C'est à un poste de responsabilité dramatique que le Dr Jean-Claude Pérez a évolué en Algérie française à partir du 5 octobre 1955. Responsabilité dans un combat livré pour la Patrie, pour la France. Mais aussi pour l'Europe et pour l'Occident.
Ce fut une aventure totale que, paradoxalement, il continue de vivre aujourd'hui. Après plus de 50 ans. Pourquoi ? Parce qu'il reste imprégné d'une certitude : en Algérie française, ce ne fut pas à "un combat de la fin" qu'il a participé. Ce fut à un combat "de la fin du commencement".
Du commencement d'une guerre qui, à partir de la Toussaint Rouge, le 1er novembre 1954, fut déclenchée contre la nation française, dont la défaite était nécessaire à ceux qui aujourd'hui aspirent à la "domination finale du monde". A ceux qui s'expriment aujourd'hui en Europe, en Asie occidentale, en Indonésie, en Afrique et en Amérique, à travers la pugnacité d'un nouveau conquérant "l'arabo-islamisme fondamentaliste".
Dans la rédaction de ce nouveau livre, il a pris soin de ne jamais perdre le contact avec l'Histoire. Parfois même, en affrontant le risque de remonter très loin. C'était d'une nécessité incontournable. "L'assassinat de la France Sud-Méditerranéenne" reste en effet une page d'importance majeure dans l'histoire de France, dans l'histoire de la Chrétienté.
D'un chapitre à l'autre, il offre un parcours attentif et critique au lecteur curieux qui, encore une fois, morceau par morceau, parviendra à se pénétrer ainsi de la signification historique, philosophique et spirituelle de l'assassinat de la France Sud-Méditerranéenne.
À propos de l'Algérie française, de la guerre d'Algérie, du combat de l'OAS déclenché dans l'espoir d'éviter à la France gaulliste l'infamie d'une lamentable défaite, il refuse de rejoindre "la triste cohorte des sceptiques, des blasés ou des aigris".
Né le 17 janvier 1928 à Bougie, en Petite Kabylie, Docteur en médecine depuis le 31 mai 1954, Jean-Claude Pérez a terminé sa carrière de médecin généraliste à Paris en 1995. Il fut confronté à la Nouvelle Révolution Mondiale, dès son déclenchement en Algérie française, le 1er novembre 1954. Il connut la prison, par épisodes, de 1957 à 1965 en Algérie, en France métropolitaine et à l'étranger. Il fut condamné à mort par contumace pour sa participation au combat de l'OAS, à un poste de responsabilité nationale.
Actuellement, il s'investit dans une mission : établir la continuité opérationnelle entre d'une part, la Toussaint Rouge et d'autre part, la révolution arabo-islamiste qui s'implante actuellement au niveau de trois sites géopolitiques qui se superposent : la France, l'Europe, et l'Occident.