Attention, vous utilisez un navigateur obsolète ! Vous devriez mettre à jour celui-ci dès maintenant !

Besoin d'un conseil, un souci technique, nous sommes à votre disposition dans le "Tchat".

Français, ouvrez les yeux ! - Une radiographie de la France par un immigré

Référence : 127261
3 avis
Date de parution : 18 janvier 2023
Auteur : GHALI (Driss)
EAN 13 : 9782810011469
Nb de pages : 240
18.00
+ d'éco-contribution

Tarifs dégressifs

Tarif par lot

  • -
    soit le lot
Expédié aujourd'hui
Voir la disponibilité en magasin

Description
Driss Ghali est marocain et musulman. Il a fait ses études en France et y a commencé sa vie professionnelle. Aujourd'hui, à chaque fois qu'il revient dans l'hexagone, il est effaré et ne comprend pas ce qu'il voit. Comment le Peuple français accepte-t-il l'américanisation aussi massive de sa culture, l'ensauvagement de ses manières et une présence de l'Islam toujours plus affirmée ? Il ne s'agit pas ici d'un énième livre sur le déclin de la France, vieille névrose qui resurgit régulièrement.
Non, ici l'auteur cherche à savoir comment l'abaissement du pays peut être à ce point accepté par les Français. Pourquoi reconduisent-ils scrutin après scrutin des responsables politiques qui organisent leur sortie de l'Histoire par l'immigration de peuplement et l'abdication de la souveraineté au profit de l'Union Européenne ? Pour Driss Ghali, il y a quelques explications. Elles sont douloureuses à accepter mais peut-être pourront-elles en aider certains à ouvrir enfin les yeux. 
Diplômé des grandes écoles (Centrale Paris, EDHEC), Driss Ghali est spécialiste des relations internationales et intervient au Maroc, au Brésil et en France.
TitreFrançais, ouvrez les yeux ! - Une radiographie de la France par un immigré
Auteur GHALI (Driss)
ÉditeurARTILLEUR (EDITIONS)
Date de parution18 janvier 2023
Nb de pages240
EAN 139782810011469
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)21
Largeur (en mm)140
Hauteur (en mm)220
Poids (en Kg)0.31
Critique du libraire
"Appel aux Français, pour qu'ils ouvrent les yeux" ---------------------------------- " Le vent de la révolte viendra-t-il de ces gens ordinaires, peuplant la France périphérique, si bien identifiés et analysés par le géographe Christophe Guilly quand ils en auront assez d'être dépossédés, par les effets conjugués de la gentrification et de l'immigration de masse, de leur ville, de leur littoral, de leur statut de référent culturel et de subir de plein fouet les choix politiques idéologiques qui ont mené à la crise énergétique actuelle " ?
Les avis clients
Tropicalisation ?
5/5 https://www.jesuisfrancais.blog/
.----. Cet article qui est une recension est paru dans Causeur le 9 janvier. Il est dans la ligne anti-immigrationniste de Causeur, dont on ne peut que se féliciter. Pire qu’un déclin, une métamorphose… Dans un nouvel essai, Driss Ghali supplie les Français d’ouvrir les yeux. « Que l’on se garde donc de détruire systématiquement ce qui en fait la beauté ! » C’est par cet avertissement que Georges Pompidou achevait sa lettre adressée au Premier ministre Chaban-Delmas pour demander la suspension de l’abattage des arbres le long des routes, notamment celui des platanes, pour qui le président avait une sensibilité particulière. La beauté dont parle Pompidou est celle de la France, de ses paysages si particuliers selon les régions. Arrêtez d’emmerder les Français ! Pour celui qui avait à cœur de laisser vivre les Français loin des « emmerdements » provoqués par les normes sécuritaires et hygiénistes dont la perspective inflationniste commençait déjà à se dessiner, ce désir de préserver ces platanes qui habillent les routes du midi, n’était guère mué par une sorte de fanatisme écologiste mais par un profond attachement à ce qu’est et doit demeurer la France. La France était alors considérée comme un chêne ou un platane, De Gaulle