Eugénie la dernière impératrice
Référence : 18825
Date de parution : 14 janvier 1997
Éditeur : PERRIN (EDITIONS)
EAN 13 : 9782262007072
Nb de pages : 620
24.00 €
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Description
Le 11 juillet 1920, à 94 ans, disparaissait l'impératrice Eugénie, dernière souveraine des Français, à la fin d'une vie qui ne l'avait pas épargnée. Elle fut accusée d'avoir provoqué le désastre de 1870 ; taxée de frivolité à l'instar de Marie-Antoinette ; soupçonnée de frigidité, si bien que Napoléon III dut chercher satisfaction ailleurs. Ainsi l'Impératrice, poupée de la fête impériale, était coupable de tout.
En réalité, qui était-elle ? Née en 1826 à Grenade d'un père ouvertement acquis aux idées napoléoniennes, elle a, petite fille, sauté sur les genoux de Stendhal et écouté les fascinantes histoires de Mérimée. Sportive et fière, elle enflamme, presque par hasard, le séducteur Napoléon III. Brillant symbole du Second Empire,
Eugénie ne se contente pas de préserver les apparences face aux liaisons tapageuses de l'Empereur. Nommée régente après la naissance de son fils, en 1856, elle s'initie à la politique. La chute du Second Empire et l'exil en Angleterre marquent le début d'une existence modeste, mais non sans grandeur. Après la mort de Napoléon III, en 1873, Eugénie reporte son amour et ses espoirs sur le Prince impérial, qui meurt en 1879, transpercé par les sagaies des Zoulous. Alors commence une longue expiation. Pendant quarante années, Eugénie, veuve respectée et mère accablée, parcourt l'Europe dans une inépuisable nostalgie.
Dans ce livre où Jean des Cars apporte de nombreuses révélations, Eugénie est aussi l'impératrice d'une infinie générosité, la pionnière du féminisme, la complice de l'unité italienne, la lectrice favorable à Flaubert, la passionnée de spiritisme, l'épouse heureuse à Biarritz, la femme éclairée qui encourage Pasteur. Voici le portrait vivant d'une grande dame, parfois maladroite mais toujours digne et d'un courage unanimement reconnu.
En réalité, qui était-elle ? Née en 1826 à Grenade d'un père ouvertement acquis aux idées napoléoniennes, elle a, petite fille, sauté sur les genoux de Stendhal et écouté les fascinantes histoires de Mérimée. Sportive et fière, elle enflamme, presque par hasard, le séducteur Napoléon III. Brillant symbole du Second Empire,
Eugénie ne se contente pas de préserver les apparences face aux liaisons tapageuses de l'Empereur. Nommée régente après la naissance de son fils, en 1856, elle s'initie à la politique. La chute du Second Empire et l'exil en Angleterre marquent le début d'une existence modeste, mais non sans grandeur. Après la mort de Napoléon III, en 1873, Eugénie reporte son amour et ses espoirs sur le Prince impérial, qui meurt en 1879, transpercé par les sagaies des Zoulous. Alors commence une longue expiation. Pendant quarante années, Eugénie, veuve respectée et mère accablée, parcourt l'Europe dans une inépuisable nostalgie.
Dans ce livre où Jean des Cars apporte de nombreuses révélations, Eugénie est aussi l'impératrice d'une infinie générosité, la pionnière du féminisme, la complice de l'unité italienne, la lectrice favorable à Flaubert, la passionnée de spiritisme, l'épouse heureuse à Biarritz, la femme éclairée qui encourage Pasteur. Voici le portrait vivant d'une grande dame, parfois maladroite mais toujours digne et d'un courage unanimement reconnu.
Titre | Eugénie la dernière impératrice |
Auteur | CARS (Jean des) |
Éditeur | PERRIN (EDITIONS) |
Date de parution | 14 janvier 1997 |
Nb de pages | 620 |
EAN 13 | 9782262007072 |
Présentation | Broché |
Épaisseur (en mm) | 43 |
Largeur (en mm) | 160 |
Hauteur (en mm) | 248 |
Poids (en Kg) | 0.80 |
Biographie
Jean des CARS (1943 - ) Jean Marie de Pérusse des Cars, dit Jean des Cars, est né le 24 avril 1943 dans le 12è arrondissement de Paris. Voir plus