Attention, vous utilisez un navigateur obsolète ! Vous devriez mettre à jour celui-ci dès maintenant !

Pensez à commander vos cartes de voeux, et vos agenda pour 2024 !

La librairie n'expédiera aucun colis du 25 décembre au 1er janvier. Une maintenance sera ouverte le 30 et 31 décembre.

Game over - La révolution antipolitique

Référence : 122704
2 avis
Date de parution : 10 mars 2022
Éditeur : MAGNUS (EDITIONS)
Collection : LIVRES
EAN 13 : 9782384220007
Nb de pages : 208
18.00
+ d'éco-contribution

Tarifs dégressifs

Tarif par lot

  • -
    soit le lot
Expédié sous de 2 jours
Voir la disponibilité en magasin

Description
La politique ou l'art de se tuer lentement. C'est à ce jeu infernal que nous perdons tout. C'est à ce jeu maudit que nous devons l'immigration de masse, l'ensauvagement des rues, le conditionnement médiatique, l'étranglement des libertés, l'effondrement économique, la dépression sociale, la persécution idéologique, morale et fiscale...
C'est à ce jeu odieux que nous devons notre crépuscule.
Et si une autre voie était possible ? Et s'il fallait agir autrement ?
Et si pour cesser de perdre, il fallait cesser de jouer ?
Bienvenue dans le livre le plus anti-démocratique de tous les temps. 
Auteur à succès de constats devenus centraux dans le débat public, Laurent Obertone pulvérise le cirque électoral et livre son "testament antipolitique". Ou comment résoudre point par point les problèmes du pays, reprendre en main notre destin, retrouver notre âme. Sans parti, sans État, sans élections. Et sans leur permission. Voilà Game Over : un manifeste radical et nécessaire. Un essai furieusement juste et délicieusement révolutionnaire.
TitreGame over - La révolution antipolitique
Auteur OBERTONE (Laurent)
ÉditeurMAGNUS (EDITIONS)
Date de parution10 mars 2022
Nb de pages208
CollectionLIVRES
EAN 139782384220007
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)21
Largeur (en mm)140
Hauteur (en mm)214
Poids (en Kg)0.29
Les avis clients
« L’effondrement qui vient fera mal »
5/5 https://www.breizh-info.com/
.----. Laurent Obertone est écrivain. Auteur à succès, il a publié une dizaine d’ouvrages, des essais traitant de l’insécurité, des médias, de l’immigration ou de l’État, ainsi que des romans et des récits inspirés de faits criminels. Dans son dernier essai, Game Over, publié aux éditions Magnus, maison d’édition qu’il a cofondée avec Laura Magné, Laurent Obertone complète les constats dressés dans ses précédents ouvrages et propose une série de solutions concrètes et radicales pour permettre aux Français de reprendre leur destin en main et de retrouver leur âme . Un « testament antipolitique » et un « manifeste antidémocratique » à travers lequel l’auteur pourfend la doxa et la bienpensance, et passe en revue les grands enjeux nationaux, exposant point par point les remèdes nécessaires pour sortir de l’ornière et résoudre les maux qui accablent le pays depuis plusieurs décennies. À quelques jours de l’élection présidentielle, Laurent Obertone explique notamment pourquoi il ne faut, selon lui, rien attendre de la grand-messe électorale et pourquoi les Français doivent désormais sortir du jeu, se prendre en main et ne compter que sur eux-mêmes afin d’être prêt à faire face à l’effondrement qui vient. [ Publié le 3 avril 2022 en introduction à son interview par Epoch Times ]
Ne plus participer à la démocratie ?
3/5 https://www.francisrichard.net/
.----. L'essai de Laurent Obertone se présente comme un jeu vidéo à huit niveaux, qui sont autant de chapitres, dans lesquels il propose de ne plus participer à un autre jeu, celui de la démocratie, qui renforce toujours plus le monstre qu'est l'État. Niveau 0 - You lose L'auteur explique que la démocratie est un jeu, où, en France, il y a périodiquement un grand gagnant et, actuellement, soixante millions de perdants, quarante-huit millions d'électeurs qui croient choisir mais n'ont aucun pouvoir particulier: La République est un parasitisme, l'État un cancer, la démocratie une escroquerie totalitaire. La politique prive le citoyen de pouvoir, les nations de système immunitaire. Elle ne fera pas de vous ce