puis Pompidou en étaient les jardiniers attentionnés, prenant soin de ses racines enfoncées dans la terre du passé comme de ses branches pointant vers le ciel de l’avenir. C’est par cette métaphore sylvestre que Driss Ghali évoque également la France mais en prenant un autre type d’arbre plus ramassé. Autre époque, autre France, autre arbre. En 50 ans, la France est passée d’un chêne majestueux à un bonsaï rabougri. La comparaison résonne fortement avec l’effondrement dramatique de notre souveraineté à tous les étages : de notre parc nucléaire saccagé à l’hôpital public tiers-mondisé en passant par nos boulangeries sacrifiées sur l’autel du marché européen de l’électricité. Dans son dernier livre, Français, ouvrez les yeux !, l’essayiste et auteur de Causeur, dresse le portrait d’une France qui est en train non seulement de décliner mais de perdre son âme. La France, nous dit-il, se métamorphose. Et c’est pire. Car contrairement à la pente du déclin qui malgré tout peut se remonter, la métamorphose, elle, est définitive sans machine arrière possible. Le sentiment d’être étranger dans son propre pays La France se métamorphose pour devenir autre, étrangère à ce qu’elle a toujours été : un pays où naquit un esthétisme architectural et artistique incomparable, un goût prononcé pour le raffinement et l’élégance des manières où la place de la femme était primordiale, une douceur de vivre insufflée par une certaine idée de la gastronomie, des génies littéraires que le monde entier nous enviait, et un paysage varié et marqué par l’héritage de 1 500 ans d’histoire et de catholicisme dont le blanc manteau d’églises caresse encore chaque village français. Ghali jette un regard sans concession tant la rupture avec ce monde d’hier est béante. On se laisse alors emporter par sa plume trempée dans l’encre noire de la colère et de l’amertume. Pour l’auteur, la mutation de la France porte un nom : la tropicalisation. Notre avenir sera tropical et cela n’a rien à voir avec le changement climatique, ironise-t-il. Certes, cette mutation est en lien avec sa démographie de plus en plus marquée par une immigration de peuplement : « La France n’est plus le pays des Français mais celui d’un peuple d’immigrés » ose Driss Ghali qui évoque sans ambages, au risque d’être accusé de xénophobie (un comble au regard de ses origines marocaines !) par les bonnes âmes immigrationnistes, le « grand remplacement », rappelant que ce concept s’appuie sur une réalité démographique et factuelle. Les chiffres parlent d’eux-mêmes. 21% de la population française est immigrée ou née d’un parent immigré et 13% est extra-européenne. A titre de comparaison, le Maroc, lui, ne compte que 0,3% d’immigrés dans sa population et la Turquie, 7%. Conséquence : « Marrakech s’est installé dans le 18ème » et les Français sont plus dépaysés que les touristes marocains visitant Montmartre, tacle l’auteur, tel un Zadig à rebours. Mais si la France se tropicalise c’est aussi parce que notre pays partage de plus en plus de caractéristiques avec certains pays de l’Amérique latine, comme l’impunité des élites qui ne sont plus responsables de rien. On l’a bien vu lors fiasco du Stade de France en mai dernier où le ministre de l’Intérieur a ouvertement menti sur la véritable identité des fauteurs de trouble. Autre trait en commun : la favelisation de la société française avec l’ensauvagement des mœurs, l’explosion de la violence gratuite, l’amplification des guérillas urbaines, les règlements de compte entre bandes ethniques rivales sur fond de trafic de drogue. Ghali ne manque pas une occasion de rappeler que la greffe du multiculturalisme ne prend pas sur le sol français et ne peut que dégénérer en une société multiconflictuelle. Mais pour l’auteur, le trait le plus emblématique de la tropicalisation de la France est le renoncement des élites à préserver ce qui a forgé