La communion sur la langue, une pratique qui s´impose
Référence : 102136
1 avis
Date de parution : 9 juillet 2015
Éditeur : DMM (DOMINIQUE MARTIN MORIN EDITIONS)
EAN 13 : 9782856523636
Nb de pages : 96
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Description
Après le Concile, contre la règle traditionnelle de l'Eglise, l'opposition de la quasi-totalité des Pères du Concile et les résultats d'une enquête auprès des évêques, un groupe de pression a pu obtenir une procédure autorisant, de manière exceptionnelle, la communion dans la main. Rapidement, l'exception est devenue la règle. Cette manière de recevoir la Communion, au nom d'un soi-disant retour aux sources, a provoqué rapidement une perte du sens de l'Eucharistie.
Sans la Foi et une adoration intérieure et extérieure, "en esprit et en vérité" (Jn 4, 24), la réception du Corps du Seigneur est une offense faite à Dieu, comme le soulignent saint Paul et saint Augustin.
L'Incarnation du Seigneur et son abaissement infini connaissent leur achèvement dans le mystère de l'Eucharistie. La Communion reçue à genoux et sur la langue permet de communier, en quelque sorte, à cet abaissement.
Au milieu d'une société multi-religieuse, la manière traditionnelle de communier est plus que jamais d'actualité. Signe fort de la Foi catholique, elle contribue à dissuader toute personne qui lui est étrangère de recevoir indûment le Corps du Seigneur.
Un plaidoyer pour la communion sur la langue. L'auteur appelle non seulement à sa pratique personnelle, mais à la favoriser et à militer pour elle. Il y va de la Foi de l'Eglise dans l'Eucharistie ! Il y va de son témoignage !
Préface de l'abbé Claude Barthe.
Père Paul Cocard : né en 1953, il est religieux de la Communauté de Saint-Jean. Docteur en histoire, titulaire depuis 2001 d'une licence de l'Institut Pontifical d'Etudes Arabes et Islamiques (PISAI), il a travaillé deux ans de 2003 à 2005 à Rome au Conseil Pontifical pour le Dialogue Interreligieux.
Sans la Foi et une adoration intérieure et extérieure, "en esprit et en vérité" (Jn 4, 24), la réception du Corps du Seigneur est une offense faite à Dieu, comme le soulignent saint Paul et saint Augustin.
L'Incarnation du Seigneur et son abaissement infini connaissent leur achèvement dans le mystère de l'Eucharistie. La Communion reçue à genoux et sur la langue permet de communier, en quelque sorte, à cet abaissement.
Au milieu d'une société multi-religieuse, la manière traditionnelle de communier est plus que jamais d'actualité. Signe fort de la Foi catholique, elle contribue à dissuader toute personne qui lui est étrangère de recevoir indûment le Corps du Seigneur.
Un plaidoyer pour la communion sur la langue. L'auteur appelle non seulement à sa pratique personnelle, mais à la favoriser et à militer pour elle. Il y va de la Foi de l'Eglise dans l'Eucharistie ! Il y va de son témoignage !
Préface de l'abbé Claude Barthe.
Père Paul Cocard : né en 1953, il est religieux de la Communauté de Saint-Jean. Docteur en histoire, titulaire depuis 2001 d'une licence de l'Institut Pontifical d'Etudes Arabes et Islamiques (PISAI), il a travaillé deux ans de 2003 à 2005 à Rome au Conseil Pontifical pour le Dialogue Interreligieux.
Titre | La communion sur la langue, une pratique qui s´impose |
Auteur | COCARD (Père Paul) |
Éditeur | DMM (DOMINIQUE MARTIN MORIN EDITIONS) |
Date de parution | 9 juillet 2015 |
Nb de pages | 96 |
EAN 13 | 9782856523636 |
Présentation | Broché |
Épaisseur (en mm) | 10 |
Largeur (en mm) | 130 |
Hauteur (en mm) | 185 |
Poids (en Kg) | 0.12 |
Biographie
Père Paul COCARD (1953 - ) Le Père Paul Cocard, né en 1953, est Frère de Saint-Jean depuis 1981. Voir plus
Les avis clients
Instant unique.
5/5 Jean-François.
Recevoir le Corps du Christ
Encore faudrait-il que le prêtre, voire les laïcs hommes et femmes, comme les y autorise le "Droit Canon" (sic), sachent présenter correctement l'hostie lors de la Communion sur la langue. C'est-à-dire entre le pouce et l'index, dos de la main sur le "dessus", seule façon de la "poser" sans contact physique avec le receveur... Quant à recevoir l’hostie dans la main pour la prendre de l’autre main, plus ou moins propre et qui plus est parfois dans la cohue, et la « servir soi-même », donc indirectement, il y a là, à mon sens, un geste qui dénature cet « instant unique et mystérieux » où le Seigneur nous fait « don de son Corps ».