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5/5 Jean Saumur (49)
--Ne quittez pas cette page sans cliquer, en haut, sur le nom d'auteur et sans lire ainsi les présentations faites dans la même revue de la série des "Littératures à l'emporte-pièce"
XXe siècle.
5/5 Revue des cercles d'études d'Angers
.----. nous arrivons au XXe siècle avec Peguy, à propos des ouvrages de Roger Secrétain et Bernard Guyon :" Péguy, soldat de la vérité", "Péguy aujourd'hui" et "Péguy devant Dieu": une douzaine de pages.----....---...--..-. Un clin d’œil au romancier délaissé, Anatole France, et M. Jacques Vier retrouve deux amis, qui se sont déchirés, Charles Maurras et Georges Bernanos. Les pages qu'il leur consacre sont émouvantes et elles ouvrent un aperçu sur l'état présent des études bernanosiennes.----....---...--..-. L'auteur termine son ouvrage sur la "Nadja" d'André Breton et un éreintement de l'accusateur perpétuel, Henri Guillemin. Il ne considère ni l'un ni l'autre comme des figures de proue.----....---...--..-. Dans ces diverses études, nous retrouvons le style "à l'emporte-pièce" de M. Jacques Vier, dont les jugements, marqués au coin du bon sens, s'ornent d'images et de comparaisons souvent originales et inattendues. C'est ce qui fait le charme de sa critique ; même si l'on croyait devoir la contester, on conviendrait qu'elle se présente en toute santé littéraire et qu'elle provoque son lecteur à la réflexion. ( numéro 2, novembre 1978 ).
XIXe siecle
5/5 Revue des cercles d'études d'Angers
.----. Au XIXe siècle, voici Lamennais, dont Louis Le Guillou publie la "Correspondance Générale", cinq volumes parus en 1974, après une étude sur " L'évolution de la pensée religieuse de Félicité de Lamennais" et un "Lamennais" dans la collection " Les écrivains devant Dieu", ce qui permet à Jacques Vier de consacrer trente-deux pages serrées et percutantes à ce prêtre tourmenté par la cause de l'Eglise.----....---...--..-. Il en vient ensuite à la correspondance de Sainte-Beuve, publiée par Jean Bonnerot et il consacre encore trente-deux pages à ce critique avisé qui s'était cru poète et qui ne connut guère d'autres tourments que ceux de sa propre personne.----....---...--..-. C'est sa pâle poésie qui ouvre la route à Baudelaire. Le vrai poète s'est d'abord ravitaillé chez Joseph Delorme, mais sur cette herbe des grands chemins, il a jeté ses fleurs d'abîmes. Le premier qui s'en aperçut fut un critique lyonnais, Armand Fraisse, que Claude et Vincenette Pichois viennent de remettre au jour. La correspondance de Baudelaire est aussi présentée par Claude Pichois et Jean Ziegler à la Pléiade. Et voici trente-huit pages de M. Jacques Vier sur Baudelaire. ( suite... ).
XVIIIe siècle.
5/5 Revue des cercles d'études d'Angers
.----. L'auteur présente en plus grand nombre et avec plus de plaisir les figures de proue. Les magots sont rares, et encore M.Jacques Vier laisse-t-il au lecteur le plaisir de deviner quels écrivains il voue à la brocante.----....---...--..-. Cet ouvrage est un recueil d'articles parus à l'occasion dans des revues ou des journaux, mais toujours actuels. Il commence par J.-J. Rousseau, à propos de l'ouvrage de Bernard Fay : "Jean-Jacques Rousseau ou le rêve de la vie", paru en 1974. Il continue par Marie-Joseph Chénier, que l'actualité d'un colloque tenu à Clermont-Ferrand sur la Fête révolutionnaire remettait en mémoire. Ce sera tout pour le XVIIIe siècle. ( suite... ).