l’identité, la personnalité, l’idée France comme dirait Hegel… Bref, ce qui fait l’unicité même du pays. Démission régalienne Pour Ghali, si la France se métamorphose, c’est parce qu’on a laissé faire. Si la loi du plus fort a détrôné la douceur de vivre à la française, si « chaque métropole française a son Chicago », c’est parce que l’Etat, censé avoir le monopole de la violence légitime, a renoncé à imposer la force régalienne. En convoquant l’histoire, Ghali nous fait mesurer la perte : la France des Rois de France avait réussi à faire reculer la violence primaire par la civilisation des mœurs unique en son genre. Cette démission régalienne ne fait que nous déciviliser. Voilà comment on dilapide l’héritage acquis. « Les anciens ont fait Versailles, nous on l’a tagué. » Dans l’espoir de sortir les Français de leur léthargie, et qu’ils se rendent compte du changement irréversible qui est en cours, dans l’espoir qu’ils arrêtent de le cautionner par un lâche suivisme moutonnier, Ghali enchaîne ce genre de formules cinglantes. La Boétie n’est pas cité mais sa présence plane au-dessus de la plume de l’auteur. Pour illustrer cette démission volontaire, Ghali prend le cas de l’école. Hier, l’école faisait de nos enfants les descendants de Richelieu et de Molière. Aujourd’hui, on fait tout pour qu’ils soient orphelins. L’héritage historique est remplacé par un héritage traumatique, le lien relié au passé n’est plus chronologique mais psychologique, les récits ne sont plus destinés à cultiver une flamme patriotique mais à entretenir des pleurnicheries victimaires devant une histoire devenue un repoussoir. Résultat : « Nos écoles fabriquent des individus qui ne sont plus en mesure d’entrer en résonance avec le pays où ils sont nés ». Pour Ghali, l’un des instruments de cette dépossession est l’écriture inclusive qui, sous couvert de lutter contre les discriminations sexuelles et sexistes, détricote, en réalité, le fil conducteur qui reliait le présent vécu à la littérature du passé. Bien sûr, Ghali aurait pu également évoquer la politique du « pas de vague » et la culture de l’excuse à l’Education nationale et notamment de son ministre Pap Ndiaye face à l’accroissement des incivilités et actes de violence et la poussée des revendications religieuses. Mais cette crise de l’école mériterait un essai entier, tant les maux sont nombreux. Au détour de ces pages crépusculaires, on lit que « renoncer à son identité, c’est renoncer à exister ». Si l’identité de la France est bien son premier atout pour enrayer notre déclin collectif, quand notre pays se réveillera-t-il pour sauver ce qui lui reste ? Le vent de la révolte viendra-t-il de ces gens ordinaires, peuplant la France périphérique, si bien identifiés et analysés par le géographe Christophe Guilly quand ils en auront assez d’être dépossédés, par les effets conjugués de la gentrification et de l’immigration de masse, de leur ville, de leur littoral, de leur statut de référent culturel et de subir de plein fouet les choix politiques idéologiques qui ont mené à la crise énergétique actuelle ? Dans les pas de Georges Pompidou, ce seront peut-être ces dépossédés qui s’opposeront, à leur tour, au grand remplacement des platanes par des champs d’éoliennes… ¦ [ Signé : Blanche De Mérimée le 12 janvier 2023 ] P.S. : Salon Beige, qui êtes-vous ? Nous sommes quelques laïcs catholiques, dans la tranche d'âges 30-50 ans. Ce qui nous unit, c'est notre Foi catholique et notre désir, au fil de l'actualité, de réfléchir à voix haute sur la façon de l'appliquer dans la société actuelle. 2ème P.S.: Causeur : Venez-nous voir, il ne vous sera fait aucun mal. Visitez le site, achetez ou abonnez-vous au magazine, faites-le connaître à vos amis et à vos ennemis. Vous risquez de vous énerver, pas de vous ennuyer. ( Elisabeth Lévy directrice de la rédaction )
Effaré il ne comprend pas ce qu’il voit !
