Nous sommes des chrétiens habitués, estimait Georges Bernanos devant l'inertie de ses contemporains face aux ravages de la modernité et des idoles du moment. Aujourd'hui, nous sommes aussi (car l'un n'empêche pas forcément l'autre) des chrétiens bousculés, retrouvant ainsi la situation "normale" d'une chrétienté qui doit toujours refuser de se laisser séduire et occuper par les mirages du monde. (Extrait de l'editorial de Philippe Maxence)