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La fracture nationale - Les dangers de la binationalité

Référence : 114376
1 avis
Date de parution : 30 mai 2020
Auteur : SMAHI (Farid)
Éditeur : DUALPHA (EDITIONS)
Collection : PATRIMOINE DES
EAN 13 : 9782353744725
Nb de pages : 176
23.00
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Description
Fils d'un ancien combattant algérien ayant servi dans l'armée française durant la IIe Guerre mondiale, Farid Smahi, ancien éducateur sportif à Boulogne-Billancourt, a aussi été membre de l'équipe de France de water-polo. Il est passé par l'association France Plus et le Parti socialiste. Il rejoint le Front national en 1997 et rencontre Jean-Marie Le Pen avec lequel il sympathise, lui vouant depuis lors une fidélité et une loyauté absolues... Lors des élections régionales de 1998, il est élu Conseiller régional en Île-de-France (1998-2004). Fondateur du Forum national des cercles "Arabisme et Francité", il est élevé au grade de Chevalier de l'ordre national du mérite en 1995. En 2007, dans le cadre de la campagne présidentielle, il organise avec David Rachline, devenu plus tard maire de Fréjus, le discours resté célèbre de Jean-Marie Le Pen sur la dalle d'Argenteuil dans lequel il affirme, s'adressant aux habitants de celle-ci : « Nous voulons vous aider à sortir de ces ghettos de banlieue où les politiciens français vous ont parqués pour vous traiter de racaille par la suite. » Farid Smahi est par ailleurs hostile à cette hérésie juridique que constitue la binationalité qui encourage la république à fabriquer des nationaux hybrides : "?Au même titre que nous avons une seule maman, nous ne devons servir qu'une seule patrie !?" Admirateur de l'histoire de France, élevé dans la religion musulmane, il fait le Ramadan et fête aussi Noël. Dans ce livre, il dresse un constat édifiant et considère qu'il y aura dans quelques années des millions de citoyens binationaux... "?Le cheval de Troie est dans nos murs ! "
TitreLa fracture nationale - Les dangers de la binationalité
Auteur SMAHI (Farid)
ÉditeurDUALPHA (EDITIONS)
Date de parution30 mai 2020
Nb de pages176
CollectionPATRIMOINE DES
EAN 139782353744725
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)10
Largeur (en mm)148
Hauteur (en mm)210
Poids (en Kg)0.36
Les avis clients
Le cheval de Troie est dans nos murs
5/5 http://synthesenationale.hautetfort.com/
.----. « Binationalité : le cheval de Troie est dans nos murs ». Entretien avec Farid Smahi, auteur de La Fracture nationale (éditions Dualpha) Votre livre s’attaque à la question de la binationalité qui vous préoccupait déjà lors de la parution de votre précédent ouvrage Parole d’un élu, il y a près de vingt ans. Rien n’a donc changé ? C’est assez simple : qu’est-ce que la nationalité ? Pour le dictionnaire Robert : « Existence ou volonté d’existence en tant que nation d’un groupe d’hommes unis par une communauté de territoire, de langue, de traditions ou d’aspirations. » Depuis la fin du XIXe siècle : « État d’une personne qui est membre d’une nation déterminée. » La nationalité recouvre l’idée de patrie, jetée aux oubliettes en France par les politiciens de tout bord à l’exception des élus du Rassemblement National, de Nicolas Dupont-Aignan, de Florian Philippot et de quelques sociologues comme Éric Zemmour ou encore Michel Onfray. Et c’est au nom du « principe des nationalités » que le traité de Versailles, au lendemain de la 1re Guerre mondiale, a dépecé l’empire austro-hongrois pour créer la Hongrie, la Tchécoslovaquie… et la Yougoslavie ! Mais en quoi le fait pour une personne de disposer de deux ou même plusieurs nationalités constitue-t-il un problème ? Ce fut une hérésie juridique pratiquement jusqu’à l’entre-deux-guerres… Les professeurs de droit en citaient cependant un exemple qui faisait exception : René de Chambrun, descendant de Lafayette, auquel, de ce fait, le congrès américain reconnaissait la nationalité américaine lui permettant ainsi d’être à la fois avocat au Barreau de New York et à la cour d’appel de Paris. Mais l’arrivée au pouvoir d’Adolf Hitler en 1933 eut pour conséquence un déferlement de populations fuyant les persécutions nazies en Suisse d’abord, puis en France, en Grande-Bretagne et enfin aux USA… À la création de l’État d’Israël, ses fondateurs décidèrent que tout Juif s’y installant, d’où qu’il vienne, recevrait ipso facto la nationalité israélienne. Dans la foulée, l’hérésie juridique est devenue peu à peu le droit positif de certains États comme la France. Dans La Fracture nationale, le lecteur pourra se faire une idée des séquelles calamiteuses du concept de poly-nationalités pour la santé d’une société… Un exemple entre 1 000 : l’ancien patron de Renault, Carlos Ghosn, dispose tout à la fois des nationalités brésilienne, libanaise et française ! Certains gouvernements refusent avec vigueur ce concept : parmi eux, le roi du Maroc qui, conformément à la Charte Olympique, a, en 2000, refusé d’autoriser trois de ses ressortissants à participer aux Jeux Olympiques de Sydney sous le maillot tricolore, faisant fi de leur naturalisation pourtant bien antérieure ! Mais la Binationalité a tout de même un avantage : les Français d’origine immigrée, multirécidivistes, notamment pour des affaires de drogues et disposant