que vous ne parvenez pas à être. Elle ne sauvera pas la France. Elle la divise, la paralyse, la défigure, en aspire les richesses et l'entraînera par le fond. Aussi faut-il faire en sorte que plus jamais l'État, ses médias et telle oligarchie ne puisse prendre le pays en otage de leurs délires, et, pour cela, il faut parler des vrais problèmes et de la façon révolutionnaire, et antipolitique, de les résoudre. Niveau 1 - Inverser l'immigration Malgré la venue de millions d'immigrés riches de leur diversité, la France n'a jamais été aussi près de la faillite économique et sociale, le sentiment d'insécurité n'a jamais été aussi grand. Pour le résumer aussi clairement qu'incorrectement: L'immigration de quantité, souvent sous-qualifiée, n'est en moyenne pas au niveau du Français moyen. Quand bien même cette immigration serait de qualité, elle changerait notre peuple si elle était extra-européenne[...]. À terme, toute immigration massive signifie la disparition des peuples hôtes, i.e. le remplacement de leurs populations: L'immigration est l'abus de pouvoir le plus évident de l'État. Le viol pur et simple de nos frontières, de notre intégrité, de notre souveraineté. Une immigration de contrainte s'appelle une invasion. L'auteur énumère une série de mesures que prendrait une société raisonnable. Seraient-elles faisables? Oui, puisque d'autres pays l'ont fait, tels que la Hongrie, l'Italie, la Pologne, le Danemark, le Japon, Israël, les États-Unis, l'Australie etc. Pour que ces mesures ne soient pas éphémères, encore faudrait-il parler vrai et dire que les pays sont leurs peuples: Préserver la diversité, c'est avant tout préserver les peuples à commencer par le sien. Préserver les peuples, c'est préserver la possibilité du génie particulier, de l'achèvement culturel. C'est aussi préserver la possibilité d'une vision universelle. La seule cohérente et légitime étant la défense des peuples et des identités natives. Niveau 2 - Restaurer la sécurité Chiffres à l'appui, Laurent Obertone montre que l'insécurité progresse, que ce n'est pas faute de moyens et que ce n'est pas un simple sentiment: si les prévenus étaient punis à hauteur de ce que prévoit la loi, le taux de criminalité s'effondrerait. Les mesures qu'une société civilisée prendrait ne régleraient pas tous les problèmes: L'insécurité est le symptôme d'une société malade, au capital social effondré. Les principales causes de cet effondrement sont le socialisme et l'immigration de quantité. Niveau 3 - Abolir le socialisme Qu'est-ce que le socialisme? Le vol que l'État fait au nom de l'égalité en s'emparant des richesses de la collectivité pour se financer, financer les plus-nécessiteux un peu, et aussi ses électeurs, ratons, retraités, laveurs et finalement tous ses amis: Le Français est en général assez fier de ce système social, absolument amoral. [...] Aucun parti n'envisage la suppression des aides sociales, au contraire. Tous les candidats sont favorables à leur maintien, voire à leur renforcement. Parce que c'est maintenir et renforcer le pouvoir de l'État. C'est ainsi que le fameux modèle social français conduit lentement mais sûrement le pays à la ruine et à l'explosion. Là encore, Laurent Obertone, chiffres à l'appui, le montre, aussi bien dans le domaine de l'économie et de la santé que du social: Plus les Français vivent aux dépens de l'État, plus l'État vit aux dépens des Français. Plus dure sera la chute pour tout le monde. Alors il énonce les mesures humanistes qu'une société responsable prendrait, qui mettraient fin au socialisme et tueraient son âme noire, en sauvant les Français d'eux-mêmes, de la domestication, de l'État et du mirage de la social-démocratie. Niveau 4 - Séparer l'économie de l'État Le but est que rien ne nous appartienne jamais réellement. C'est nous qui appartenons à l'État. C'est qu'il a des frais, l'État, et pas qu'un peu! [...] Il est vrai qu'il est plus facile de "débloquer" des fonds publics, plutôt que son courage et son cerveau. Une société libre prendrait des mesures pour que l'État soit mis hors d'état de nuire et que soit aboli l'esclavage moderne qui le caractérise, parce