Deviens ce que tu es - Léon notre fils 1937 - 1955
Référence : 41838
8 avis
Date de parution : 4 avril 1970
EAN 13 : 9782723315579
Nb de pages : 190
11.00 €
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Description
La biographie de cet adolescent, mort à 18 ans, après six ans de polio, fait irrésistiblement penser au François d'Auguste Valensin.
Un éducateur écrit : "Ils ont de la chance, les jeunes d'aujourd'hui, d'avoir un tel modèle". Un malade affirme : "Ce livre m'a fait plus de bien que tous les encouragements des miens".
"Nul vivant n'est plus vivant pour moi que ce jeune mort : il nous montre que le "vrai visage de l'homme émerge au-dessus des remous de la matière." (Gustave Thihon, Préface.)
"Grâces soient rendues à cet enfant prédestiné et à ceux qui, après avoir veillé de toute leur tendresse sur cette flamme, à présent, très libéralement, nous la communiquent." (Gabriel Marcel, France Catholique)
"Désormais les parents se trouvent dans cette situation paradoxale d'avoir, dans l'enfant disparu, une sorte d'ancêtre, d'inspirateur et d'ange. Et l'on comprend que son père ait le droit d'aimer plus qu'un autre père ce mot mystérieux qu'il me cite : L'enfant est le père de l'homme. (Jean Guitton, Figaro)
Un éducateur écrit : "Ils ont de la chance, les jeunes d'aujourd'hui, d'avoir un tel modèle". Un malade affirme : "Ce livre m'a fait plus de bien que tous les encouragements des miens".
"Nul vivant n'est plus vivant pour moi que ce jeune mort : il nous montre que le "vrai visage de l'homme émerge au-dessus des remous de la matière." (Gustave Thihon, Préface.)
"Grâces soient rendues à cet enfant prédestiné et à ceux qui, après avoir veillé de toute leur tendresse sur cette flamme, à présent, très libéralement, nous la communiquent." (Gabriel Marcel, France Catholique)
"Désormais les parents se trouvent dans cette situation paradoxale d'avoir, dans l'enfant disparu, une sorte d'ancêtre, d'inspirateur et d'ange. Et l'on comprend que son père ait le droit d'aimer plus qu'un autre père ce mot mystérieux qu'il me cite : L'enfant est le père de l'homme. (Jean Guitton, Figaro)
Titre | Deviens ce que tu es - Léon notre fils 1937 - 1955 |
Auteur | DE CORTE (Marcel et Marie) |
Éditeur | NOUVELLES EDITIONS LATINES (NEL EDITIONS) |
Date de parution | 4 avril 1970 |
Nb de pages | 190 |
EAN 13 | 9782723315579 |
Épaisseur (en mm) | 12 |
Largeur (en mm) | 140 |
Hauteur (en mm) | 190 |
Poids (en Kg) | 0.20 |
Biographie
Marcel DE CORTE (1905-1994) Marcel De Corte est né, en Belgique, en 1905 et est décédé en 1994. Voir plus
Critique du libraire
" Léon De Corte ne réaliserait-il pas la prophétie de saint Pie X disant des effets de la communion précoce : "ON VERRA DES SAINTS PARMI LES ENFANTS ? " Pour information : Deviens ce que tu es. Léon, notre fils, 1937-1955. (En collab. avec Marie DE CORTE.) Préf. de Gustave THIBON Paris, Éd. Universitaires, 1956. - Rééd.: Paris, Nouvelles Éditions Latines, 1969.
Les avis clients
Un livre d'une rare intensité !
5/5 Plaisir de Lire .
.----. Vie passionnée et passionnante !
Au fil de ces pages simples et d'une étonnante profondeur, Marcel et Marie De Corte nous font entrer dans la vie de leur fils Léon mort à dix-huit ans .
Sur ce jeune enfant, tout particulièrement doué de qualités d'intelligence et de cœur, la paralysie s'abat comme la foudre, alors qu'il n'a que dix ans . Mais cette terrible épreuve lui ouvre les yeux sur les réalités surnaturelles . Plus que tout autre, il réalise que "l'essentiel est invisible pour les yeux" .
