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La passion de Jésus-Christ selon le chirurgien

Référence : 7770
6 avis
Date de parution : 1 mars 2011
EAN 13 : 9782712204556
Nb de pages : 266
19.80
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Description
Si le récit de la Passion du Christ n'a pas manqué de savants exégètes théologiens, seul un chirurgien pouvait tirer de la méditation du texte évangélique une description précise des souffrances physiques du Crucifié.
Ayant entrepris, en toute indépendance d'esprit et avec la plus grande objectivité scientifique, une étude du Linceul de Turin, le Docteur Pierre Barbet découvrit peu à peu, en vingt années de recherches patientes et minutieuses, tout le détail des souffrances que Notre Seigneur voulut endurer pour nous. Il s'agit moins, dans ce livre, de démontrer l'authenticité d'une relique, que de nous apprendre à "compatir" avec notre Rédempteur.
Cependant, l'accord saisissant des découvertes anatomiques, des données évangéliques et des images du linceul aboutit pour l'auteur à la conviction que ce linge a contenu le corps du Christ et qu'il est, comme l'a dit le Pape Pie XI, "une chose sacrée comme peut-être nulle autre".
TitreLa passion de Jésus-Christ selon le chirurgien
Auteur BARBET (Dr Pierre)
ÉditeurMEDIASPAUL (EDITIONS)
Date de parution1 mars 2011
Nb de pages266
EAN 139782712204556
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)17
Largeur (en mm)135
Hauteur (en mm)185
Poids (en Kg)0.28
Critique du libraire
14e édition (depuis 1950). Description médicale des souffrances endurées par le Christ.
Les avis clients
Référence incontournable.
5/5 Barmat
Même s'il date de près d'un demi-siècle maintenant, l’œuvre de Pierre Barbet reste une référence incontournable pour tous ceux qui recherchent la vérité au sujet du Linceul de Turin. Pour autant, l'objectif premier de ce livre est de nous faire connaître en profondeur toutes les souffrances physiques endurées par le Christ lors de sa Passion. Excellent ouvrage !
Richesse.
5/5 Revue des cercles d'études d'Angers
.----. OUI,VRAIMENT,LA LECTURE DE CE LIVRE DANS SES PAGES ESSENTIELLES CONSTITUE POUR QUI SE SAIT "RACHETé", la plus ineffable,LA PLUS DOULOUREUSE DES MéDITATIONS DONT AUCUNE ANALYSE, AUCUN RéSUMé NE PEUT RESTITUER LA RICHESSE. ( numéro 2, novembre 1977 ).
Iconographie chrétienne.
5/5 Revue des cercles d'études d'Angers
.----. Cette étude complète du supplice de la croix montre, accessoirement, l'inexactitude de notre iconographie chrétienne. La croix se composait de trois parties. Le STIPES qui en était l'axe verticale, élément fixe, fiché en permanence dans le sol et haut d'environ deux mètres ; ensuite le PATIBULUM, branche transversale qui était seule portée par le supplicié jusqu'au lieu de la crucifixion et sur laquelle il était cloué, à terre, bras écartés. O n hissait ensuite le PATIBULUM et sa charge humaine au haut du STIPES où les bourreaux l'assujettissaient. Puis les pieds du condamné étaient à leur tour fixés directement sur les STIPES, ramenés l'un sur l'autre et encloués dans cette position. Troisième élément : le TITULUS, simple plaque de bois sur laquelle était inscrit le motif de la condamnation (I.N.R.I. pour le Christ) ; le TITULUS était placé en haut du STIPES, au-dessus de la tête, réalisant ainsi l'image conventionnelle d'une croix, qui en réalité formait un "tau" : T.----....---...--..-. Il n'y avait pas de console sous les pieds et très rarement un SEDILE, sorte de croc en bois, enfoncé sur la face antérieure du STIPES, soutenant le corps au niveau du périnée et destiné à prolonger l'agonie en retardant l'asphyxie. ( suite... ).
Le Saint-Suaire.
