Léon Ville, né le 25 juillet 1854, dont tous les ouvrages, avidement lus par la jeunesse, ont été couronnés par l’Académie Française et la Société d’Encouragement au bien, est un émule de Fenimore Cooper, Mayne-Reid, Jules Verne, etc.
Voir plusGuillaume Le Boer
Référence : 9876
2 avis
Date de parution : 1 janvier 2020
Éditeur : SAINT REMI (EDITIONS) ESR
EAN 13 : 9782816204988
Nb de pages : 150
12.00 €
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Description
Guillaume le Boer est un roman qui célèbre et exalte comme il convient l'héroïsme des fermiers boers luttant jusqu'à la mort pour sauvegarder leur indépendance contre l'envahisseur anglais. Ce livre aspire à stimuler les énergies et galvaniser les coeurs en y mettant ce feu sacré qui permet seul de défendre les grandes causes. Pour ce faire, Léon Ville raconte dans ces pages ce que furent la bravoure et le sacrifice des Boers du Transvaal, qui combattirent désespérément pour demeurer fidèles à leur foi religieuse et préserver la liberté de leur pays.
Titre | Guillaume Le Boer |
Auteur | VILLE (Léon) |
Éditeur | SAINT REMI (EDITIONS) ESR |
Date de parution | 1 janvier 2020 |
Nb de pages | 150 |
EAN 13 | 9782816204988 |
Épaisseur (en mm) | 9 |
Largeur (en mm) | 143 |
Hauteur (en mm) | 204 |
Poids (en Kg) | 0.15 |
Biographie
Léon VILLE (1854-1948)
Critique du libraire
Recommandé à partir de 12 - 13 ans.
Les avis clients
Rebondissements, évasions, combats ...
5/5 Lectures Françaises.
.----. Écrit en 1936 par ce lauréat de l’Académie française, ce roman plein des vertus de courage, de bravoure et de sacrifice, s’adresse aux jeunes à partir de 12 ans. Cette plume alerte et la verve de son esprit tiennent absolument en haleine le lecteur en le captivant de la première à la dernière page. La lecture de ce récit sera une distraction saine pour l’esprit et remplira le cœur de sentiments chevaleresques. Idéal pour contribuer à former le caractère des adolescents. Car l’enfant suivra pas à pas les péripéties de cette famille de fermiers boers : tout d’abord le père, Guillaume, qui revient chez lui tout à fait désemparé, car les Anglais lui ont pris tout son bétail qu’il espérait vendre, qui, quelques heures après, voit sa maison partir en flammes, brûlée par l’ennemi, l’obligeant à se réfugier chez des amis à quelques lieues de là en leur confiant sa femme et ses deux enfants, tandis que lui allait se réengager auprès du général Dewet œuvrant au recouvrement de l’ indépendance de l’Acadie.
Sa femme, Catherine, qui, courageuse, laisse partir son mari et seconde de son mieux Marguerite, la femme de Diéper, jusqu’à ce jour funeste où les Anglais assiégèrent cette ferme, dernier jour de leur vie à tous trois. Enfin les deux enfants Pierre et Marie, l’un adolescent et l’autre encore toute petite, qui se voient obligés de trouver un autre refuge si loin qu’ils mettent plusieurs jours, hélas sans y parvenir... Que deviendront-ils ? Réussiront-ils à retrouver leur père ? Un récit plein de rebondissements, d’évasions, de combats, d’embuscades...
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P.S. : Les cadeaux de Tante Anne dans Lectures Françaises, n°789, janvier 2023 - Tous les numéros de notre revue sont présentés sur ce site et le plus souvent sont encore disponibles. La revue a été créée par Henry Coston en 1957, puis dirigée par Jean Auguy de 1977 à 2011 ]
Guillaume le Boer
3/5 DIONYSOS ANDRONIS
C'est une très belle reproduction de la deuxième édition de ce roman fort. La première édition datait de 1902 mais nous présentons ici la reproduction de la seconde qui date de 1936 (comme indiqué sur la couverture). Même si nous aimons beaucoup l'éditeur ci-dessus, nous avons hésité à lire auparavant les ouvrages du même auteur Léon Ville (1854-1948) car il est classé "jeunesse". Pourtant pas celui-ci, pour une très bonne raison ! En voici le résumé :
« Guillaume le Boer est un roman qui célèbre et exalte comme il se doit l'héroïsme des fermiers boers luttant à mort pour sauvegarder leur indépendance contre l'envahisseur anglais. Ce livre aspire à stimuler les énergies et galvaniser les cœurs en mettant en lui ce feu sacré qui seul permet de défendre les grandes causes. Pour ce faire, Léon Ville raconte dans ces pages ce que furent la bravoure et le sacrifice des Boers du Transvaal, qui se battirent désespérément pour rester fidèles à leur foi religieuse et préserver la liberté de leur pays » (op.cit.page 149).