que l'État se sert au passage et n'est responsable de rien, qu'il fait tout moins bien que n'importe qui: La France doit tuer son parasite, avant d'être tuée par lui. Niveau 5 - Briser les supports du conditionnement Dans les faits - et par ses finances -, l'État est le maître des médias, de la culture, de l'éducation, de la recherche, de l'université. C'est ainsi que les pensées sont contrôlées, que sont définis le Bien et le Mal, que les esprits sont formatés, qu'ils sont coupés du monde réel, que la population est lobotomisée et que l'élite progressiste se reproduit et rejette les incompatibles. Dans une société libre, les mesures qui seraient prises consisteraient à briser toutes ces chaînes financées par l'État afin de permettre le renouveau de l'art français, la libération des esprits et de l'information, le retour de l'excellence: Et si, celle-ci donne les pleins pouvoirs sur soi, elle ne donne aucun droit sur autrui. Niveau 6 - Séparer la France de l'État. C'est [...] pour ménager les consciences les plus conservatrices que je ne propose pas la suppression totale de l'État. Seulement sa séparation nette et définitive de tout ce qui n'aurait jamais dû le concerner: l'économie, le social, l'éducation, la science, la morale, la culture, les médias et tout ce qui n'est pas régalien. Bref, un État-police, gardien des frontières et des lois, strictement privé de politique. Les mesures que prendrait une société libre seraient donc de réduire l'État à ses fonctions primaires, exécutantes, parce qu'il n'a que des défauts, notamment celui de n'avoir aucune qualité, et de rendre la France aux Français. C'est pourquoi: La loi ne peut plus appartenir aux politiciens. La Constitution doit tenir en dix lignes, être compréhensible par chacun, et chacun aura intérêt à la défendre, puisque d'elle seule dépendent les libertés et les biens, contre les tyrannies, agresseurs et privilèges. Niveau 7 - Nous séparer de la domestication Dans ce niveau, le lecteur retrouve ce qui fait l'essentiel de l'Éloge de la force, autrement dit la mise en œuvre des mesures résultant des constats faits par l'auteur et que le lecteur, s'il ne les a pas déduits par lui-même, aura lus dans Game Over: Ce que je veux montrer dans ce livre, c'est que rien n'est compliqué. Les problèmes sont identifiés. Or les solutions, si simples et si évidentes soient-elles, sont totalement hors de notre portée. Entre les actes et nous, il y a l'État. Il n'y a donc pas de notice Obertone? Notre seule et unique solution est de surmonter la domestication. Mener en nous et auprès des nôtres une véritable guerre civile, amener les esprits à la pleine conscience de leur esclavage, de cet État qui les broie, de sa dérive génocidaire. Les mesures que doit prendre un citoyen libre pour être quelqu'un ou quelque chose, c'est-à-dire ne plus être un animal domestique, en découlent: Notre véritable adversaire, le seul "boss de fin", c'est nous-mêmes. Notre destin est entre nos mains: Les modalités concrètes du basculement, de l'État vers la liberté, de l'esclavage à la force, n'apparaîtront que lorsque les esprits seront suffisamment nombreux et déterminés. Conclusion - Tuer le game C'est le système qu'il faut changer. Et pour cela, Obertone propose donc une voie, qui est la plus dure, puisqu'il s'agit de devenir adulte, responsable et conséquent: Nous ne sommes pas là pour dicter au monde sa conscience. Soyons ce que nous sommes, tâchons de nous améliorer, et ce modèle suffira. Rien n'a plus d'influence sur ses pairs qu'un être accompli. [...] Seul l'individu libre et accompli peut fonder un collectif fort. [ Publié par Le blog de Francis Richard "Semper longius in officium et ardorem" le 13 mars 2022 ] PS : Ce blog se veut catholique, national et libéral. Catholique, il ne s'attaque pas aux autres religions, mais défend la mienne. National, il défend les singularités bienfaisantes de mon pays d'origine, la France, et celles de mon pays d'adoption, la Suisse, et celles des autres pays. Libéral, il souligne qu'il n'est pas possible d'être un homme (ou une femme) digne de ce nom en dehors de l'exercice de libertés.