5/5 https://www.breizh-info.com/
.----. Driss Ghali : « Les Français de souche ne veulent plus la continuation de la France » [Interview]« Français, ouvrez-les yeux ! Une radiographie de la France par un immigré » est le titre du livre de Driss Ghali, marocain, musulman, et absolument pas pratiquant de la langue de bois. Un livre paru chez l’Artilleur. Aujourd’hui, à chaque fois qu’il revient dans l’hexagone, il est effaré et ne comprend pas ce qu’il voit. Comment le Peuple français accepte-t-il l’américanisation aussi vulgaire de sa culture, l’ensauvagement de ses manières et une présence de l’Islam toujours plus affirmée ? Il ne s’agit pas ici d’un énième livre sur le déclin de la France, vieille névrose qui resurgit régulièrement. Non, ce que l’auteur interroge, ce sont les raisons qui expliquent que l’abaissement du pays puisse être ainsi accepté par les Français. Pourquoi reconduisent-ils scrutin après scrutin, des responsables politiques qui organisent leur disparition, aux ordres de l’Union européenne et par le biais de l’immigration de peuplement ? Pour Driss Ghali, il y a quelques explications. Elles sont douloureuses à accepter mais peut-être pourront-elles en aider certains à ouvrir enfin les yeux. Diplômé en sciences politiques, écrivain, Driss Ghali est spécialiste des relations internationales et intervient dans de nombreux médias. Nous l’avons interrogé pour discuter de ce livre particulièrement intéressant, une gifle que les autochtones de ce pays mériteraient de prendre en plein visage pour se réveiller de la dormition dans laquelle ils sont plongés depuis maintenant trop longtemps. Breizh-info.com : Pouvez-vous vous présenter à nos lecteurs ? Driss Ghali : Je suis né et j’ai grandi au Maroc, j’ai fait mes études supérieures en France où j’ai réalisé une bonne partie de ma carrière professionnelle. J’ai eu la chance de côtoyer le peuple français dans toutes ses composantes, des ouvriers aux diplômés de Polytechnique. J’ai donc appris à le connaître intimement et à aimer ses atouts et ses travers. Ma formation et mon parcours professionnel n’ont rien à voir avec la politique ou la sociologie, je suis diplômé de l’EDHEC et de Centrale Paris, et suis spécialiste en internationalisation des entreprises. D’ailleurs, je vis au Brésil depuis dix ans. Mais, ce que mes yeux voient à chaque fois que je mets les pieds en France, sortirait même un mort de son mutisme ! Breizh-info.com : N’est-ce pas tout de même fou qu’il faille que ce soit un marocain, musulman, comme vous l’êtes, pour mettre les pieds dans le plat et évoquer l’effondrement progressif de la France ? Driss Ghali : La France appartient au monde entier, je veux dire que l’idée de la France, sa civilisation, son charme et son savoir-vivre inégalables sont un patrimoine de l’humanité. Il est donc normal qu’un Marocain musulman se sente concerné par la destruction en cours de la France. Vous parlez d’effondrement, moi je parle de métamorphose, car l’effondrement appelle la reconstruction tandis que la métamorphose est irréversible. Un homme qui subit une transition de genre ne peut pas revenir en arrière et récupérer les organes amputés… Par ailleurs, je constate que mes amis Français de souche se taisent souvent alors que leur maison brûle. Ils préfèrent s’inquiéter pour le climat alors qu’ils doivent défendre à la fois leur pays et leur planète. Ils se réfugient dans des causes faciles au lieu de s’emparer de la cause de leur famille, de leurs enfants et de leur survie : la défense de leur patrie. Breizh-info.com : Vous notez trois couches successives de l’effondrement, depuis la révolution française jusqu’à aujourd’hui, en passant par Mai 68. Expliquez-nous ? Driss Ghali : 1789 a expulsé Dieu de la vie politique. 