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Ferveur religieuse pendant la Grande Guerre

Référence : 104669
2 avis
Date de parution : 29 janvier 2016
EAN 13 : 9782372710312
Nb de pages : 190
19.00
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Description
Sollicité pour animer des conférences dans le cadre du centenaire de la Grande Guerre, l'auteur réunit dans cet ouvrage quelques aspects marquants de la religion catholique pendant le conflit, comme l'engagement massif des clercs, la piété du front à l'arrière et les tentatives de paix du souverain pontife. Il s'arrête également sur l'ambiguïté de la "religion patriotique" proposée par l'État, liée à son anticléricalisme latent.
Les nombreuses citations de soldats, de prêtres, d'hommes politiques et d'historiens incitent le lecteur à faire un parallèle entre les conditions de la pratique religieuse au début du XXe siècle et celles, tout aussi radicales, vécues aujourd'hui.  

Philippe Pasteau, connaissant bien les milieux militaires et catholiques, mène des activités pédagogiques avec l'université, des établissements scolaires et des collectivités territoriales, tout en animant une chronique historique sur une radio locale.
Il a déjà écrit sur la Première Guerre mondiale, sur l'artillerie d'Ancien Régime et sur le camp militaire de La Valbonne
.
TitreFerveur religieuse pendant la Grande Guerre
Auteur PASTEAU (Philippe)
ÉditeurVIA ROMANA (EDITIONS)
Date de parution29 janvier 2016
Nb de pages190
EAN 139782372710312
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)15
Largeur (en mm)135
Hauteur (en mm)205
Poids (en Kg)0.25
Critique du libraire
Préface de Mgr Luc Ravel, évêque aux Armées. Quelques aspects de la religion catholique pendant le conflit : l'engagement des clercs, la piété au front, les tentatives de paix du souverain pontife.
Les avis clients
Faire son devoir !
5/5 La Voix du Combattant.
.----. Cherchant à développer le lien armée-Nation dans ses garnison successives, le Lieutenant-Colonel Pasteau mène des activités pédagogiques avec l'université, des établissements scolaires et des collectivités territoriales, tout en animant une chronique historique hebdomadaire sur une radio tourangelle. En évoquant la Première Guerre Mondiale, il a souvent mis en avant le courage et la discipline qui animer les combattants jusqu'à la victoire. Il semble alors intéressant de comprendre comment les soldats, mais aussi les familles à l'arrière, ont tenu face à l'ennemi et les difficultés matérielles, pendant 51 mois, dans des conditions qui dépassent l'entendement. L'ouvrage essaye de montrer comment, par leur abnégation et leur courage, les aumôniers militaires, les religieux et les autorités diocésaines ont soutenu les unités au front, les familles dans la détresse et les populations en zone occupée, afin de permettre à chacun de faire son devoir au service de l'État. Enfin, dans le cadre d'un anticléricalisme politique latent, une approche peu connue expose le tiraillement des Français entre les messages de paix adressés par le souverain Pontife et le discours politique revendiquant une religion patriotique au service du gouvernement. [ La Voix du Combattant, n°1822, février 2017 ]
À découvrir
5/5 Introïbo, n°175, janvier-mars 2017
En 1914, 90% des Français étaient encore baptisés, bien que l'anticléricalisme du gouvernement commençât à éloigner le peuple de l'Église. Le dévouement et l'héroïsme des clercs et des religieuses permirent à bon nombre de combattants de comprendre qu'ils avaient été trompés et de renouer avec la Foi de leur enfance. Ce n'était pas du goût des membres de la République laïque. Tout en manoeuvrant les catholiques « en utilisant à dessein des expressions ambigües mélangeant le patriotisme et la pratique religieuse », du type « la dette sacrée », « l'autel de la patrie », les dirigeants ne cessent de favoriser les calomnies contre l'Église. La guerre à peine terminée, le gouvernement veut à nouveau expulser les religieux, soulevant alors une levée de boucliers. Grâce aux actions de la DRAC, de l'U.N.C. et à la résolution des catholiques, la loi d'expulsion ne sera pas mise en application et l'État français « lèvera l'opprobre sur les congrégations » en 1940. Puisse la lecture de cet ouvrage révéler ce que l'Éducation Nationale veut occulter : la grandeur de la France chrétienne.