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La gracieuse histoire de la petite Anne de Guigné

Référence : 110411
7 avis
Date de parution : 21 novembre 2019
EAN 13 : 9782851902641
Nb de pages : 132
14.00
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Description
Anne de Guigné est emportée par une méningite le 14 janvier 1922. Elle n'a pas encore onze ans. Et pourtant, quelle vie ! Ce n'est pas tant la maladie qui l'emporte que le désir de voir Dieu. « Ma Sœur, puis-je aller avec les anges ? » est la dernière question qu'elle pose à la dévouée religieuse qui la veille. Sur la réponse affirmative elle ajoute : « Merci, ma Sœur, oh ! merci ! » Voilà une enfant qui, la grâce aidant, par la force de la prière et de l'abnégation, a franchi une à une les étapes de la vie intérieure et parvient en ce domaine à une maturité que la plupart des adultes n'atteignent jamais.  

« En vérité, je vous le dis, à moins que vous ne vous convertissiez, et que vous ne deveniez comme de petits enfants, vous n'entrerez pas dans le royaume des cieux. C'est pourquoi, quiconque se rendra humble comme cet enfant, sera le plus grand dans le royaume des cieux » (Matthieu, XXVIII, 3-4). C'est le message que nous adresse le père Étienne-Marie Lajeunie, dans cet ouvrage, l'une des premières biographies d'Anne de Guigné. Elle n'est pas seulement un modèle à suivre pour nos enfants ; elle nous prend tous à partie : sur le chemin du ciel, où en sommes-nous ? Sommes-nous de ces âmes vieillies sous le poids de nos égoïsmes ? Ou bien, redevenus humbles et priants, comme cette enfant, nous avançons-nous chaque jour un peu plus vers le royaume des cieux ?  

Le R.P. Étienne-Marie Lajeunie, de l'Ordre des Frères prêcheurs (ou dominicains), né le 22 novembre 1886 à Saint-Sylvestre-sur-Lot (Lot-et-Garonne), est mort le 1er novembre 1964 à Monteils (Aveyron). Il collabora à La Vie spirituelle, revue dominicaine fondée en 1919 à Saint-Maximin par le père Marie-Vincent Bernadot et fut avec ce dernier, en 1928, le cofondateur de la revue La Vie intellectuelle.
TitreLa gracieuse histoire de la petite Anne de Guigné
Auteur LAJEUNIE , o.p. (Père Etienne-Marie)
ÉditeurCHIRE (EDITIONS DE)
Date de parution21 novembre 2019
Nb de pages132
EAN 139782851902641
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)10
Largeur (en mm)135
Hauteur (en mm)210
Poids (en Kg)0.14
Critique du libraire
Si petite et pourtant si proche de Dieu ! Anne de Guigné à 11 ans à peine devient un maître spirituel ! Enfant difficile et colérique, la petite Anne s'engage sur les voies de la sainteté et nous donne l'exemple d'une courte vie toute donnée à Dieu. Cette toute première biographie écrite par le le Père Lajeunie en 1924, soit deux ans après la mort d'Anne de Guigné, retrace cet itinéraire spirituel.
Les avis clients
Un livre qui vous enchantera
5/5 AFS
.----. Ouvrez vite cette petite vie d’Anne de Guigné, morte à 10 ans en odeur de sainteté ! Tout vous enchantera : son charme exquis, sa tendresse, sa charité toujours délicate, son obéissance, son amour du sacrifice et sa gratitude…Pour le Père Lajeunie, qui écrivit ce livre en 1924, ces vertus héroïques sont le fruit d’un amour ardent pour Dieu et d’un abandon total ! Après la mort de son père, officier mort au combat en 1915, Anne décidera de consoler sa maman. Le Saint-Esprit va Lui-même ciseler cette âme si passionnée et généreuse ! Rien de compassé en elle, mais une nature épanouie, profondément bonne… L’auteur, dominicain, analyse en profondeur la sainteté de cette enfant. « On voit Jésus dans ses yeux ! » Un excellent modèle pour nos enfants dès 11 ans, mais aussi pour les plus grands et même les mamans dans leur grande tâche d’éducatrices… La sainteté à portée de tous… AFS n° 270 (août 2020)
On est émerveillé ...
5/5 Plaisir de Lire .