1968 a chassé la notion de Devoir de l’imaginaire collectif au profit de la notion de Plaisir. La révolution en cours, la troisième révolution française donc, va faire la peau à la France tout simplement. Elle fabrique un homme nouveau qui est un étranger chez lui, irréversiblement étranger au pays qu’il habite et dont il arbore les papiers d’identité. Il est soit musulman ou africain et refuse de couper le lien avec sa civilisation d’origine, soit un Français de souche déraciné et acculturé. Il ne sent pas responsable du sort de son pays, il consomme et il le consomme en réalité comme on boit du coca cola dans un gobelet jetable. Pire, il est tiers-mondisé et fier de l’être, dans le sens où il ne ressent aucune honte à être gouverné par des cancres et des corrompus, et il ne se révolte pas quand l’Etat démantèle l’école et l’hôpital, il se contente de recevoir des « chèques énergies » et des « allocations ». La preuve : il a tendance à reconduire les majorités qui ruinent son pays et ne cachent même pas leur haine de la France qu’elles veulent remplacer par une lointaine Europe dont les contours évoquent plus un restaurant à kebab que la cour impériale de Vienne… Breizh-info.com : Vous n’êtes toutefois pas le seul à être effaré de la situation politique en France. Certains, comme Jean-Marie Le Pen pour ne citer que lui, avaient pourtant annoncé depuis des décennies cet effondrement. Pourquoi n’ont-ils pas été écoutés selon vous ? Driss Ghali : Vous savez Jésus a été crucifié. Et par les siens en plus. Le prophète Mahomet a été expulsé de sa ville, La Mecque, par sa tribu. Certaines vérités sont juste insupportables à l’establishment qui profite de la décadence et aux peuples qui préfèrent souvent la servitude à la liberté. Et entre nous, je ne crois pas que le système démocratique permette à des visionnaires de prendre le pouvoir, pour les raisons que je viens de citer. De Gaulle, lui-même, est arrivé au pouvoir par effraction en 1958. Je tiens à préciser que ma thèse n’est pas celle de Jean-Marie Le Pen, je crois que les Français de souche comme les immigrés sont les grandes victimes de la révolution en cours, car la disparition de la France ruinera leurs vies qu’ils se nomment Gérard ou Mustafa. Il est certain qu’il faut arrêter l’immigration, mais le mal est beaucoup plus profond que l’islamisation et l’ensauvagement résultant de l’immigration : les Français de souche ne veulent plus la continuation de la France. C’est ça le coup de grâce à l’idée française. Si on laisse faire, la France sortira de l’histoire et deviendra une sorte de Catalogne ou de Pays Basque, un « souvenir » fossilisé et englouti par un ensemble politique qui le comprime en permanence. Vous n’avez rien fait au Bon Dieu pour mériter un tel sort, demandez aux Catalans et aux Basques s’il est agréable de vivre dans une maison qui n’est pas la leur : l’Espagne. Breizh-info.com : Comment pensez-vous que ce pays, et surtout ses habitants puissent sortir de l’ère du médiocre et de la destruction dans lequel ils se sont plongés ? Ce renoncement à la puissance peut-il être retrouvé dans une période où ceux qui dirigent sont influencés à la fois par la victimisation permanente et le wokisme ? Driss Ghali : Nos dirigeants ne sont influencés par rien du tout à part leur nombril. Pour qu’ils adhèrent à une idée, il faut qu’elle garantisse leur rente de situation. Vous remarquerez qu’aucun indigéniste ne propose le renouvellement des élites françaises ni une hausse du SMIC. De même qu’aucun militant LGBT n’exige la punition des responsables politiques impliqués dans le scandale Alstom. Macron et la caste qu’il dirige se laissent influencer par le wokisme car il leur offre une idéologie sur mesure pour une élite décadente et incompétente : il s’agit d’accuser avant d’être accusé (d’où la culpabilisation permanente du Français de souche pour racisme etc.), il s’agit de faire diversion en permanence (d’où l’hystérie climatique et le délire covid), il s’agit de diviser les masses populaires pour les affaiblir (d’où le multiculturalisme). Vous me demandez comme sortir de l’ornière. Eh bien faisons confiance à l’Histoire. Je crois qu’une crise structurelle va croiser notre chemin bientôt, elle fera éclater en morceaux le voile qui masque les yeux et les consciences du peuple. Quand le frigo sera vide, les apathiques et les soutiens du régime au sein des classes moyennes changeront soudain d’idéologie. A ce moment-là, le renouvellement des élites sera possible et vous verrez des nouvelles têtes prendre le pouvoir. Et plus personne n’osera les traiter de complotistes ou de fascistes car tout le monde sera pressé de voir le changement