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Histoire de la messe interdite - T 1

Référence : 12275
1 avis
Date de parution : 25 septembre 2007
Auteur : MADIRAN (Jean)
EAN 13 : 9782916727202
Nb de pages : 122
17.50
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Description
Les Editions Via Romana ont entrepris de publier en fascicules successifs une Histoire de la messe interdite.
La messe interdite, c'est la messe catholique, traditionnelle, latine et grégorienne, selon le Missel romain de saint Pie V, également nommée "messe tridentine", dont la dernière édition a été faite par Jean XXIII en 1962. Interdite en 1969 par la hiérarchie ecclésiastique, cette messe n'est cependant pas tombée en désuétude, elle n'a pas cessé d'être célébrée par un nombre croissant de prêtres et de communautés, avec un nombre également croissant de pratiquants. Les fascicules paraissent à des intervalles plus ou moins réguliers, selon l'avancement de leur rédaction.
TitreHistoire de la messe interdite - T 1
Auteur MADIRAN (Jean)
ÉditeurVIA ROMANA (EDITIONS)
Date de parution25 septembre 2007
Nb de pages122
EAN 139782916727202
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)10
Largeur (en mm)135
Hauteur (en mm)205
Poids (en Kg)0.16
Biographie
Jean MADIRAN (1920-2013)
Jean MADIRAN (1920-2013) Né le 14 juin 1920 à Libourne, décédé à Paris le 31 juillet 2013, Jean Arfel, alias Madiran, Lagor ou Castetis, devient disciple de Charles Maurras qu'il rencontre pour la première fois en 1942.  

Jean Madiran : l'itinéraire s'achève  

Jean Madiran est mort le 31 juillet. Le fondateur du quotidien Présent était une figure de la presse politique française. Né en 1920, Jean Arfel écrit sous son nom ses tout premiers articles dans la Revue universelle, proche de l'Action française quelques mois avant le déclenchement de la Deuxième Guerre mondiale. Remarqué par Charles Maurras, qui le considère très vite comme l'un de ses jeunes dauphins, ce fervent partisan de la Révolution nationale, voulue par le Maréchal Pétain, fonde après la guerre L'indépendance française, qui, entre 1946 et 1950, accueille d'anciens journalistes de l'Action française comme Pierre Varillon. Très vite, à travers un itinéraire spirituel exigeant, il devient l'un des censeurs de la politisation à gauche de l'Eglise de France, contre laquelle il écrit deux livres retentissants, Ils ne savent pas ce qu'ils font et Ils ne savent pas ce qu'ils disent (1955), qui consacreront son talent d'essayiste. En 1956, il fonde la revue Itinéraires, qui, jusqu'en 1996, sera le symbole de la résistance spirituelle des catholique au processus d'autodestruction de l'Eglise, défendant avant que quiconque y ait seulement songé, la pérennité de la liturgie traditionnelle. Dans des Editoriaux, à la rhétorique ciselée, il perpétue quelque chose de la voix grave et obsédante de Charles Péguy. Une collection Itinéraires groupe autour de la revue des contributeurs de talent, de Henri Massis aux frères Charlier et à Louis Salleron. En 1968, Jean Madiran publie L'hérésie du XXème siècle. La revue tend à devenir l'expression d'une véritable école de pensée traditionaliste catholique. C'est dans cette perspective qu'en 1982, avec Romain Marie, François Brigneau et Pierre Durand, il fonde le quotidien Présent, dont il sera le directeur de la rédaction, le directeur de la publication et jusqu'aujourd'hui le directeur émérite et chroniqueur brillant.
Proche de Mgr Lefebvre, il avait refusé d'opter en 1988 en faveur des sacres illégaux de quatre évêques, préférant la position légitimiste de son vieil ami Dom Gérard Calvet, prieur puis abbé du monastère bénédictin du Barroux. Proche du Front national et de Jean-Marie Le Pen, il n'avait pas voulu vouer aux gémonies Bruno Mégret, lors de la scission de 1998, considérant qu'un journaliste n'avait pas à prendre parti dans une affaire d'hommes. Rappelant plusieurs fois par semaine, dans Présent, les fondamentaux du combat national et catholique, il publie de nombreux livres parmi lesquels, en 2002, Une civilisation blessée au cœur, qui passe pour son testament politique et La révolution copernicienne dans l'Eglise qui est son testament spirituel. 
[ Publié le jeudi 1 août 2013 par Minute ]    
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Critique du libraire
Jean Madiran (qui connaît parfaitement la question puisqu´il fut un des premiers à l´avoir abordée dans sa revue Itinéraires au début des années 60) entreprend de relater l´histoire des tribulations de la messe catholique traditionnelle dont la célébration fut déclarée brutalement interdite (le mot n´est pas trop fort), du moins en France, par une ordonnance signée le 1er novembre par le cardinal Marty, archevêque de Paris. Il est annoncé que ce premier fascicule sera suivi de trois autres (à paraître ultérieurement).
Les avis clients
Témoignage précieux / 12 mars 2008.
3/5 Les 4 Vérités Hebdo
.----. Histoire de la Messe Interdite Le 7 juillet dernier, le pape Benoît XVI déclarait dans un Motu proprio qui a fait couler beaucoup d’encre que le rite romain traditionnel n’avait jamais été interdit ....********.... Naturellement, au plan historique, la déclaration est plutôt contestable (Paul VI ayant déclaré le contraire sans ambiguïté) ! Mais tous les commentateurs ont, à juste titre, compris cette déclaration comme un rétablissement partiel des droits d’une liturgie, qui ne fut que restaurée par saint Pie V, mais dont l’essentiel est vieux de plus de quinze siècles ....********.... Comment, après les persécutions que les fidèles traditionalistes ont connues durant les années 1970 et 1980, en est-on venu à ce geste d’apaisement ? C’est ce que Jean Madiran nous explique dans son Histoire de la messe interdite -....- L’auteur est l’une des grandes « plumes » de la droite française. Dans la revue « Itinéraires » d’abord, puis dans le quotidien « Présent », il a combattu énergiquement le communisme et, à l’intérieur de l’Église, le modernisme. Et il fut l’un des tout premiers à déclarer publiquement pourquoi il resterait fidèle à la liturgie traditionnelle, dès 1969. C’est dire si son témoignage est précieux – et tout spécialement pour les jeunes générations. D’autant plus qu’après la mort de Mgr Lefebvre, de Louis Salleron, du Père Calmel, des Charlier et de bien d’autres, Madiran reste l’un des derniers acteurs de cette époque troublée de l’après-Concile et de l’après-68. Mais l’intérêt de l’ouvrage n’est pas purement documentaire. Il permet également de rappeler les fondements doctrinaux d’un combat crucial. Jean Madiran a annoncé, après ce petit livre, trois autres fascicules donnant des textes et documents de l’époque, une chronologie des événements, et des réflexions doctrinales. Après la lecture du premier volume, nous attendons les suivants avec impatience [ Guillaume de Thieulloy sur le site des " 4 Vérités Hebdo " ]