Attention, vous utilisez un navigateur obsolète ! Vous devriez mettre à jour celui-ci dès maintenant !

Pensez à commander vos cartes de voeux, et vos agenda pour 2024 !

Besoin d'un conseil, un souci technique, nous sommes à votre disposition dans le "Tchat".

Avant Noël, nous expédions tous les articles disponibles de vos commandes ; les reliquats sont livrés ultérieurement.

Hasard et certitude. Le transformisme devant la biologie actuelle

Référence : 16114
3 avis
Date de parution : 1 février 2005
Auteur : SALET (Georges)
EAN 13 : 9782740309926
Nb de pages : 504
39.00
+ d'éco-contribution

Tarifs dégressifs

Tarif par lot

  • -
    soit le lot
Expédié sous 3 jours
Voir la disponibilité en magasin

Description
Déjà en 1674 dans sa "Recherche de la Vérité", Malebranche notait le danger de trop faire confiance aux hommes de science : "Ce sont des gens qui cherchent la vérité : on suit ordinairement leurs opinions sans les examiner. Ainsi leurs erreurs sont d'autant plus dangereuses qu'ils les communiquent avec plus de facilité." (L. II, lIIe partie, ch. VIII, 4), Le Hasard et la Nécessité, le livre publié par Jacques Monod aussitôt la réception du prix Nobel, iIIustre à merveille ce propos du philosophe (et prêtre oratorien) : le célèbre biologiste y propose une vision du monde résolument athée, et tente de la justifier par des extrapolations qui vont bien au-delà des faits et des connaissances scientifiques.
En clair, il voulait exclure de la science (donc, pour lui, de la pensée et de la vérité) toute référence à un Créateur intelligent. Et son évolution "au hasard" tiendrait lieu de Dieu.
Comprenant le danger pour la foi, Georges Salet eut l'idée de retourner l'arme même de la science contre le savant biologiste. En effet, contrairement à l'idée que s'en formaient les Grecs, le hasard n'exclut pas l'existence d'une loi, donc d'un Législateur : il existe des lois mathématiques du jeu de dés (alea, en latin) et ce calcul "aléatoire", appliqué à la "mutation favorable" où Monod voyait le mécanisme d'une évolution progressive, démontre justement le contraire des prétentions évolutionnistes. Celte mutation est improbable à un degré tel qu'il équivaut à une impossibilité.
Depuis la première édition de cet ouvrage, trente ans tout juste ont passé, mais les termes du problème restent inchangés. Les lois des probabilités ne vieillissent pas, non plus que les êtres vivants : se renouvelant à chaque génération toujours semblables à leurs ascendants, n'en déplaise au Professeur Monod.
Ceux qui ouvriront ces pages en sentiront aussitôt tout le prix, et nous tenons à remercier ici Madame Salet et les Éditions Téqui d'avoir permis cette utile réédition. La désinformation scientifique n'est pas moins redoutable que les autres, et tous ceux pour lesquels importe avant tout la vérité, et toutes les formes et tous les ordres de vérité, comprendront l'importance de cet ouvrage.
TitreHasard et certitude. Le transformisme devant la biologie actuelle
Auteur SALET (Georges)
ÉditeurPIERRE TEQUI (EDITIONS)
Date de parution1 février 2005
Nb de pages504
EAN 139782740309926
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)30
Largeur (en mm)135
Hauteur (en mm)205
Poids (en Kg)0.68
Critique du libraire
Le transformisme devant la biologie actuelle. Réimpression fac-similé de l´édition de 1973. Un des meilleurs traités de réfutation et de critique de l´évolutionnisme.. " L'ensemble du livre est passionnant car il montre bien, d'une part, la splendeur intelligente de la nature et, d'autre part, l'unité, la cohérence parfaite de cette nature, quelque soit l'angle sous lequel on l'examine par des diverses disciplines de l'esprit humain ."
Les avis clients
Brillante réfutation !
5/5 Plaisir de Lire .
.----. Les spécialistes, logiciens, biologistes ou mathématiciens trouveront dans l'ouvrage un exposé de l'état des travaux les plus actuels sur la vie, l'ADN, la reproduction, les phénomènes de mutations . Une brillante réfutation des hypothèses transformistes y est donnée par l'expérience et le calcul. Les non spécialistes pourront trouver dans ce livre des indications précises répondant aux questions qu'ils se posent ou qu'on leur pose à ce sujet.(...) L'ensemble du livre est passionnant car il montre bien, d'une part, la splendeur intelligente de la nature et, d'autre part, l'unité, la cohérence parfaite de cette nature, quelque soit l'angle sous lequel on l'examine par des diverses disciplines de l'esprit humain . POUR QUI CE LIVRE ? : A partir de 18 ans . [ " Plaisir de Lire " , numéro 21 , Noël 1972 ]
Mélanges avec des postulats idéologiques !
5/5 Plaisir de Lire .
