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Jalons pour une théologie chrétienne d´Israël

Référence : 17599
3 avis
Date de parution : 1 janvier 1975
Auteur : JUDANT (Denise)
EAN 13 : 9782856521502
Nb de pages : 136
15.00
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Description

Sommaire :
Introduction
Les textes récents du magistère
La théologie de l'Alliance d'après l'Ancien Testament - L'Etat d'Israël dans la perspective de l'Ancienne Alliance
La transformation de l'Alliance
La théologie de l'Alliance d'après le Nouveau Testament
Le remplacement de l'ancienne Alliance par la nouvelle
La nouvelle Alliance et l'indépendance nationale des Juifs
Le destin du peuple juif d'après le Nouveau Testament
Fondements d'une théologie chrétienne d'Israël
Principes d'une théologie chrétienne d'Israël

TitreJalons pour une théologie chrétienne d´Israël
Auteur JUDANT (Denise)
ÉditeurDMM (DOMINIQUE MARTIN MORIN EDITIONS)
Date de parution1 janvier 1975
Nb de pages136
EAN 139782856521502
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)7
Largeur (en mm)140
Hauteur (en mm)225
Poids (en Kg)0.20
Critique du libraire
La portée de la déclaration conciliaire "sur les relations de l´Eglise avec les religions non chrétiennes".
Les avis clients
Continuité et rupture.
4/5 Revue des cercles d'études d'Angers
.----. L' Ancien Testament n'était qu'une économie provisoire. Une saine théologie de l'alliance montre que celle de l'Ancien Testament s'épanouit dans le Nouveau. C'est le Christ qui réalise en sa personne l'Alliance éternelle et nouvelle. Il y a, à la fois, continuité et rupture. L'éclatement religieux s'est opéré à l'intérieur du peuple Juif, dont quelques membres sont devenus Chrétiens et les autres ont refusé le Christ.----....---...--..-. Ce qui nous unit aux Juifs de l'Ancien Testament ne doit pas nous dissimuler ce qui nous sépare des Juifs qui refusent le Christ (judaïsme post-christique). Ceci est fondamental. Il y a l'Israël selon la chair qui peut être distinct de l'Israël de Dieu.----....---...--..-. On notera le caractère irénique de l'exposé, l'exégèse attentive de Romains XI, le souci d'illustrer la vraie pensée de saint Thomas d'Aquin. Cet ouvrage est bienfaisant et apaisant. ( numéro 6, avril 1975 ).
Sens des mots; mission ?
4/5 Revue des cercles d'études d'Angers
.----. L'auteur note bien la nécessité de s'entendre sur les appellations, le vocabulaire n'a pas le même sens chez les uns et les autres. Les expressions : Juif, Israël, Peuple de Dieu, Peuple élu, recouvrent des valeurs différentes et non interchangeables. Le volume offre l'avantage de montrer combien le choix en est important. Il convient de distinguer, dans le problème envisagé, un aspect moral (condamnation de l'antisémitisme) religieux (le seul Sauveur est le Christ même pour les Juifs) œcuménique (l'Eglise est faite de Juifs convertis et de gentils) et politique (rien n'indique l'aspect religieux spécial du rétablissement de l'état d'Israël). A part le passé commun (l'Ancien Testament interprété différemment), le peuple Juif est un peuple comme les autres. Il a servi d'intermédiaire ou d'instrument pour préparer la venue du Sauveur, le Christ. Mais il n'a plus aucune mission particulière à remplir ni une économie de salut spéciale.La perspective missionnaire auprès des Juifs demeure valable. ( suite ).
Courage et compétence.
4/5 Revue des cercles d'études d'Angers
.----. Il faut un certain courage et une réelle compétence pour s'attaquer à un problème aussi ardu, après la déclaration conciliaire de Vatican II et les orientations pastorales du comité épiscopal français pour le judaïsme (1973). Le commentaire romain sur la Déclaration Conciliaire, paru lorsque l'ouvrage était en cours d'impression, est étudié en appendice. Les notes sont rejetées à la fin du volume, pour des commodités d'édition.----....---...--..-. Courage et compétence ne manquent pas à l'auteur. On reconnait volontiers son accord avec les déclarations romaines et avec la Sainte Ecriture, à laquelle l'auteur ramène avec une fidélité exemplaire.----....---...--..-. Les déclarations romaines, qui se veulent exclusivement d'ordre religieux sont prudentes et volontairement incomplètes. Celles de l'épiscopat français ont provoqué des remous, tant dans les autres conférences épiscopales que du côté du cardinal Daniélou. Elles sont parfois équivoques. ( suite ).