La désinformation autour des origines de l´homme
Référence : 3678
1 avis
Date de parution : 20 novembre 2005
Éditeur : ATELIER FOL'FER (EDITIONS)
Collection : L'ETOILE DU BERGER
EAN 13 : 9782353746019
Nb de pages : 64
15.00 €
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Description
"Un conte de fée pour grande personne." C'est ainsi que le célèbre biologiste Jean Rostand définissait l'évolutionnisme. Depuis plus d'un siècle, d'éminents savants montrent un égal scepticisme envers cette théorie de l'évolution générale déjà prônée par des philosophes du VIe siècle avant notre ère. Et pourtant, un grand nombre de scientifiques, à commencer par Jean Rostand, ont continué et continuent à soutenir cette thèse...
Titre | La désinformation autour des origines de l´homme |
Auteur | RAFFARD DE BRIENNE (Daniel) |
Éditeur | ATELIER FOL'FER (EDITIONS) |
Date de parution | 20 novembre 2005 |
Nb de pages | 64 |
Collection | L'ETOILE DU BERGER |
EAN 13 | 9782353746019 |
Présentation | Broché |
Épaisseur (en mm) | 5 |
Largeur (en mm) | 130 |
Hauteur (en mm) | 200 |
Poids (en Kg) | 0.08 |
Biographie
Daniel RAFFARD DE BRIENNE (1927-2007) Daniel Raffard de Brienne est né le 7 janvier 1927, à Saint-Quentin. Voir plus
Critique du libraire
Notre ami ne se repose jamais et c´est tant mieux ! Toujours avec humour et facilité, cette facilité que donne la vérité, il nous donne en quelques pages tous les arguments nécessaire pour contrer les évolutionnistes, et même en rire !
Les avis clients
Evolution : la preuve par le pied !
5/5 Monde et Vie .
.----. C’est avec humour et talent que le président des écrivains catholiques s’emploie à
réfuter la vulgate évolutionniste dans un petit livre aussi vigoureux que dense. C’est
qu’en effet « ce conte de fée pour grande personne », selon l’heureuse expression de
Jean Rostand, a du plomb dans l’aile. Pourquoi alors persister dans l’affirmation de
ce qui n’est pas prouvé ? Parce que, nous dit D. Raffard de Brienne, il n’y a pas de
théorie de remplacement et, qu’au surplus cela sert encore les vues des matérialistes
forcenés. C’est pourquoi, en simplifiant l’équation, peut-on dire, avec l’auteur, à la
suite de V. Volkoff, qu’il s’agit d’une véritable désinformation. Dans ces conditions :
« Pourquoi des cælacanthes continuent-ils à nager tranquillement, sans changer d’une
écaille, alors que d’autres auraient été les grands-pères de l’éléphant et du colibri ? »
Autre argument massue si l’on peut dire : « les cinq premières espèces animales
apparaissent toutes en même temps au début de l’ère primaire. Or en effet, elles sont
déjà réparties en sept embranchements : vers, éponges, oursins, méduses, crustacés,
etc. dont les différences sont aussi grandes que de nos jours ». Le hasard de la
probabilité de création d’une cellule vivante est vigoureusement réfuté en citant le
mathématicien Georges Salet qui estime qu’il n’y avait pas une chance sur cent
milliards de milliards que des séries de mutations aient formé un seul organisme
pluricellulaire. Et le roman de l’évolution de dérouler sous la plume de l’auteur avec
une réfutation par page dont celle qui précise, contrairement à un discours dominant,
que « le singe et l’homme n’ont pas le même nombre de chromosomes et qu’on ne
voit pas l’amorce de la moindre civilisation chez les simiens, car les seules sociétés
animales organisées que l’on connaisse sont le fait d’individus dépourvus de cerveau,
les fourmis et les abeilles ».
De Lucy qui n’est pas notre grand-mère à l’homo
erectus, au pithécantrhrope et à l’homme de Pékin, la galerie de nos pseudo-ancêtres
est promptement rendue au néant tandis que « Enfin l’homme, le vrai […] l’homo
sapiens » en s’appuyant sur les travaux de Madame Deloison, reçue par nous dans
une émission sur Radio Courtoisie. Ce chercheur au CNRS a démontré que l’homme
ne peut descendre que d’un primate marchant sur ses pieds. Hélas pour la théorie de
l’évolution, de celui-ci, il n’existe aucun fossile !
[ Signé O.P dans Monde et Vie du 17 décembre 2005 ]