Conseil !
5/5 Jean-Joël.
Bonjours chers amis,
Je viens de recevoir votre revue au sujet de ES 1025, bien.Il me semble qu'il faudrait conseiller de lire " La maison battue par les vents " qui est la continuation logique et épouvantable de ES 1025.J'ai mis ensembles ces deux ouvrages, précisant bien à ceux à qui je les prête qu'il faut commencer par ES 1025 si on veut comprendre l'autre.J'ajouterai votre revue à ces deux livres.
Bien cordialement.
Le roman du Vatican
5/5 Renaissance Catholique n°143, août-octobre 2016
Publié pour la première fois en 1998, ce roman reste d'une brûlante actualité. En effet, il décrit les manoeuvres de hauts prélats qui multiplient les intrigues afin de pousser le pape Jean-Paul Il à la démission. Entre cultes sataniques, scandales de clercs homosexuels ou pédophiles, ralliement de la nouvelle Église à la doxa mondialiste selon laquelle « les maux de la famille humaine sont dus en premier lieu, non à quelque concept primitif appelé Péché originel mais à la misère, à la pauvreté et au manque d'instruction », manoeuvres financières et combinazione ecclésiastiques et vaticanes, Malachi Martin tient le lecteur en haleine jusqu'au dénouement...qui ne dénoue rien.
Le célèbre jésuite irlandais (1921-1999) fut un temps secrétaire privé du cardinal Béa après avoir obtenu des doctorats en langue sémitique, en archéologie et en histoire orientale. Son oeuvre comprend une vingtaine d'ouvrages consacrés essentiellement, hormis une histoire des Jésuites, à des questions d'archéologie sémitique ou à la crise de l'Église. La maison battue par les vents, nom de la maison de famille des deux frères d'origine américaine — Paul et Christian Gladstone —, l'un avocat l'autre prêtre, manipulés comme des pions par le machiavélique cardinal Maestroianni, n'est pas sans analogies avec l'oeuvre de Michael O'Brien et les démêlés du Père Elijah avec un complot mondialiste au sein même de l'Église.
Une oeuvre de fiction inspirée de faits réels puisqu'un tableau de concordance fait le lien entre les personnages romanesques et des personnalités réelles. À lire avec un grand esprit de foi surnaturelle même si quelques personnages sauvent l'honneur de l'Église : cardinal Sanstefano — cardinal Oddi —, père Aldo Carnesecca, Francesca Gladstone !
<p align="right">Yves <a href= http://www.renaissancecatholique.org/ target=_blank>www.renaissancecatholique.org</a>
LA MAISON BATTUE PAR LES VENTS (WINDSWEPT HOUSE). LE ROMAN DU VATICAN.
5/5 Action Familiale et Scolaire n 245-246 p.99
En anglais, on appelle cela un thriller. Alors disons qu'il s'agit d'un roman policier qui prend des éléments du siècle dernier pour construire une intrigue qui pourrait ressembler à la réalité : la lutte entre Satan « incarné dans les forces mondialistes » et le Vatican personnifié par le pape après le concile Vatican II. Cet ouvrage très épais a été écrit en anglais (langue de l'auteur irlandais) en 1996 et vient d'être traduit en français. L'auteur, ancien prêtre jésuite, a été un proche du cardinal Béa, de Jean XXIII et de Paul VI. De tendance traditionnaliste, il est fasciné par le troisième secret de Fatima et son message, qu'il qualifie d'apocalyptique autant qu'on puisse le connaître. « Windswept house » est le nom de la propriété d'un riche américain, grand bienfaiteur (par ses finances) du Vatican, dont la veuve est viscéralement attachée à l'Église de toujours, celle de deux millénaires de tradition, avant le concile Vatican II. Elle n'hésite pas à se rendre au Vatican quand elle le juge nécessaire.
Et ce sont ses deux garçons, l'un prêtre, fervent défenseur de l'autorité papale, le second avocat, promis à un brillant avenir dans la société internationale, qui se trouveront au centre de l'intrigue visant à investir le Vatican par la "ploutocratie mondiale". De fait, cette « maison battue par les vents » symbolise ce combat à mort, contre l'Église de Dieu pour l'établissement d'une société mondiale unique, débarrassée de toute référence divine. La longue expérience de l'auteur au sujet du fonctionnement du Vatican lui permet de nous plonger dans cette lutte contemporaine où nous pourrons chercher les noms réels - cachés dans les personnages - et tous les coups plus ou moins « fourrés » utilisés. Passant souvent d'un camp à un autre, surtout lorsque certains protagonistes jouent les agents doubles, nous sommes tenus en haleine tout au long de ce passionnant - voire inquiétant - roman d'une fiction que nous ne voudrions pas vivre. Mais « Les portes de l'Enfer ne prévaudront pas » (Évangile St Mathieu XVI-18).
<p align="right">JdS <a href= http://afs.viabloga.com/ target=_blank>afs.viabloga.com</a>/
Sans grand intérêt
1/5 Yvan
C'est un roman... On n'a pas besoin de cette littérature pour savoir qu'il y a des infiltrés F.M. dans l'Église. Je ne vois pas bien l'intérêt d'un tel roman, qui fait passer la véritable histoire pour une "théorie du complot". Un tel livre fera plus de mal que de bien. Par ailleurs, voilà ce qu'on lit sur l'auteur : ----------
"Malachi Martin, qui fut sans conteste le pire agent sioniste infiltré dans l'Église catholique au 20e siècle, en partie responsable des machinations sionistes en coulisse qui ont engendré les réformes de Vatican II, mais il faut se poser de sérieuses questions quant aux compétences et à la valeur de la parole de cet homme. Car là où l'on fait la promotion de l'oeuvre de Malachi Martin, il y a lieu de suspecter que nous ayons affaire à une véritable opération de désinformation, de pollution de la droite nationaliste traditionaliste et religieuse, sinon à tout le moins à une incompétence crasse et hautement dangereuse. " -----------
http://pascasher.blogspot.com/2016/07/mise-au-point-sur-les-chevres-de-judas.html