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La dictature de l´Ordre Mondial socialiste

Référence : 124967
Date de parution : 1 septembre 2022
Auteur : COLEMAN (John)
EAN 13 : 9781915278487
Nb de pages : 328
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Description
"L'ennemi à Washington est plus à craindre que l'ennemi à Moscou." C'est un sentiment que j'ai exprimé maintes et maintes fois. 

Le communisme n'a pas détruit la protection tarifaire érigée par le président George Washington.
Le communisme n'a pas forcé les États-Unis à adopter l'impôt progressif sur le revenu.
Le communisme n'a pas créé le Conseil de la Réserve fédérale.
Le communisme n'a pas entraîné les États-Unis dans la Première et la Seconde Guerre mondiale.
Le communisme n'a pas imposé les Nations unies à l'Amérique.
Le communisme n'a pas retiré le canal de Panama au peuple américain.
Le communisme n'a pas créé le plan de génocide de masse du rapport Global 2000. 

C'est le socialisme qui a apporté ces maux sur les États-Unis ! 

Le communisme n'a pas donné au monde le SIDA !
Le communisme n'a pas donné à l'Amérique des niveaux de chômage désastreux.
Le communisme n'a pas lancé des attaques incessantes contre la Constitution des États-Unis.
Le communisme n'a pas forcé l'Amérique à adopter "l'aide étrangère", cette maudite taxe sur le peuple américain qui est une servitude involontaire.
Le communisme n'a pas imposé la fin des prières à l'école.
Le communisme n'a pas promu le mensonge de la "séparation de l'église et de l'état".
Le communisme n'a pas donné à l'Amérique une Cour suprême remplie de juges liés et déterminés à saper la Constitution des États-Unis.
Le communisme n'a pas envoyé nos soldats se battre dans une guerre illégale dans le Golfe pour protéger les intérêts de la couronne britannique. 

Pourtant, pendant toutes ces années, alors que notre attention était concentrée sur les méfaits du communisme à Moscou, les socialistes à Washington étaient occupés à voler l'Amérique ! Seul La dictature de l'Ordre Mondial socialiste explique comment cela a été, et est, accompli.
TitreLa dictature de l´Ordre Mondial socialiste
Auteur COLEMAN (John)
ÉditeurOMNIA VERITAS (EDITIONS)
Date de parution1 septembre 2022
Nb de pages328
EAN 139781915278487
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)71
Largeur (en mm)139
Hauteur (en mm)215
Poids (en Kg)0.16
Critique du libraire
Nous ne pouvons que saluer la parution aux éditions Omnia Veritas de pas moins de dix ouvrages de l’auteur britannique John Coleman (enfin traduits en français). Nous déplorons bien entendu le «?guénonisme?» acharné de cette maison d’édition qui, à l’instar des éditions Ethos, affichent un penchant prononcé pour toute forme d’ésotérisme «?traditionaliste?» plus ou moins ridicule. Néanmoins, elle aura le mérite de proposer dans son catalogue des auteurs excellents tels qu’Alexandre Lebreton, Nesta Webster, Eustace Mullins, Anthony Sutton et dernièrement donc, cet ancien membre de l’lntelligence Service très bien renseigné, véritable pionnier dans l’étude de la subversion mondialiste, et qui aura passé sa vie à dénoncer la conspiration luciférienne contre les peuples ainsi que sa mise en esclavage. Ses excellents ouvrages, notamment son étude sur l’institut Tavistock (véritable matrice du contrôle des foules) compléteront à merveille ceux de Pierre Virion, Jacques Bordiot, William Guy Carr ou Pierre de Villemarest sur le sujet. Des ouvrages de référence vivement recommandés à tous ceux qui s’intéressent sérieusement au-dessous des cartes.Cet ouvrage constitue une très bonne étude d’un sujet assez peu connu : le socialisme fabien et le rôle absolument décisif que cette redoutable force subversive aura joué dans la destruction des nations au cours du XXe siècle. En effet, tandis que le communisme léniniste puis stalinien broyait tout sur son passage à coups de meurtres de masse, le socialisme fabien lui, opta pour une tactique autrement plus subtile en appliquant le programme du Manifeste communiste de 1848, mais comme l’explique John Coleman, «?de manière plus élégante et moins abrasive?» en appliquant une politique de recrutement élitiste et une tactique de dissimulation poussée, telle une véritable société secrète. On apprendra que parmi ses plus fameux représentants se trouvaient le fasciste hitlérien Oswald Mosley, le grand écrivain de tendance communiste Jack London, ou encore l’ancien directeur de la FED, Paul Volcker. On notera le rôle important que joua le Britannique d’origine juive Harold Laski au sein de cette Société fabienne et l’influence incroyable qu’il exerça auprès d’hommes illustres tels que Franklin Roosevelt ou encore H.G. Wells. On y découvre également l’accent mis sur l’éducation via le pédagogue John Dewey et l’élaboration de systèmes «?d’apprentissage?» visant à créer des générations entières d’abrutis incapables de penser correctement, ou encore la destruction de l’économie nationale américaine par le New Deal et le libre-échange, tous d’inspirations socialistes fabiennes. Pour finir on retiendra, une fois n’étant guère coutume, la prépondérance de l’élément judaïque et son rôle décisif au sein de ce mouvement autrement plus vicieux et influent que le communisme (nous pensons à Louis Brandeis, Felix Frankfurter, Bernard Baruch et surtout Walter Lippman), mais encore les liens étroits qui unissaient le socialisme fabien et la société théosophique crée par l’occultiste Helena Blavatsky.On reprochera néanmoins à l’auteur (qui est protestant) une foi assez naïve en un œcuménisme chrétien selon nous improbable, ou encore sa confiance inébranlable dans la Constitution américaine et dans les pères fondateurs, dont l’héritage aurait été «?trahit?» par leurs successeurs, ce qui est tout relatif...I. C., dans Lectures Françaises n° 795-796 (juillet-août 2023)