La chute de Sardes - T 04 - Asmodée contre la famille

Pour info le quatrième de couverture de ce tome 4 est identique au tome 2 et 3
Dans un premier volume de "La chute de Sardes", intitulé D'une Église à l'autre, nous avions étudié la transition entre deux âges de l'Église, celui de l'Église de Thyatire et celui de l'Église de Sardes, correspondant au passage progressif d'une société ordonnée, où la Royauté sociale de notre Seigneur Jésus-Christ était une réalité très concrète, à une société où, peu à peu, les chrétiens refusèrent de se laisser guider par celui auquel toute créature doit se soumettre ici-bas, pour prétendre au Salut : le Vicaire du Christ, représentant temporel de notre Seigneur Jésus-Christ.
Ce constat était suivi d'un coup de projecteur sur les conséquences tragiques de ce dérèglement de la société chrétienne : la grande apostasie des nations, maintes fois prophétisée, et dont nous sommes aujourd'hui les témoins.
Ce deuxième tome étudiera plus précisément l'action délétère de l'ennemi du genre humain, qui depuis toujours utilise les trois axes principaux décrits par saint Jean, pour faire chuter les hommes. Cette étude montrera l'offensive des trois ministres de Satan, qui en ce moment même, mènent ce que la très Sainte Vierge a appelé une bataille décisive. Ils ont été libérés de l'enfer et se sont répandus sur terre à la fin du XIXe, le pape Léon XIII en a été le témoin. Il a vu les démons puissants détachés de l'abîme se répandre comme une nuée sur la terre et il a entendu notre Seigneur dire à Satan - qui lui demandait soixante-quinze à cent ans et plus de pouvoir sur les hommes pour détruire l'Église - qu'il aurait le temps et le pouvoir.
Or cette armée maléfique s'est comportée comme une vraie armée, utilisant différents corps dirigés par des généraux, eux-mêmes soumis à leur suzerain, qui avait élaboré un plan de bataille précis.
Mais qui sont ces généraux ? Quels sont ces corps d'armée ? Quel est leur plan de bataille ? C'est ce que nous vous proposons de découvrir dans ce deuxième tome, pour mieux cerner l'ennemi et mieux le combattre.