"Cette lecture m'a fait plus de bien qu'une série d'exercices spirituels."
Ainsi parlait Maximilien Kolbe en 1921, après avoir pris connaissance de la vie de Gemma Galgani. Béatifié par Pie XI en 1933, puis canonisée par Pie XII lors de la fête de l'Ascension en 1940, cette Italienne laïque consacrée à Dieu reçut pendant deux ans tous les stigmates de la Passion du Christ, de la même manière que Padre Pio qui avait pour elle une grande dévotion. Son rayonnement spirituel est mondial. En Italie et en Espagne, sa renommée dépasse même celle de sainte thérèse de l'Enfant-Jésus !
Gemma, de santé fragile, est l'objet dès son plus jeune âge de grâces toutes particulières : guérison miraculeuse par l'intercession de Marguerite-Marie Alacoque, apparitions du vénérable Gabriel de l'Addolorata (canonisé en 1920), extases, et surtout dialogues fréquents avec Jésus et avec son ange gardien, à partir de 1896.
Ce texte, écrit à la demande d'une religieuse imprégnée de la spiritualité de saint Paul de la Croix, fondateur de la Congrégation des passionistes dans laquelle Gemma voulait rentrer, a déjà commencé à semer la conversion et l'émerveillement dans les âmes de ceux qui l'ont lu, prêtres, religieux, laïcs. chacun y trouvera une raison d'espérer et de s'améliorer.
Le père Bernard Gallizia est prêtre du diocèse de Blois et sociétaire de l'Association des écrivains catholiques. Il a publié notamment Medjugorje : la controverse (F-X de Guibert, 2006), Cannabis : les jeunes méritent la vérité (Editions de l'Emmanuel, 2007), Le célibat des prêtres est-il justifié ? (Editions de l'Emmanuel, 2012) et, sous le pseudonyme de Bernard Gilardino, Ce que j'ai vu de Dieu (Téqui, 1997) et Le vrai visage de Marie et de l'Eglise (Téqui, 1998).