.----. Avancer vaillamment vers le royaume des cieux... C'est ce que cette toute jeune âme est parvenue à réaliser quand elle est rappelée à Dieu à l'âge de 10 ans . On est émerveillé devant la foi et l'abnégation de cette enfant qui franchit avec générosité toutes les étapes de la vie intérieure . Un très beau livre dont la lecture ne peut que nous aider à progresser . POUR QUI CE LIVRE ? : Pour tous à partir de 15 ans afin de bien en saisir toute la profondeur . [ Numéro 191 - mars 2020 du trimestriel " Plaisir de Lire " . Petite revue qui parait depuis plus de 50 ans (1966) , elle est sous-titrée " Littérature et vie chrétienne " , est dirigée par Marie de l'Aubier .Vous pouvez demander un spécimen de la part de "Chiré" à l'adresse "Plaisir de lire" , 57 route Nationale , 80160 , Flers-sur-Noye ]
Témoignage de Monsieur Christian Foissey .
5/5 https://www.annedeguigne.fr/fr/
.----. Nous avons reçu un témoignage d'un grand intérêt. Monsieur Christian Foissey, 67 ans, a trouvé récemment auprès d’Anne de Guigné une aide précieuse dans une circonstance qui aurait pu être fatale pour sa vie. Anne n'était pas une inconnue pour lui car il avait lu sa biographie bien des années auparavant. Il avait renoué avec elle en la faisant connaître à ses petits-enfants Camille et Gaspard. Une occasion de vacances dans la région d'Annecy lui permit de visiter, avec Camille alors âgée de 10 ans, la tombe d'Anne au cimetière d’Annecy-le-Vieux et, par une circonstance providentielle, le château de La Cour, qui normalement n'est pas ouvert à la visite. Camille était ravie : « Tu te rends compte, Papy, nous avons vu le neveu d’Anne et nous avons pu visiter sa demeure. » Mais la petite Anne allait donner un signe de sa présence agissante le mardi 28 août 2018. Je terminais un tour de VTT, dans la forêt de Mervent (Deux-Sèvres), quand je ressentis un malaise d’une violence extrême. Tout se mit à tourner avec nausée. Je réussis tant bien que mal à m’arrêter et je m’allongeai dans l’herbe. Je m’aperçus alors que je ne pouvais plus ni me relever ni faire un mouvement. J’étais seul, dans un chemin au milieu de nulle part, loin de toute habitation, avec la nuit qui commençait à tomber et sans pouvoir bouger. J’ai alors invoqué Jésus, Marie et Joseph, et tout particulièrement l’intercession d’Anne de Guigné. Je réussis alors à prendre mon téléphone portable. Nous étions dans une zone qui captait, alors que, quelques kilomètres avant, j’aurais été totalement isolé. Cependant, vu la faiblesse d’intensité du réseau, les pompiers n’arrivèrent pas à me localiser. Après bien des péripéties, je réussis à leur indiquer approximativement le lieu où je me trouvais grâce à une application que j’avais sur mon iPhone et qui, dans les conditions présentes du réseau, n’aurait pas dû fonctionner. Mais les péripéties n’étaient pas finies. La nuit était définitivement tombée et j’étais toujours allongé sur mon chemin. Enfin je vis à une centaine de mètres un gyrophare, puis des torches électriques, mais au bout de 5 à 10 min, ne m’apercevant pas, le camion des pompiers est reparti. Mon iPhone était presque déchargé. J’étais de moins en moins lucide. Il faisait nuit noire. Contre toute attente, je réussis néanmoins à recontacter le centre de secours et à leur expliquer que je me trouvais à une centaine de mètres où le camion s’était arrêté. Comment ai-je pu les contacter ? Je suis incapable de le dire. Enfin, ils me récupérèrent, plus d’une heure après mon premier appel ! Quelques minutes après avoir été mis dans le fourgon des pompiers, un orage terrible, avec pluie torrentielle, éclairs et tonnerre, se déchaîna à l’endroit où nous étions. Le SAMU ne put effectuer d’électrochoc, car j’étais toujours conscient. Ce fut seulement 4 h après le déclenchement de mon malaise que j’arrivai grâce au SAMU à l’hôpital de la Roche. La cardiologue a essayé un choc manuel à deux reprises (un grand coup de poing sur la poitrine). Voyant que cela ne marchait pas, je fus endormi afin de subir un électrochoc. Le lendemain, le cardiologue de service a commencé par ces mots : « C’est miraculeux que vous soyez ici. Normalement, avec ce que vous avez eu (une tachycardie ventriculaire à 240/250 pulsations/min, vous auriez dû perdre connaissance assez rapidement ce qui aurait abouti à une fibrillation du cœur et à un arrêt cardiaque. » Il était très étonné que je fusse resté éveillé pendant les 4 heures où mon cœur battait à 240. Anne de Guigné est devenue pour moi, un grand-père de 67 ans, une amie céleste de tous les instants. Je me sens en quelque sorte, redevenir enfant, au contact vivant de cette enfant, au regard si profond et si pur, qui côtoie à présent les anges. Rappelez-vous ses dernières paroles au moment de mourir : – « Ma sœur, puis-je aller avec les anges ? » – « Oui, ma belle petite fille », répond avec émotion la religieuse. – « Merci ma sœur, oh merci ! » Chaque jour, je lui parle et lui demande de me guider dans les difficultés, les joies et les croix, plus ou moins grandes, inhérentes à toute vie terrestre. Que Notre dame qu’elle a tant aimée hâte, par sa médiation, le jour où Anne sera portée sur les autels à la vénération de l’Église universelle ! En attendant, elle est devenue, à côté de ma Sainte Mère du Ciel et de mon saint ange gardien, un second ange de douceur et d’amour qui embellit le crépuscule de ma vie.
