point de s’effondrer. Tel est le point de départ d’un roman palpitant sur la reconquête de la France par ses habitants. Sous le pseudonyme de Charles d’Onten se cache un fin connaisseur des arcanes du pouvoir, du monde politique et des forces vives de la société française. 9 août 2031, fort de Brégançon Il se reposait sur une chaise, à l’ombre des hauts pins qui bordaient la somptueuse propriété. La chaleur accablante ne le dérangeait pas mais il aimait le bruit de la brise qui passait dans les aiguilles des arbres majestueux. Il ferma les yeux, profitant du moment de calme qui lui était offert. Le déjeuner avait été particulièrement joyeux, ses quatre enfants étaient excités à l’idée de la semaine de vacances qui s’annonçait et ils étaient conscients que leur avenir ne serait plus le même à compter de la semaine suivante. Ils étaient partis jouer sur la plage, tandis que lui avait prétexté un dossier urgent à lire pour s’isoler un court moment. Il avait effectivement un lourd rapport dans les mains, il s’agissait d’un énorme travail effectué par le gouvernement en place au sujet de la sécurité du territoire. Le chef d’état-major de l’armée de terre et le ministre de l’Intérieur avaient supervisé ensemble le contenu du rapport. Mais il n’avait pas l’intention de le lire immédiatement. La réalité était qu’il avait peur, il s’était préparé toute sa vie à ce moment mais il était terrifié. Ce n’était pas tant son destin personnel qui l’effrayait que celui de toute sa famille, ils s’engageaient dans une aventure qui les dépassait tous. Son épouse semblait, elle, sereine ; elle s’abandonnait totalement, confiante en l’avenir. Mais elle n’allait pas endosser son rôle, c’est lui qui allait devoir prendre en main la destinée de millions de personnes. Il songeait au chemin qu’il avait choisi de prendre. Quand on le lui avait proposé, il avait hésité, longuement, peu convaincu que le peuple l’attendait réellement. À force de rencontres, d’échanges, de réunions de travail et d’interventions médiatiques, il avait fini par se convaincre qu’il était réellement appelé, mais avait-il eu raison ? Et s’il s’était trompé ? S’il s’était laissé aveugler par une poignée de fanatiques incapables de savoir ce dont avaient réellement besoin ses concitoyens ? Il allait probablement vite le savoir. – Louis ? Qu’est-ce que tu fais ? Nous t’attendons pour le café, le Premier ministre et son épouse sont là. Sa femme s’était approchée sans bruit. Elle posa la main sur son épaule et lui caressa la joue. – Il faut que tu viennes, mon chéri, ils n’ont que deux heures à nous accorder pour nous indiquer ce qu’a prévu le gouvernement pour assurer la transition. Tu es prêt ? Il la regarda un instant, il était toujours amoureux d’elle, grande et fine brune au regard clair et au large sourire. Elle l’apaisait. – Je suis prêt, allons-y. Le prince Louis de Bourbon, aîné des Capétiens et héritier légitime du trône de France, également connu comme Louis XX, se leva. Il était temps pour lui de se mettre au travail : dans quelques jours, le 15 août 2027, il serait couronné roi de France, presque 250 ans après que les Français eurent décapité son ancêtre, Louis XVI. [ Publié le 31 juillet 2021 sur "bvoltaire" ]