Guillaume Burlat et sa famille exploitent une ferme dans une province du Transvaal sud-africain où ils sont jadis visités par des soldats anglais leur demandant de partir : « vous avez une heure pour partir » (op.cit.page 10). Le téléphone n'existait pas encore en 1902 et ils décidèrent donc d'aller chez un ami du père « Je t'emmènerai chez Louis Dieper, un ami sur qui je sais pouvoir compter » (op.cit.page 17). Ce n'est qu'une manipulation anglaise pour "apporter une extermination totale de notre race" ajoute le chef de famille Guillaume au début, à la page 8. Ils se mettent donc à marcher pour rejoindre Dieper. Mais sur leur longue route, ils ont été obligés de se garer dans une petite cabane gardée également par les Anglais. Dans un accès de colère Guillaume étrangle un soldat anglais ( à la page 54 ). Tout en continuant leur voyage ils rencontreront un compatriote Rabier qui commettra également un meurtre contre un soldat anglais ( à la page 78 ) : "... qui a sauté en arrière en poussant un cri de douleur . " Que va-t-il se passer ensuite avec les deux meurtriers justifiés ? Iront-ils en prison pour avoir assassiné les « libérateurs » de la couronne anglaise qui vise à aider les noirs à devenir plus forts que les blancs ?
Mais l'élément qui nous a le plus plu serait les dessins qui accompagnent les pages et qui sont signés par quelqu'un prénommé F.A.G. Nous avions écrit aux deux éditeurs, Mademoiselle Jeanne Saglio et son père, Monsieur Bruno, mais nous n'avions jamais reçu de réponse. Nous avons fait une recherche personnelle sur internet mais il faut bien avouer que ce dernier instrument est totalement sioniste et n'a pu nous apporter de réponse. Il y a un autre ancien dessinateur Ernest Bouard (1864-1938) qui avait fait la couverture du roman "Une poignée de héros" pour le même auteur Ville paru un an auparavant, en 1901. Leur style artistique n'étant pas similaire, nous ne pouvons alors fournir de réponse. Mais nos lecteurs le savent peut-être. Il leur suffit donc de nous laisser un commentaire sous cet article..
Écrit en 1936 par ce lauréat de l’Académie fran-
çaise, ce roman plein des vertus de courage, de bravoure et de
sacri ce, s’adresse aux jeunes à partir de 12 ans. Cette plume
alerte et la verve de son esprit tiennent absolument en haleine le
lecteur en le captivant de la première à la dernière page. La lec-
ture de ce récit sera une distraction saine pour l’esprit et remplira
le cœur de sentiments chevaleresques. Idéal pour contribuer à
former le caractère des adolescents. Car l’enfant suivra pas à pas
les péripéties de cette famille de fermiers boers : tout d’abord le
père, Guillaume, qui revient chez lui tout à fait désemparé, car les Anglais lui ont
pris tout son bétail qu’il espérait vendre, qui, quelques heures après, voit sa maison
partir en ammes, brûlée par l’ennemi, l’obligeant à se réfugier chez des amis à
quelques lieues de là en leur con ant sa femme et ses deux enfants, tandis que lui
allait se réengager auprès du général Dewet œuvrant au recouvrement de l’indé-
pendance de l’Acadie. Sa femme, Catherine, qui, courageuse, laisse partir son mari
et seconde de son mieux Marguerite, la femme de Diéper, jusqu’à ce jour funeste
où les Anglais assiégèrent cette ferme, dernier jour de leur vie à tous trois. En n les
deux enfants Pierre et Marie, l’un adolescent et l’autre encore toute petite, qui se
voient obligés de trouver un autre refuge si loin qu’ils mettent plusieurs jours, hélas
sans y parvenir... Que deviendront-ils ? Réussiront-ils à retrouver leur père ? Un
récit plein de rebondissements, d’évasions, de combats, d’embuscades...