5/5 Revue des cercles d'études d'Angers
.----. Enfin et surtout l'auteur s'est penché sur le saint-suaire de Turin dont il fait un historique rigoureux, ne passant sous silence aucune lacune du dossier, mais concluant qu'en tout cas, il ne peut être l’œuvre d'un faussaire. Il démontre scientifiquement que ce suaire a certainement contenu le cadavre d'un supplicié, qui fut flagellé, couronné d'épines, crucifié et blessé au flanc droit. Pour le Dr Barbet, il ne peut y avoir de doute : ce supplicié était le Christ. On retrouve en effet, par l'étude des empreintes du linceul, les éléments de la crucifixion : la flagellation qui était le préambule obligatoire de toute mise à mort, la trace des clous dans le carpe des deux mains et du clou unique des deux pieds, les excoriations de l'épaule et du dos par le portement de croix ; la plaie de la lance au côté droit, qui était le coup de grâce officiel, exigé par les autorités militaires, avant la remise éventuelle du cadavre à la famille. En outre, nous sont révélées la certitude d'un couronnement d'épines qui n'existait pas dans un supplice de cet ordre, mais que les Evangélistes nous attestent pour le Christ, ainsi que l'absence de fractures au niveau des deux jambes, fractures qui étaient provoquées comme aux deux larrons, pour hâter la mort du crucifié, mais que le Christ, lui, ne subit pas puisqu'IL était déjà mort, et que fut ainsi accomplie la parole des Ecritures : "On ne Lui brisera pas un os". Même si les longues analyses techniques peuvent parfois nous paraître irritantes, elles entraînent la conviction, tant elles sont rigoureuses. Il ne manque à cette étude du saint-suaire, -- et l'auteur le déplore, -- que les examens biochimiques sur prélèvement au niveau des empreintes, prélèvement auquel la Maison de Savoie, propriétaire de la Relique, s'est jusqu'à présent opposée. ( suite... ).
Les souffrances physiques.
5/5 Revue des cercles d'études d'Angers
.----. Cet ouvrage est avant tout un témoignage de foi vibrante écrit par un chirurgien sur les souffrances physiques endurées par le Christ durant sa Passion. Pour un chrétien, la lecture en est bouleversante. Exposées avec un grand souci d'objectivité clinique, ces souffrances ont ému l'auteur "jusqu'aux larmes" et le lecteur s'associe à cette compassion avec intensité.----....---...--..-. Cette étude de la Passion se réfère évidemment aux Evangiles et aux Epitres qui sont très concis, il faut le dire, sur la crucifixion elle-même ; mais était-il besoin, à l'époque, d'insister sur l'atrocité d'un supplice dont chacun connaissait l'horreur, au point que personne n'osait en parler ni surtout le reproduire, en peinture ou en sculpture, à propos de son Dieu.----....---...--..-. Autre source de renseignements : les nombreux récits historiques de crucifixion chez les Romains ; c'était le supplice réservé aux esclaves. En parlent avec abondance : Josèphe, Suétone, Sénèque, Ciceron, Tite-Live, Orace, Plaute, etc... ( suite... ).
Le supplice.
3/5 Revue des cercles d'études d'Angers
.----. Voilà le supplice voulu et subi pour nous par le Fils de Dieu. Il fut pénible, insoutenable à l'auteur d'analyser, en savant et en chrétien, toutes les phases cliniques du Martyre, depuis la sueur de sang au Mont des Oliviers, les outrages au Prétoire jusqu'à la mort sur la croix et l'ensevelissement. Il paraît presque blasphématoire de le résumer ici, en quelques lignes ; il faut le lire dans le texte de l'ouvrage. Personne fut-il incroyant, ne pourra rester insensible à cette lente agonie d'un corps, mis à vif depuis le cuir chevelu jusqu'aux pieds, corps dont tout le poids tire sur les plaies des mains et tend sur les clous, comme sur un chevalet, les deux nerfs médians, provoquant une douleur indicible. Et puis, au bout de quelques instants, les muscles des bras se raidissent ; les crampes se généralisent, atteignant les membres inférieurs et les muscles respiratoires. L'asphyxie s'installe ; la cage thoracique étirée ne laisse entrer qu'un filet d'air. La mort approche. Non, son heure n'est pas venue, il Lui faut prendre douloureusement appui sur le clou des pieds, redresser le corps affaissé, soulager la traction des bras et libérer ainsi le thorax. La respiration se rétablit, la mort s'éloigne. Puis progressivement le corps retombe, la tétanie, l'asphyxie surviennent à nouveau, et c'est encore, pour respirer, l'atroce ascension de ce corps. Et cela va durer trois heures ! "Mais mourez donc, mon Dieu" s'écrit le Dr Barbet. Le Christ est mort à l'heure qu'IL avait choisie, à la neuvième heure, après un ultime redressement et l'aspiration d'une dernière bouffée d'air qui lui permettrait de jeter vers son Père ce cri qui scelle notre destin : "Mon Père je remets mon Esprit entre Tes mains". ( suite... ).