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Il s´appelait Vlassov

Référence : 8076
1 avis
Date de parution : 1 décembre 2003
EAN 13 : 9782709622738
Nb de pages : 270
18.30
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Description
En passant aux Allemands pour combattre Staline, l'héroïque général de l'Armée rouge, Andreï Vlassov, pendu a Moscou en 1946, a-t-il vraiment trahi ? Cette question, l'Histoire croit l'avoir tranchée. Jusqu'à cette nuit polaire, cinquante ans plus tard, où un ermite, aux confins de la Sibérie, en livre le secret à Aurélien, un jeune journaliste français. De retour en France, ce dernier mène l'enquête. Elle le conduira vers la plus incroyable des hypothèses... Et à une certitude : au-delà du cas Vlassov, c'est bien la trahison qui gouverne le monde et lui donne sa cruauté comme sa saveur. 
Jean-Christophe Buisson a trente-cinq ans. Après une biographie du général Mihailovic, Héros trahi par les Alliés (Perrin, 1999) et un essai sur mai 1968, Maos, trotskos, dodo (Le Rocher, 2001), il signe ici son premier roman. Sur fond de batailles et de passions, d'amitiés et d'abandons, confrontant les mémoires, les mensonges obligés et les faux aveux, il nous donne à lire la fable de l'impossible vérité.
TitreIl s´appelait Vlassov
Auteur BUISSON (Jean-Christophe)
ÉditeurLATTES JEAN-CLAUDE (EDITIONS)
Date de parution1 décembre 2003
Nb de pages270
EAN 139782709622738
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)20
Largeur (en mm)130
Hauteur (en mm)205
Poids (en Kg)0.30
Biographie
Les avis clients
Ce fut une bassesse, une malhonnêteté!
5/5 Lucie Olivier Glaenzer.
.----. Sur l'exemplaire du livre de sa bibliothèque " La lie de la terre " d'Arthur Koestler, livre qu'elle juge "répugnant" , Madame Glaenzer a noté - en page 237 ou il n'est question que des ignominies de la Gestapo ( édition de 1947 chez l'éditeur Charlot Paris 7ème ) - : Les combattants de Vlassov et tous les volontaires européens du front de l'Est, ces héros du front russe, faits prisonniers par les Anglais et les Américains et qui devaient être traités exactement comme des prisonniers de guerre, ne furent point traités en soldats mais livrés aux Soviets sachant qu'ils seraient torturés et exécutés. Ce fut une bassesse et une malhonnêteté. D'autres furent livrés à l'horrible police politique belge et condamnés à mort ou aux camps de concentrations. Qui dit mieux ?