advenir. Or, aujourd’hui, personne n’est pressé de sauver la France, car « la soupe est bonne » à tous les étages de la société. Breizh-info.com : Quel regard porte le marocain que vous êtes sur le comportement des maghrébins en France et en Europe ? Comment expliquez-vous que les autorités françaises n’aient de cesse de se prosterner devant les autorités algériennes et de s’excuser, excitant ainsi les masses présentes sur notre territoire ? Driss Ghali : Le comportement des immigrés en France est influencé par leur civilisation d’origine. Quand ils viennent de civilisations où la courtoisie et le travail sont des valeurs suprêmes, tout va bien : Vietnamiens, Chinois etc. Quand ils viennent de civilisations de commerçants où l’adaptabilité est une valeur cardinale, tout va bien aussi : les Libanais, les Syriens, les Arméniens… Quand ils viennent de civilisations tribales et féodales qui ne promeuvent pas le travail, l’instruction et le civisme, ça se passe mal : Afrique du Nord, Afrique subsaharienne… Au sein d’une tribu, la productivité est le dernier des soucis, il suffit de razzier les voisins ou de mener une campagne de piraterie (ou un jihad) afin de capter la valeur ajoutée que l’on ne sait pas produire localement. Parfois, on dispose d’esclaves à la maison ou aux champs. Autrement dit, le travail est mal-vu, il est associé aux faibles et aux soumis, les forts et les riches font la guerre et ont des esclaves qui travaillent pour eux. Conséquence : inutile de s’instruire puisqu’il n’est pas question d’améliorer les méthodes de production. En revanche, on exige de l’individu qu’il se batte avec hargne et cruauté pour défendre les siens. On attend de lui qu’il considère les autres comme des « sous-hommes », tout juste bons à le servir ou à déguerpir. Et c’est pour cela qu’il faut absolument respecter, encourager et célébrer les dizaines de milliers d’immigrés arabes et africains qui rompent cette prédestination. Ils conjurent le sort fixé par leur civilisation d’origine, c’est un petit exploit qui mérite d’être apprécié à sa juste valeur. Je connais des Algériens et des Tchadiens qui sont plus utiles à la France que plusieurs de mes amis Français de souche, mais malheureusement la télévision française tend le micro aux égarés qui chantent « nique la France ». La question de l’Algérie est différente. Vos dirigeants ne s’excusent pas parce qu’ils croient que la France est coupable de crimes en Algérie. Ils ne savent même pas ce qui s’est passé en Algérie entre 1954 et 1962. Ils s’excusent en permanence pour casser le moral du peuple de souche qui ressent vaguement qu’il est mal gouverné mais qui n’ose pas se rebeller, car après tout quand on est un « nazi » en puissance, on doit souffrir en silence. Breizh-info.com : Vous évoquez la possibilité d’une guerre civile demain. Mais sous quelle forme ? Quelles en seraient les conséquences ? Driss Ghali : La paix civile n’existe plus. C’est un fait indéniable. Chaque jour, il y a 120 attaques à l’arme blanche. Est-ce qu’un pays où on lynche le chauffeur d’un bus (Bayonne) ou où on enfonce le crâne d’un journaliste (Reims) est un pays en paix ? Assurément que non. La guerre existe, elle est juste minimisée par la propagande officielle. Elle est également atténuée par les exploits du SAMU et de la médecine d’urgence qui sauvent les vies des personnes gravement blessées qui dans d’autres pays seraient mortes sur le coup. Nous sommes dans une sorte de guerre civile de basse intensité. Breizh-info.com : Allons-nous évoluer vers une guerre civile de haute intensité comme l’a connue le Liban par le passé ? Driss Ghali : Tout dépend du degré de lâcheté des classes moyennes, c’est-à-dire de la base électorale du régime : soit elles se couchent et le statu quo est maintenu, soit elles se rebiffent et la guerre civile de haute intensité aura toutes les chances d’éclater. Se coucher signifie admettre la partition du pays et payer un tribut aux habitants et aux dirigeants des zones séparées sous la forme d’allocations sociales inconditionnelles et d’une « aide au développement ». Breizh-info.com: « Quand la France s’éveillera, le monde tremblera » dites-vous. N’est-ce pas déjà bcp trop tard pour espérer un