Au sujet de la constitution civile du clergé décrétée par l'Assemblée Nationale.
"Où est donc cette liberté de penser et d'agir que l'Assemblée nationale accorde à l'homme social comme un droit imprescriptible de la nature ? Ce droit chimérique n'est-il pas contraire aux droits du Créateur suprême, à qui nous devons l'existence et tout ce que nous possédons ? [...] Ce qu'on vous demande, Nous dit-on, c'est d'approuver cette division des diocèses décrétée par l'Assemblée nationale... et le principe vicieux d'après lequel des divisions et suppressions ont été ordonnées, n'est-il pas un grand obstacle au consentement que Nous pourrions leur donner ?