Attention, vous utilisez un navigateur obsolète ! Vous devriez mettre à jour celui-ci dès maintenant !

Pensez à commander vos cartes de voeux, et vos agenda pour 2024 !

La librairie n'expédiera aucun colis du 25 décembre au 1er janvier. Une maintenance sera ouverte le 30 et 31 décembre.

Ils ne savent pas ce qu´ils disent

Référence : 32591
1 avis
Date de parution : 22 novembre 1955
Auteur : MADIRAN (Jean)
EAN 13 : 9782723310710
Nb de pages : 192
10.00
+ d'éco-contribution

Tarifs dégressifs

Tarif par lot

  • -
    soit le lot
Expédié sous de 2 jours
Voir la disponibilité en magasin

Description
Sommaire :
La bataille de fleurs
La première réponse de la Vie Catholique Illustrée - La doctrine sociale
La seconde réponse de la Vie Catholique Illustrée - L'anti-communisme
La réponse de la revue Esprit
La réponse de L'Actualité religieuse (Informations catholiques internationales)
La réponse de M. Beuve-Méry
La réponse de la Vie Intellectuelle
Le cas du R. P. Bigo
La première réponse du journal La Croix
La seconde réponse du journal La Croix
Un journal "uniquement missionnaire"
Avis
Moralité
TitreIls ne savent pas ce qu´ils disent
Auteur MADIRAN (Jean)
ÉditeurNOUVELLES EDITIONS LATINES (NEL EDITIONS)
Date de parution22 novembre 1955
Nb de pages192
EAN 139782723310710
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)13
Largeur (en mm)118
Hauteur (en mm)185
Poids (en Kg)0.14
Biographie
Jean MADIRAN (1920-2013)
Jean MADIRAN (1920-2013) Né le 14 juin 1920 à Libourne, décédé à Paris le 31 juillet 2013, Jean Arfel, alias Madiran, Lagor ou Castetis, devient disciple de Charles Maurras qu'il rencontre pour la première fois en 1942.  

Jean Madiran : l'itinéraire s'achève  

Jean Madiran est mort le 31 juillet. Le fondateur du quotidien Présent était une figure de la presse politique française. Né en 1920, Jean Arfel écrit sous son nom ses tout premiers articles dans la Revue universelle, proche de l'Action française quelques mois avant le déclenchement de la Deuxième Guerre mondiale. Remarqué par Charles Maurras, qui le considère très vite comme l'un de ses jeunes dauphins, ce fervent partisan de la Révolution nationale, voulue par le Maréchal Pétain, fonde après la guerre L'indépendance française, qui, entre 1946 et 1950, accueille d'anciens journalistes de l'Action française comme Pierre Varillon. Très vite, à travers un itinéraire spirituel exigeant, il devient l'un des censeurs de la politisation à gauche de l'Eglise de France, contre laquelle il écrit deux livres retentissants, Ils ne savent pas ce qu'ils font et Ils ne savent pas ce qu'ils disent (1955), qui consacreront son talent d'essayiste. En 1956, il fonde la revue Itinéraires, qui, jusqu'en 1996, sera le symbole de la résistance spirituelle des catholique au processus d'autodestruction de l'Eglise, défendant avant que quiconque y ait seulement songé, la pérennité de la liturgie traditionnelle. Dans des Editoriaux, à la rhétorique ciselée, il perpétue quelque chose de la voix grave et obsédante de Charles Péguy. Une collection Itinéraires groupe autour de la revue des contributeurs de talent, de Henri Massis aux frères Charlier et à Louis Salleron. En 1968, Jean Madiran publie L'hérésie du XXème siècle. La revue tend à devenir l'expression d'une véritable école de pensée traditionaliste catholique. C'est dans cette perspective qu'en 1982, avec Romain Marie, François Brigneau et Pierre Durand, il fonde le quotidien Présent, dont il sera le directeur de la rédaction, le directeur de la publication et jusqu'aujourd'hui le directeur émérite et chroniqueur brillant.
Proche de Mgr Lefebvre, il avait refusé d'opter en 1988 en faveur des sacres illégaux de quatre évêques, préférant la position légitimiste de son vieil ami Dom Gérard Calvet, prieur puis abbé du monastère bénédictin du Barroux. Proche du Front national et de Jean-Marie Le Pen, il n'avait pas voulu vouer aux gémonies Bruno Mégret, lors de la scission de 1998, considérant qu'un journaliste n'avait pas à prendre parti dans une affaire d'hommes. Rappelant plusieurs fois par semaine, dans Présent, les fondamentaux du combat national et catholique, il publie de nombreux livres parmi lesquels, en 2002, Une civilisation blessée au cœur, qui passe pour son testament politique et La révolution copernicienne dans l'Eglise qui est son testament spirituel. 
[ Publié le jeudi 1 août 2013 par Minute ]    
Voir plus
Critique du libraire
Une critique acerbe mais juste de la presse catholique médiocre et pourtant foisonnante.
Les avis clients
Madiran répond à ses détracteurs.
5/5 Dictionnaire commenté.
.----. Le livre précédent de Jean Madiran, "ILS NE SAVENT PAS CE QU'ILS FONT", a fait mouche. La presse dite "catholique" contre-attaque. "La vie catholique illustrée" diffuse sous le manteau une mise en garde contre certains auteurs de pamphlets. "La Croix" attaque Madiran de frony : " Quand un livre bénéficie d'une trop large diffusion gratuite et d'une publicité passionnée de bouche à oreille, on s'interroge ". ----.... ---... --.. -. Mais Madiran n'est pas homme à mollir sous les coups. Ce talent d'analyste politique à la logique imparable, qui s'épanouira dans les colonnes du quotidien "Présent", un quart de siècle plus tard, perce déjà. Dans "ILS NE SAVENT PAS CE QU'IlS DISENT3" Madiran répond à ses détracteurs. ( texte publié par Francis Bergeron et Philippe Randa dans leur Dictionnaire commenté de livres politiquement incorrects" .)