quelconque réveil alors que, d’une certaine façon, la République française porte dans ses germes, dans son ADN, les maux qui l’ont menée là où elle est aujourd’hui ? Driss Ghali : Il n’y a pas que la République Française dans la place, il y a le peuple français qui n’est pas encore mort. Il est bien là, il est bien vivant, il continue à respirer : c’est un géant enchaîné par une coalition de nains maléfiques qui sautillent sur son torse. Un jour, il se lèvera et tapera du poing sur la table. Votre réveil, s’il y a lieu, sera spectaculaire et brutal. N’oubliez-pas, la France est le pays des révolutions « bêtes » et méchantes. Vous avez trucidé le Roi et sa femme pour rien : ils avaient tout cédé ! Vous avez démantelé la Bastille à mains nues pour rien : elle était vide ! Vous avez massacré les Vendéens pour rien : ils étaient incapables de prendre Paris ! Donc, il ne faut pas sous-estimer la possibilité d’un sursaut français. Il est dommage qu’on en arrive à le souhaiter car il sera tout sauf élégant et sophistiqué… Ne vous inquiétez pas de la République Française, elle est déjà morte. Elle a été abattue par les frères Kouachi le 7 janvier 2015 lorsqu’ils ont achevé le policier Ahmed Merabet après que celui-ci a supplié pour sa vie. Elle a été tuée une nouvelle fois le 16 octobre 2020 lorsqu’un tchétchène a décapité le professeur Samuel Paty devant son collège. Un régime meurt quand ses symboles sont profanés. Ne vous inquiétez pas de la République Française, un cadavre ne peut rien à part pourrir l’atmosphère par l’odeur de sa décomposition. En parlant de décomposition, avez-vous vu la cérémonie des Césars 2021 où une actrice s’est exhibée couverte de tampons périodiques ? [ Propos recueillis par YV le 17 janvier 2023 ] P.S. : BREIZH-INFO est un webmédia quotidien défendant une ligne éditoriale indépendante. Ancré en Bretagne, il est un média généraliste proposant une actualité locale, régionale, nationale et internationale. Il propose également des sujets autour des loisirs, de la culture, du sport ou encore de la santé et des sciences.
Déclin évident de la France !
5/5 https://www.lesalonbeige.fr/
.----. Driss Ghali, diplômé en sciences politiques, écrivain, est marocain et musulman. Il a fait ses études en France et y a commencé sa vie professionnelle. Il vient de publier un appel aux Français, pour qu’ils ouvrent les yeux. Cette “radiographie de la France par un immigré” témoigne de l’incompréhension face à l’américanisation de la culture française, l’ensauvagement de notre pays et l’islamisation galopante. Au-delà du déclin évident de la France, l’auteur s’interroge sur les raisons qui expliquent le renoncement du peuple de France à être français, à accepter sans broncher l’abaissement du pays en reconduisant, scrutin après scrutin, des responsables politiques corrompus, incapables voire anti-français, qui organisent notre disparition, aux ordres de l’Union européenne et par le biais de l’immigration de peuplement. Bon connaisseur de l’islam, il souligne que notre souveraineté est grappillée de toute part, à la fois par les institutions supra-nationales, mais aussi, localement : Plus la souveraineté française recule en banlieue, plus nous dépendons de gouvernements étrangers pour notre protection. Aujourd’hui, on les appelle pour notre protection. Demain, ils nous proposeront peut-être un “protectorat” en bonne et due forme ou bien une sorte de condominium, c’est-à-dire de pouvoir partagé, sur les zones les plus agitées. Demain peut-être, des policiers maghrébins assureront l’ordre à La Duchère et aux alentours du Stade de France ; des policiers turcs infiltreront les Loups Gris pour notre compte à Strasbourg et à Colmar ; et qui sait des fonctionnaires égyptiens et saoudiens piloteront depuis la Place Beauvau une “section des affaires islamiques”, chargée de neutraliser les salafistes. [ Proposé Par Michel Janva le 18 février 2023 ] P.S. : Salon Beige, qui êtes-vous ? Nous sommes quelques laïcs catholiques, dans la tranche d'âges 30-50 ans. Ce qui nous unit, c'est notre Foi catholique et notre désir, au fil de l'actualité, de réfléchir à voix haute sur la façon de l'appliquer dans la société actuelle.P.S. : Salon Beige, qui êtes-vous ?