Le lecteur ne peut pas ne pas être saisi, voire même bouleversé par un témoignage aussi percutant : en un paradoxe surprenant, cet être, physiquement condamné, déborde d'une vitalité intellectuelle et spirituelle intarissable . Avide de communion avec les êtres et les choses, il attire par sa joie et son humeur, communique des véritables passions dont il est épris : la musique, le dessin et l'art nouveau .
Une âme transparente, éblouissante, dont le secret ne se trouve qu'en Dieu . Y a-t-il plus bel exemple pour enflammer les cœurs de charité, pour ressusciter notre jeunesse, anémiée, individualiste, en proie à la déprime .
Un livre d'une rare intensité . A méditer plus qu'à lire . Pour tous à partir de 15 ans . (couverture classique - typographie très claire ). [ " Plaisir de Lire " , numéro 64 , juin 1984 ]
Gustave Thibon
5/5 Culture et Lecture des Jeunes .
.----. Nous emprunterons, pour conclure, le dernier passage de la très belle préface de Gustave Thibon : " Je peux rendre ici ce témoignage que Léon a été, au sens le plus plein du mot, un enfant heureux. Un bonheur aussi pur, fleurissant sur une épreuve aussi atroce, prend une valeur d'exemple et d'enseignement : il nous montre que le vrai visage de l'homme émerge au-dessus des remous de la matière et du temps et que, quelles que soient la cruauté et l'absurdité apparentes de notre destin, notre joie et notre salut ne dépendent que de notre amour ".
Assurément, nous ne saurions trop recommander, aux jeunes gens ( à partir de 15 ans ) et aux adultes le devoir qu'ils ont de lire, et relire, méditer et contempler la vie de Léon De Corte pour qui, selon le mot de L. Bloy " TOUT CE QUI ARRIVE EST ADORABLE ". [ Numéro 13 - Grandes Vacances 1970 ]
Citations !
5/5 Culture et Lecture des Jeunes
.----. L'on ne résistera pas, à citer, quelques-unes de ces réflexions qui montrent sa qualité d'érudition esthétique et sa pensée originale : " L'art roman de la belle époque est supérieure à l'art gothique. Il est à la fois très simple et très secret, très proche et très loin de nous (...) L'extraordinaire de l'art roman c'est qu'il ne sépare jamais le naturel du surnaturel. L'enracinement dans la vie quotidienne de l'élan vers la vie éternelle, le sens de l'esprit ". *** " La supériorité des classiques sur les romantiques réside dans la transcendance des sentiments qu'ils expriment avec un ordre parfait ".
Au-delà de ses multiples affections terrestres, c'est d'abord Dieu qu'il a honoré d'un amour et d'une foi dont les " racines étaient dans le Ciel ". *** Ce récit édifiant a valeur de méditation très profonde, réaliste, sur le sens à donner à la vie, laquelle fut, pour lui, une prière. *** C'est aussi le chant et le bonheur d'un jeune garçon qui a terriblement souffert mais est resté toujours joyeux et surement beaucoup plus sérieux et grave que certains adultes ! ( suite ... )
Piété, amour pour ses amis, passion pour l'art !
5/5 Culture et Lecture des Jeunes .
.----. Sa piété, concrète, transparait dans le culte qu'il a pour la famille, les ancêtres disparus et tout ce qui le rattache à la tradition et pour lequel il se sent tellement débiteur.
L'amour qu'il témoigne pour ses amis révèle ce besoin de communication qui le " brûlait " ; l'amitié n'est pas seulement échange mais moyen privilégié de se perfectionner et d'aller à Dieu. " L'amitié n'a pas de prix, parce qu'elle n'a pas de mesure et qu'elle tend vers l'Infini " dira-t-il.
Sa passion pour l'art roman et la musique classique montre à quel degré il vibrait à la Beauté et le culte qu'il lui voua toute sa vie. ( suite ... )
Intensité de vie étonnante !
5/5 Culture et Lecture des Jeunes.
.----. La maladie, si chrétiennement acceptée, élèvera Léon De Corte à un état d'intelligence et de sensibilité vraiment remarquables, car, si le corps est très souffrant, l'esprit " éclate " d'une vitalité extraordinaire qui se traduit par une force d'attention, un effort toujours continu vers les zones supérieures de la connaissance, digne d'un véritable " athlète " de l'esprit.