d’une autre nationalité pourraient être très légalement de ce fait renvoyés dans leur patrie d’origine. Encore faudrait-il que nos magistrats au grand cœur s’y prêtent ! Le titre de votre livre fait froid dans le dos. La fracture nationale : qu’entendez-vous par là ? Lorsque je me suis élevé, il y a près de vingt ans, contre le péril qui commençait de saper les bases de l’unité nationale, mon livre Paroles d’un élu n’a pas bénéficié d’un écho exceptionnel. À l’époque, cela apparaissait comme une fêlure ; aujourd’hui, cette fracture béante s’aggrave d’une gangrène invasive faute de volonté d’y remédier. En novembre 1995, à l’occasion des élections en Algérie, Georges Suffert écrivait dans Le Figaro : « Les foules qui ont attendu pendant des heures devant les consulats d’Algérie pour y voter ont livré aux Français une confidence : la France n’est pas leur pays, simplement un lieu de passage ». Aujourd’hui, ce n’est peut-être plus aussi vrai pour les générations qui ont suivi et qui ont donné à notre pays des médecins, des militaires de haut rang, des avocats, etc., mais ça l’est hélas ! pour les centaines de milliers de migrant-s venus d’un peu partout et pour qui la France n’est pas seulement un lieu de passage. C’est un terrain de chasse privilégié de toutes les manières pour toutes les espèces de prédateurs congénitaux… Dans La fracture nationale, le lecteur peut mesurer toutes les facettes du drame sociétal dans lequel les gouvernants de tous bords ont englué notre pauvre pays. Au début du XXe siècle, on stigmatisait à juste titre une fracture sociale entre la classe des possédants et celle des prolétaires… Le brassage des populations au cours de la guerre de 1914-1918, puis les évolutions législatives dans l’entre-deux-guerres ont largement réduit cette fracture par l’émergence d’une classe moyenne où se retrouvent la plupart des Français. Aujourd’hui, la fracture nationale qui ne cesse de s’aggraver est la conséquence de l’invasion de migrant-s qui n’ont ni la volonté ni la capacité de s’intégrer à la société française… J’ai dans mon livre largement développé combien l’islamisme violent et criminel par lequel certains tentent de pourrir la jeunesse maghrébine de nos banlieues s’avère un péril mortel pour la République Française, une et indivisible… C’est peu de dire que « le cheval de Troie est dans nos murs ». Le rôle de Cassandre est particulièrement ingrat, aujourd’hui comme au temps de l’Iliade, mais j’ose espérer que l’opinion française est en train d’évoluer après l’avalanche d’attentats meurtriers, de désordres comme à Dijon et de l’arrogance croissante des politiciens thuriféraires de l’islamo-gauchisme. Que faire pour remédier à la Fracture Nationale que vous dénoncez ? Cesser de recevoir à bras ouverts ces soi-disant « réfugiés » qui déboulent de partout : combien de vos lecteurs ont-ils regardé sur une carte où se situe la Tchétchénie ? Pourquoi venir de si loin chez nous ? Et les spécialistes de la Russie vous diront mieux que moi ce qu’il faut penser de cette population qui suscitait déjà beaucoup de désordres criminels à l’époque des Tsars. De la même manière, il faut en finir avec le regroupement familial : celui-ci se justifiait lorsque la France, en 1973, a mis fin à « l’importation » libre de travailleurs maghrébins ; ceux-ci cessaient donc de retourner au bled pour les vacances sachant qu’ils ne sauraient être autorisés à en revenir… Il était donc légitime de leur permettre de faire venir en France femme(s) et enfants. Aujourd’hui, le regroupement familial n’est pas autre chose qu’un système de « courte échelle » par lequel on « importe », sur la base de papiers plus ou moins trafiqués et moyennant espèces sonnantes et trébuchantes, des hommes et des femmes qui ont de bonnes raisons de quitter leur pays… soit pour des raisons économiques, soit pour se soustraire, par exemple, au service militaire. Enfin, il n’est pas admissible dans un pays laïque comme la France que, de plus en plus, le poids de la religion musulmane vienne de manière insupportable peser sur nos habitudes et nos traditions et même, dans certains quartiers, se superposer, sous l’égide de caïds, les « grands frères », à la loi française ! Ceux qui ne jurent que par la charia ont toute latitude de partir s’y soumettre dans l’un des nombreux États qui pratiquent le Coran y compris par la flagellation, la mutilation et la décapitation au sabre, notamment pour les trafiquants de drogues ! Ce dernier point est important parce qu’il est évident que le trafic de drogues en France est devenu la chasse gardée de gangs extérieurs à notre nation comme le trafic d’alcool aux États-Unis à l’époque de la Prohibition relevait presque exclusivement de la Maffia sicilienne.. Je voudrais souligner en terminant que, dans le monde occidental, certains et non des moindres encouragent les fractures nationales en Europe et se réjouissent de la chienlit qui en résulte ! On cite fréquemment George Soros, mais il n’est pas le seul… Ces apprentis sorciers aspirent à la disparition des nations au profit d’un hypothétique gouvernement mondial, sur le modèle dessiné dans les années 30 par Aldous Huxley sous le titre « Brave New World » (en français « Le meilleur des mondes »). [ Vendredi 02 octobre 2020 , entretien repris du journal " Présent " ]