.----. Le lecteur en butte aux difficultés d'une analyse scientifique aura intérêt à lire plus particulièrement la lettre de Georges Salet au Professeur Jacob dont il fut l'élève ainsi que la lettre au Professeur Monod . Cette dernière est un véritable réquisitoire contre les théories énoncées par Monod . Notamment, il lui reproche d'avoir mêler dans ses œuvres des travaux de recherche biologique de grande valeur à des postulats idéologiques, à seule fin de prouver par affirmations répétées sa croyance exclusive au seul hasard et son refus de toute hypothèse finaliste . Ceci étant, l'annexe VIII appelle des précisions utiles au lecteur non averti . En effet, Georges Salet nous livre les tendances philosophiques de la biologie actuelle (403-415), ses propres conclusions, "relatives aux mécanismes de la vie telle que nous la voyons se déployer sous nos yeux", dans sa "calme réalité", selon le mot de Rostand . Autant l'intervention d'une Intelligence supérieure lui a paru nécessaire pour la mise en route, autant le mouvement de routine de toute cette mécanique lui paraît - comme, affirme-t-il, à "la quasi-totalité des biologistes actuels, depuis les catholiques jusqu'aux marxistes" - ne rien postuler d'autre que l'autogestion par l'ADN d'un ensemble d'éléments physico-chimiques . Théorie qu'il nomme "machiniciste" . Dieu a fabriqué des machines, c'est tout . L'âme humaine, toutefois, étant reconnue comme une réalité à part . ... On ne peut qu'applaudir à la réfutation par Salet de tous les VITALISMES qui prétendaient expliquer l'apparition des espèces et leur "évolution créatrice" par quelque force omniscience, omnipotente, soulevant la matière dans un élan foisonnant inépuisable . Ce "deus ex machina" n'existe pas. Mais ici la réduction matérialiste va plus loin ; elle atteint le principe morphogénique et téléonomique propre à tout organisme individué qu'on nomme AME, végétale ou animale . Point n'est besoin d'âme, dit en substance Salet, l'ADN suffit ! Il ne discute pas ici l'existence de l'âme humaine, ou Esprit . L'observation des phénomènes de conscience (407) et de liberté (410) en prouve suffisamment la réalité . Il serait d'ailleurs prêt à étendre la nécessité de l'âme ainsi entendue aux animaux supérieurs, tel le chien, ce qui le jette dans une amusante perplexité : "Oui, il paraît raisonnable de penser qu'un Chien (sic) a une conscience, mais alors, pouquoi pas une plante ? Pourquoi pas une Bactérie ? Pourquoi pas les atomes comme le pensait Teilhard de Chardin ?... Salet nage ici en plein dualisme platonicien . Certes, cette âme-là a besoin du corps comme d'un instrument . Mais le corps n'a plus besoin d'elle pour se former, se conserver, se reproduire et il meurt, de son propre fait, sans elle . "Les fonctions physiologiques, sans en excepter la reproduction, sont aujourd'hui expliquées de manière vraisemblable par des processus ohysico-chimiques UNIQUEMENT et ne requièrent de façon évidente ni l'action d'une force vitale, ni celle de l'âme . C'est seulement l'origine des espèces qui est inexplicable par les seules lois de la matière." (411) ... Là-dessus, qui ne donnera raison à E. Wolff (Les chemins de la vie, 120), à Grassé (Toi ce petit dieu, 54-58) et à bien d'autres, contre Salet ?... L'ADN n'est qu'un élément d'élément, une molécule identiquement reproduite dans chaque cellule des organes de l'organisme . Aristote, à ce simple énoncé, prononce : l'homogène ne peut rendre compte de l'hétérogène, même en supposant un Dieu au principe de l'opération . Il faut au développement, à la conservation, à la reproduction et même à la consomption de l'individualité organique une force gouvernante, une structure dynamique, une puissance de synthèse . L'ADN peut en être un conditionnement, un instrument, présent en chaque élément, donc à des millions d'exemplaires dans les organismes les plus simples, il ne saurait en assumer le rôle, qui est d'imposer à la mécanique matérielle la finalité de l'espèce . Une âme existe donc, nécessairement, pour le montage, l'entretien, la marche de la machine... et sa mort . D'où vient-elle ? Où va-t-elle ? Comment est-elle ? Tout cela relève de la philosophie qui est un type de connaissance autre que scientifique... ( suite ... )
Il balaie toutes les hypothèses fumeuses ...
5/5 Plaisir de Lire .
.----. [ Analyse rédigée à partir d'un exemplaire de l'édition de 1972 chez " Saint Edmé " .] Enfin un ouvrage, étayé de preuves rigoureuses . En 400 pages (les 50 dernières sont des annexes), il fait le point actuel d'une recherche cruciale, celle de l'origine de la vie et de l'homme. Il balaie toutes les hypothèses fumeuses et démodées que nos manuels modernes prônent hélas encore comme certaines . Il est l'ouvrage attendu avec impatience par chaque homme épris de vérité . La courageuse étude de Georges Salet, commencée en 1965, porte un titre qui en fait une réponse au livre du Professeur Monod "Le hasard et la nécessité" . Tout de suite nous sommes avertis qu'ici nous ne trouverons pas d'extrapolations tendant à prouver à tout prix l'hypothèse du Transformisme des espèces, dite de l'Evolution . Nous resterons dans le domaine des sciences et des mathématiques . Le titre est justifié dès le début par une lettre au Professeur Monod et par l'annonce que sera longuement réfutée, preuves à l'appui, la phrase de celui-ci en septembre 1969 . Nous citons le Professeur Monod : "La source de l'évolution est une modification de l'ADN, et cette modification ne peut être due qu'au hasard, au sens le plus profond" . Georges Salet, puisqu'il est question de hasard, applique le calcul des probabilités à la pensée de Monod et s'aperçoit immédiatement que les époques géologiques sont trop courtes des milliers de fois pour que le hasard ait pu modifier une amibe et fait apparaître chez celle-ci un organe nouveau . La biologie, alliée au calcul des probabilités, montre d'autre part que les fameuses mutations qui devraient tout expliquer, ne provoquent pas d'apparitions d'organes mais seulement de régressions et de légères modifications superficielles . Dans ces conditions, il est impossible de songer à une Evolution progressive dont aucune preuve d'ailleurs n'a jamais été fournie depuis 150 ans . ( suite ... )