Léon vit d'une intensité de vie étonnante ; il vibre à tout avec amour et un désir ardent de communion avec les êtres merveilleux dont la Providence l'aura si délicatement entouré. BR>
La souffrance ne l'a pas durci, mais, au contraire, a donné à sa vie des dimensions spirituelles et humaines qui sont la preuve d'une âme d'élite pour qui le temporel n'a de sens que parce qu'il est, d'emblée, installé dans l'éternel.
Que dire de son extraordinaire attention aux autres de sa compréhension, de sa gentillesse extrême et quelle harmonie aussi; dans un être physiquement diminué. ( suite ... )
Admirable livre ...
5/5 Culture et Lecture des Jeunes.
.----. Une analyse de l'admirable livre de Marcel et Marie De Corte donnera forcément une trop pâle réalité de ce qu'est cette histoire vécue, si profondément humaine et si hautement chrétienne.
Une telle plénitude se dégage de ce récit qu'il est difficile de retranscrire, en peu de mots, une aussi exceptionnelle qualité de vie, et la phrase de G. Thibon : " Mourir avant l'âge n'est pas un malheur pour celui qui a su remplir d'éternité ses jours éphémères. Est-ce de vivre ou de durer qui compte le plus " ? prend ici tout son sens.
C'est donc avec une très vive conscience de l'imperfection d'un si bref résumé que l'on essaiera de montrer l'essentiel de ce que fut l'ascension humaine et spirituelle d'un enfant, cruellement atteint à 10 ans d'une poliomyélite. ( suite ... )
Deviens ce que tu es
5/5 Pauline
.----. "Mourir avant l'âge n'est pas un malheur pour celui qui a su REMPLIR D'ETERNITE SES JOURS EPHEMERES"
Voilà le très beau témoignage d'un jeune garçon qui appris à vivre chaque heure de sa courte vie dans la joie et l'abandon total à Dieu, malgré les souffrances dues à sa maladie.
Cette œuvre est un trésor et si la jeunesse actuelle pouvait en prendre de la graine, elle réaliserait mieux ce qu'est cette vie que Dieu nous a donné !
Léon 1937- 1955
5/5 Revue des cercles d'études d'Angers
.----. "Deviens ce que tu es" : titre qu'un nietzscheen traduirait : "Développe tes virtualités, affirme ta volonté de puissance" ; un chrétien : "Développe tes capacités surnaturelles, affirme ton caractère baptismal, réalise ta vocation et ta grâce." De ce titre, le texte de l'ouvrage nous livrera, peu à peu, l'exégèse délicate.
C'est la brève biographie, écrite par son père et sa mère, de Léon De Corte, né à Tillf-les Liège en mars 1957 et mort le 15 octobre 1955...
On dira peut-être : Activité trop dispersée ; nous avons précisément noté l'unité supérieure de cette vie qui par les grandeurs de l'esprit a vaincu les impuissances de la chair et s'est haussé aux grandeurs de charité. On dira encore : "Ce n'est tout de même pas "François" présenté naguère par le Père valensin." Gardons-nous de ces comparaisons injurieuses à ces âmes qui sont également et diversement admirables. "Stella a stella differt a claritate. Chaque étoile a son éclat. " Tous deux ont su remplir d'éternité des jours éphémères. Léon comme François a centré, axé sa vie sur Jésus-Christ et tous deux ont vécu avec une divine intensité moins de vingt ans. "Tout sarment qui porte du fruit, mon Père l'émondera pour qu'il en porte encore plus... Si le grain de blé ne meurt pas..." De Léon De Corte peut-être l'Eglise dira-t-elle un jour : "C'est un saint. " Un saint fait des miracles, Léon n'en a fait aucun... Il a fait ce miracle de se survivre trois ans en captant dans la prière et la communion la grâce de son état, en remontant des faiblesses de la maladie à la progresive et prodigieuse activité de ses cinq dernières années...
Le récit de sa vie continuera son miraculeux apostolat. Léon De Corte ne réaliserait-il pas la prophétie de saint PIE X DISANT DES EFFETS DE LA COMMUNION PRECOCE "ON VERRA DES SAINTS PARMI LES ENFANTS ? " ( numéro 8 mai 1957 ).