1924 / la toute première biographie
5/5 https://www.annedeguigne.fr/fr/
.----. Présentation par " Les Amis d'Anne de Guigné " : Les Éditions de Chiré, 86190 Chiré-en-Montreuil, ont réédité au dernier trimestre 2019, la toute première biographie d’Anne écrite en 1924 par le Père Etienne-Marie Lajeunie, o.p. : « La gracieuse histoire de la petite Anne de Guigné ». Le Père Lajeunie écrivait dans un article sur Anne en juillet 1954 : « Cette biographie exacte, rigoureusement contrôlée, […], lancée à dessein sans aucune publicité, […] eut un succès surprenant : elle atteignit très vite cent mille exemplaires et fut aussitôt traduite dans presque toutes les langues, sans aucune démarche de ma part. L’âme lumineuse de cette enfant très bonne conquérait d’elle-même l’opinion catholique. »
Ma sœur, puis-je aller avec les anges ?
5/5 Altaïr , poésie et tradition .
.----. Des saints enfants, cela existe . En Belgique, nous avons saint Dentelin . Il y a aussi deux voyants de Fatima . Cet ouvrage, une réédition d'un livre paru en 1924, nous parle d'une petite fille qui semblerait avoir toutes les qualités . Une mystique en herbe, pourrait-on dire . Grande dévotion à la Sainte Eucharistie, souci de ne pas blesser le prochain, attention aux autres et oubli de soi ... Malheureusement, cette enfant modèle, née le 25 avril 1911 au château de la Cour à Annecy-le-Vieux, meurt à Cannes d'une méningite le 14 janvier 1922, alors qu'elle n'a pas encore onze ans . "Ma sœur, puis-je aller avec les anges ?" est la dernière question qu'elle pose à la religieuse qui la veille . Son procès de béatification est introduit depuis ... 1932 ! Aboutira-t-il un jour ? Ce livre pourrait y contribuer . A noter un détail, mais qui a son importance : la couverture de ce livre est très réussie . [ Chronique " Nous reçûmes... nous sûmes... nous lûmes... " dans le numéro 183 , mars 2020 " Altaïr , poésie et tradition " . Périodique trimestriel , éditeur responsable : Jean Pierre Hamblenne , BP 19 , B - 1420 - Braine l'Alleud Belgique , il est conseillé de s'abonner 10 Euros par an ]
Réédition bien venue !
5/5 Lettre de la Péraudière .
.----. C'est une réédition bien venue, dans la collection créée par Chiré, " Âmes ardentes ", qui se propose de remettre sous nos yeux des exemples de combat spirituel, de vie intérieure et d'héroïsme, source d'admiration et d'émulation . Après la réédition de Liens immortels, ou le Journal d'Alice Ollé-Laprune en 2018, la vie simple et pure, mais extraordinaire par les dons de la grâce, d'Anne de Guigné (1911-1922) est présentée par le Père dominicain Etienne-Marie Lajeunie, l'un des premiers biographes, qui s'était vu encouragé par une lettre doctrinale du Père Hugon, O.P., théologien à l'Angelicum de Rome . Si la sainteté des enfants a pu faire débat dans l'Eglise, la canonisation de plusieurs d'entre eux nous a rappelé qu'elle était non seulement possible théoriquement, mais aussi pratiquement . [ Signé A.M. dans ' Lettre de La Péraudière " , numéro 348 , Noël 2019 ]
Formidable
5/5 Alphonse
Formidable mise au point de votre collaborateur sur l'auteur de ce petit livre. Enfin un article de fond : on retrouve Lecture et tradition des grandes années... ( Précision ce commentaire a été rédigé après la parution du numéro 103-nouvelle série de notre revue datée novembre 2019 )