Courageux et talentueux !
5/5 Reconquête .
.----. Notre ami Pierre Cassen est un dirigeant courageux et talentueux du mouvement " Riposte laïque ", principalement axé sur la lutte contre l'islamisation de la France .
Faut-il préciser que nous ne sommes pas d'accord avec cet extraordinaire personnage, passé du syndicat di livre de la CGT et du militantisme communiste puis gauchiste à un combat somme toute moins conformiste et même moins douillet ?. Nous n'avons donc pas tout à fait la même conception de la laïcité. La sienne est de conception récente, elle remonte à la Révolution, la nôtre à l'Evangile ( "Rendez à César... ."). Et ni hélas sur la question fondamentale du respect de la vie innocente, ne désespérant pas que Pierre Cassen puisse évoluer. Ne lui en déplaise, à la volonté de Dieu ! Mais je ne dirais pas " Inch Allah ! ".
Toujours est-il qu'il est plaisant et heureux de lire que cet ancien " bolcho " signera ses livres lors de prochaines " journées chouannes " des éditions de Chiré.
Et notamment, son dernier livre est excellent !
D'abord parce qu'il est plein d'esprit, plein d'humour et qu'avec cet humour, Pierre ne pouvait définitivement demeurer dans cette gauche idéologique et mortifère où l'on est si souvent compassé.
Les lecteurs de " Et la gauche devint la putain de l'islam " se régaleront donc à lire notamment les portraits, agrémentés de superbes caricatures des principaux collabos, de l'islamisation de la France.
Et sous des titres bien trouvés !
Ainsi pour Askolovitch : " Radio Paris ment, Radio Paris est musulman ".
Pour Attali : " L'homme qui confond la France avec un hôtel ".
Pour Besancenot : " Le trotskyste d'Allah " .
Pour Caroline Fourest : " L'opposante préférée de Tariq Ramadan ".
Pour Bernard-Henri Lévy : " Des tartes, des tartes ! ".
Pour Mélenchon : " Bouffeur de curés mais lécheur de babouches ".
Pour Plenel : " L'homme qui rêve d'une France musulmane ".
Pour Marlène Schiappa : " La haine du mâle blanc européen hétérosexuel ".
Pour Michel Tubiana : " Le sergent Garcia de l'antiracisme ".
Mais ce n'est pas tout, le lecteur se délectera aussi à la lecture de la narration des réflexions de Pierre sur son itinéraire personnel et militant. On y découvre avec plaisir l'homme rendu à ses parents " qui n'étaient pas du tout de gauche... ". De belles pages de piété filiale ! [ Reconquête , numéro 353 - décembre 2018 ]
En colère !
5/5 Boulevard Voltaire .
.----. Et la Gauche devint la putain de l’islam. Quel titre ! Il est d’une violence sans aucun doute excessive. Mais le fond est tellement juste. Pierre Cassen est un homme en colère. Et ses colères, comme toutes les saintes colères, se réveillent sur un lit de braises. Brûle-t-il ce qu’il a adoré ? Non ! Il a été longtemps de gauche – et il le raconte dans des pages bien senties – mais c’est la gauche qui l’a quitté, trahi et abandonné. Devenue orpheline du prolétariat disparu, elle l’a remplacé par un produit de substitution : l’Arabe (et en particulier le Palestinien) souffrant. Privée de son idéologie première, le marxisme, elle s’est jetée à corps perdu dans les bras de l’islam, une religion qui fera du passé capitaliste (elle l’espère) table rase.
Défilent dans les pages de Cassen toutes les compromissions de la gauche. Ils sont tous là, les Attali, les Lang, les maires socialistes, les sociologues du boulevard Raspail, les journalistes dévoués et voués à défendre l’islam. Une putain se vend. On achète des voix auprès des imams. On utilise des caïds de banlieue pour qu’ils ramènent quelques suffrages.
Ainsi, on capitule devant l’islam comme Vichy se prosterna devant les Allemands. Le terrorisme ? On s’empresse de dire, dans une incantation répétée, qu’il tue aussi des musulmans. Comme si ces derniers étaient visés en tant que tels alors qu’il meurent par hasard. Des morts à Nice, au Bataclan, à Charlie Hebdo ? On crie aussitôt « Vous n’aurez pas notre haine ».
Car la religion professée et revendiquée par les assassins ne peut en aucun cas être haïssable. Parfois, s’agissant d’une immigration jugée dangereuse, des voix s’élèvent à gauche et à droite pour dire la vérité. En son temps, Mitterrand déclara que, dans certains endroits de France, « le seuil de tolérance était dépassé ». Face à la bronca de son propre camp, il fit rapidement amende honorable.
Sarkozy s’y essaya à son tour. Il installa un ministère de l’Identité nationale et de l’Immigration. Le crime était patent. Ça hurla. Sarkozy tint bon quelque temps. Puis, comme Mitterrand, il capitula, supprimant un ministère dont l’intitulé révoltait les bien-pensants.
Cassen, on l’aura compris, en veut à la gauche. Rien n’est plus douloureux, en effet, qu’une trahison. Mais il en arrive à oublier la droite qui, dans la compétition pro-islamique, ne se tient pas trop mal. Un prochain livre, peut-être ? [ Benoît Rayski
Journaliste et essayiste le 16 septembre 2019 sur Boulevard Voltaire ]