La douce France - T 2 - La France au combat augmentée de : Le Siège du Pé-T´ang

Après nous avoir présenté une France aussi belle que paisible et riante, R. Bazin nous la montre dans ses aspects guerriers et héroïques, que ce soit face à la Prusse ou dans nos colonies les plus lointaines... De la grande littérature, empreinte d'esprit chrétien. En annexe, avec l'histoire du pieux Paul Henry, l'armée française est glorifiée avec talent. Les cadeaux de Tante Anne (Lecture et Tradition n° 41) [. . .] Les temps sont durs : c'est la guerre que René Bazin nous présente. Une guerre meurtrière, une guerre sombre, qui est un autre moyen de mettre en lumière la grandeur de notre patrie, de notre France très chère. Tout commence en 1870, première grande collision entre troupes françaises et forces tudesques. Sur fond d'Alsace et de Lorraine, une France restée unie en esprit et dans les cœurs se démarque. Puis ce sont les tranchées de la Grande Guerre - c'est donc une lecture pertinente en ces temps de centenaire - où fusent obus et mitraille. Mais Bazin nous dévoile un pan d'histoire généralement caché par les programmes républicains officiels : la présence du Sacré-Cœur dans le quotidien de nombreux poilus, et d'exemplaires morts chrétiennes [. . .] Pour finir, c'est la France coloniale qui est exaltée ; la France qui rayonne de sa beauté sur tous les continents. Colonies de jadis et colonies du jour, pour l'écrivain renommé, de Montréal à l'Indochine de l'enseigne de vaisseau Paul Henry en passant par le Sahara algérien. Un récit trépidant, qui plaira surtout aux garçons . . . (Lisez l'intégralité de cet article dans le n° 41 de Lecture et Tradition de septembre 2014)