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Jean-Baptiste Pompallier. Vicaire apostolique des Maoris (1838-1868)

Référence : 75867
1 avis
Date de parution : 1 novembre 2014
Éditeur : CERF (EDITIONS DU)
Collection : HISTOIRE
EAN 13 : 9782204102223
Nb de pages : 448
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Description
Ed. Cerf-á, 2014 - 15 x 23 - 448 p. Après vingt ans de combat, c'est seulement en 2002 que les Maoris ont enfin pu rendre à leur terre la dépouille de Jean-Baptiste Pompallier, premier vicaire apostolique d'Océanie occidentale en Nouvelle-Zélande de 1838 à 1868. À peu près oublié en France, cet évêque missionnaire est aussi connu sur ces terres lointaines que Lafayette l'est aux États-Unis. C'est lui, de fait, qui domina largement la scène religieuse et politique de la Nouvelle-Zélande au cours de ses trente années de présence. L'historien et chercheur Yannick Essertel restitue une figure complexe du renouveau missionnaire du XIXe siècle. En s'appuyant sur de nombreuses sources (en France, à Rome, et en Nouvelle-Zélande), l'auteur renouvelle, non seulement la connaissance du fait missionnaire en Océanie, mais aussi tout un pan de l'histoire missionnaire grâce à une approche originale et pluridisciplinaire. Etat neuf. Article d'occasion, vendu dans la limite des stocks disponibles.
TitreJean-Baptiste Pompallier. Vicaire apostolique des Maoris (1838-1868)
Auteur ESSERTEL (Yannick)
ÉditeurCERF (EDITIONS DU)
Date de parution1 novembre 2014
Nb de pages448
CollectionHISTOIRE
EAN 139782204102223
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)33
Largeur (en mm)150
Hauteur (en mm)230
Poids (en Kg)0.64
Biographie
Les avis clients
Océanie .
5/5 Communication scientifique .
.----. Présentation du Centre pour la communication scientifique directe ( c.c.s.d. ), section Océanie : Après vingt ans de combat, c’est seulement en 2002 que les Maoris ont enfin pu rendre à leur terre la dépouille de Jean-Baptiste Pompallier, premier vicaire apostolique d’Océanie occidentale en Nouvelle-Zélande de 1838 à 1868. À peu près oublié en France, cet évêque missionnaire est aussi connu sur ces terres lointaines que Lafayette l’est aux États-Unis. C’est lui, de fait, qui domina largement la scène religieuse et politique de la Nouvelle-Zélande au cours de ses trente années de présence. Yannick Essertel s’interroge sur cette réappropriation de cet homme en tentant de comprendre à travers son œuvre le souvenir qu’il a laissé et comment il a su s’insérer dans la culture néo-zélandaise. Son travail, qui fait appel à l’histoire, à l’anthropologie et aux sciences sociales, révèle un visionnaire qui a adopté une géopolitique et diverses stratégies pour construire une Eglise locale. Pompallier a montré sa capacité à s’adapter aux circonstances, tout en gardant sa ligne « politique » et doctrinale. Il a fait preuve d’innovations face aux besoins du moment. Enfin, il a pensé et théorisé sa stratégie évangélisatrice en s’appuyant sur la mentalité et la culture maorie. Ce travail est le fruit, selon Philippe Boutry, d’« une enquête rigoureusement informée, ouverte à la géopolitique, à l’histoire et à l’anthropologie, autour de la trajectoire d’un homme dont la démarche, les succès et les échecs éclairent à nouveaux frais l’histoire de la diffusion du christianisme à l’âge de la première mondialisation, de la rencontre des cultures et de la constructions des identités religieuses dans le monde colonial ».Très documenté, cet ouvrage s’appuie sur de nombreuses sources : en France, archives des Œuvres pontificales missionnaires, archives des Frères maristes à Saint-Chamond, archives de la congrégation de Saint-Viateur à Vourles ; à Rome, Archives de la congrégation généralice des Pères maristes, archives de la S. Congrégation de Propaganda Fide ; et en Nouvelle-Zélande, archives du diocèse d’Auckland et archives des Sœurs de la Mercy.