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La loi Rocard du 13 juillet 1990

Référence : 49346
Date de parution : 1 janvier 1990
Auteur : MADIRAN (Jean)
Éditeur : DIFRALIVRE
EAN 13 : 0000279200002
Nb de pages : 18
1.50
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Description
Sommaire :
Introduction
I. Par le coup d'Etat du 13 juillet 1990 la France a changé de régime politique
Le coup d'Etat à la voleur chinois
Permis hier, interdit aujourd'hui
Une loi contre un certain blasphème
Du droit commun au privilège
Le soi-disant "respect de l'autre"
La foi chrétienne n'est pas une opinion
C'est toujours la République, mais sans la liberté
II. Il est désormais interdit de parler en faveur de la préférence nationale
Une loi qui s'avance masquée
L'interdit
Une loi contre Le Pen
La terrifiante inattention des hommes politiques et la somnolence persistante de la presse obèse
III. Une vérité historique décrétée à jamais et c'est par un tribunal militaire
Un tribunal sous influence stalinienne
Une soudaine infaillibilité de la justice humaine
C'est la loi elle-même qu'il faut contester
TitreLa loi Rocard du 13 juillet 1990
Auteur MADIRAN (Jean)
ÉditeurDIFRALIVRE
Date de parution1 janvier 1990
Nb de pages18
EAN 130000279200002
Épaisseur (en mm)2
Largeur (en mm)136
Hauteur (en mm)210
Poids (en Kg)0.03
Biographie
Jean MADIRAN (1920-2013)
Jean MADIRAN (1920-2013) Né le 14 juin 1920 à Libourne, décédé à Paris le 31 juillet 2013, Jean Arfel, alias Madiran, Lagor ou Castetis, devient disciple de Charles Maurras qu'il rencontre pour la première fois en 1942.  

Jean Madiran : l'itinéraire s'achève  

Jean Madiran est mort le 31 juillet. Le fondateur du quotidien Présent était une figure de la presse politique française. Né en 1920, Jean Arfel écrit sous son nom ses tout premiers articles dans la Revue universelle, proche de l'Action française quelques mois avant le déclenchement de la Deuxième Guerre mondiale. Remarqué par Charles Maurras, qui le considère très vite comme l'un de ses jeunes dauphins, ce fervent partisan de la Révolution nationale, voulue par le Maréchal Pétain, fonde après la guerre L'indépendance française, qui, entre 1946 et 1950, accueille d'anciens journalistes de l'Action française comme Pierre Varillon. Très vite, à travers un itinéraire spirituel exigeant, il devient l'un des censeurs de la politisation à gauche de l'Eglise de France, contre laquelle il écrit deux livres retentissants, Ils ne savent pas ce qu'ils font et Ils ne savent pas ce qu'ils disent (1955), qui consacreront son talent d'essayiste. En 1956, il fonde la revue Itinéraires, qui, jusqu'en 1996, sera le symbole de la résistance spirituelle des catholique au processus d'autodestruction de l'Eglise, défendant avant que quiconque y ait seulement songé, la pérennité de la liturgie traditionnelle. Dans des Editoriaux, à la rhétorique ciselée, il perpétue quelque chose de la voix grave et obsédante de Charles Péguy. Une collection Itinéraires groupe autour de la revue des contributeurs de talent, de Henri Massis aux frères Charlier et à Louis Salleron. En 1968, Jean Madiran publie L'hérésie du XXème siècle. La revue tend à devenir l'expression d'une véritable école de pensée traditionaliste catholique. C'est dans cette perspective qu'en 1982, avec Romain Marie, François Brigneau et Pierre Durand, il fonde le quotidien Présent, dont il sera le directeur de la rédaction, le directeur de la publication et jusqu'aujourd'hui le directeur émérite et chroniqueur brillant.
Proche de Mgr Lefebvre, il avait refusé d'opter en 1988 en faveur des sacres illégaux de quatre évêques, préférant la position légitimiste de son vieil ami Dom Gérard Calvet, prieur puis abbé du monastère bénédictin du Barroux. Proche du Front national et de Jean-Marie Le Pen, il n'avait pas voulu vouer aux gémonies Bruno Mégret, lors de la scission de 1998, considérant qu'un journaliste n'avait pas à prendre parti dans une affaire d'hommes. Rappelant plusieurs fois par semaine, dans Présent, les fondamentaux du combat national et catholique, il publie de nombreux livres parmi lesquels, en 2002, Une civilisation blessée au cœur, qui passe pour son testament politique et La révolution copernicienne dans l'Eglise qui est son testament spirituel. 
[ Publié le jeudi 1 août 2013 par Minute ]    
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Critique du libraire
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