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Des profondeurs de nos coeurs

Référence : 112082
6 avis
Date de parution : 15 janvier 2020
Éditeur : FAYARD (EDITIONS)
Collection : DOCUMENTS
EAN 13 : 9782213716947
Nb de pages : 180
18.00
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Description
Les débats qui agitent l'Église depuis plusieurs mois ont convaincu Benoît XVI et le cardinal Robert Sarah qu'ils devaient s'exprimer.
Depuis sa renonciation, en février 2013, la parole du Pape émérite est rare. Il cultive le silence, protégé par les murs du monastère Mater Ecclesiae, dans les jardins du Vatican.
Exceptionnellement, en compagnie du cardinal Sarah, son grand ami, il a décidé d'écrire sur le sujet le plus difficile pour l'Église : l'avenir des prêtres, la juste définition du sacerdoce catholique et le respect du célibat. 
À quatre-vingt-douze ans, Benoît XVI signe un de ses plus grands textes. D'une densité intellectuelle, culturelle et théologique rare, celui-ci remonte aux sources du problème : "Au fondement de la situation grave dans laquelle se trouve aujourd'hui le sacerdoce, écrit-il, on trouve un défaut méthodologique dans la réception de l'Écriture comme Parole de Dieu." 
À son analyse implacable répond le texte du cardinal Robert Sarah. Il apporte son éclairage singulier avec la force, la radicalité et la sagesse qui lui sont propres. Nous y retrouvons le courage de la réflexion de l'un des plus importants prélats de l'Église.
Les deux auteurs se répondent, se complètent et se stimulent. Ils livrent une démonstration parfaite, sans crainte d'ouvrir le débat.
Benoît XVI et le cardinal Robert Sarah ont répondu à l'élan de leurs coeurs. Ce livre fera date. À bien des égards, il est unique. Et, certainement, historique.
TitreDes profondeurs de nos coeurs
Auteur BENOIT XVI , SARAH (Cardinal Robert)
ÉditeurFAYARD (EDITIONS)
Date de parution15 janvier 2020
Nb de pages180
CollectionDOCUMENTS
EAN 139782213716947
PrésentationBroché
Épaisseur (en mm)16
Largeur (en mm)135
Hauteur (en mm)215
Poids (en Kg)0.23
Critique du libraire
" « Malheur à qui se taira. "Malheur à moi si je n'annonce pas l'Evangile !". » Ce n'est ici qu'un aperçu de ce livre qui, pour être bref, est singulièrement dense. "
Les avis clients
Le plus polémique :
5/5 www.belgicatho.be/
.----. Des profondeurs de nos cœurs, Cardinal Robert Sarah (Fayard, 2020, 180 p.) Nous sommes en 2020, en pleine incertitude quant aux conséquences du synode sur l’Amazonie. La rumeur laisse entendre que ce dernier pourrait être l’occasion de remettre en cause le célibat sacerdotal. Le cardinal Sarah décide d’adresser au grand public un grand cri en défense de la vision traditionnelle du prêtre, et ce, avec la collaboration de Benoît XVI. Certains commentateurs perplexes estiment que le pape émérite est sorti de sa réserve en s’associant à la démarche du préfet du Culte Divin. La polémique intense, et la confusion qui s’en est suivie, quant à l’apposition de la signature au bas de l’ouvrage témoigne de la gravité des luttes d’influence au cœur du Vatican. Il n’empêche, les mêmes qui adulaient le pape François pour avoir ouvert le débat sur le célibat sacerdotal furent ceux qui honnir le pape émérite pour y avoir pris part. La Croix n’hésite pas à voir alors en Ratzinger un être « disruptif », voire d’évoquer un « méchant coup dans le dos du Pape François ». L’hebdomadaire La Vie s’inquiète sur le risque « d’un magistère parallèle ». En vérité, indépendamment de la question de la collaboration de Benoît XVI, le cardinal Sarah, n’est pas sorti de son silence mais s’est attaché à nous en livrer le fruit. « Je ne peux pas me taire, ni feindre l’ignorance » invoque l’auteur en citant Saint Augustin. Refuser de garder le silence pour invectiver le Pape François ? Le propos de l’exposé théologique Des profondeurs de nos cœurs ne consistait pas tant à lutter contre Bergoglio qu’à servir l’Eglise. Et par là même justement, d’aider son chef suprême à garder sauf l’un des trésors du christianisme. Et non l’un de ses boulets. [ Signé : Père Danziec sur le site de l'Homme Nouveau et repris par belgicatho ] PS : Belgicatho ? Blog de réinformation proposé par des laïcs catholiques belges.
Identité même de l’Eglise ?
5/5 https://legrandreveil.wordpress.com
.----. Conclusion d'un long article : L’initiative du pape émérite et du cardinal Sarah est à saluer, car elle remet en lumière des fondamentaux doctrinaux essentiels qui démontrent et prouvent que les dispositions introduites dans le synode sur l’Amazonie, et probablement reprises dans l’exhortation post-synodale qui doit sortir, ne touchent pas seulement quelques points organisationnels, mais remettent en cause l’identité même de l’Eglise, sa dimension mystique d’épouse du Christ. C’est désormais quitte ou double. Si la plus haute autorité de l’Eglise publie quand même son exhortation post-synodale en l’état, elle est d’avance démasquée et ses manigances seront visibles au grand jour, démonstration théologique et ecclésiologique à l’appui, avec l’autorité de la seconde plus haute autorité de l’Eglise après le pape régnant. L’enjeu est donc de taille et il va falloir suivre de près les événements -probablement décisifs- qui se succèderont dans les prochaines semaines. Mais, malheureusement, quelle que soit sa bonne volonté, le cardinal Sarah reste un enfant du concile véhiculant toutes les erreurs que cela sous-entend, et nous prouve que le salut ne peut venir de la Rome conciliaire. Seule la Tradition, parce qu’elle a conservé la doctrine juste et vraie et la sainte liturgie, sera capable de nous conduire à la re-naissance de l’Eglise [ Le Grand Réveil Révélations pour la fin des temps le 19 janvier 2020 ]
Importance capitale .
5/5 http://yvesdaoudal.hautetfort.com/
.----. Ce petit livre, qui est effectivement de Benoît XVI et du cardinal Sarah, vaut d’abord pour le lumineux texte du pape émérite. Texte qui lui fut demandé par le cardinal. Et, comme ce texte était d’une importance capitale, et que le cardinal voulait donner la plus large diffusion à ce qui ne dépassait pas la longueur d’un grand article de revue, il paraît clair que le cardinal a décidé d’écrire quelques compléments sur le même sujet, afin d’en faire un livre. Benoît XVI plonge d’emblée à la racine de la question : « Au fondement de la situation grave dans laquelle se trouve aujourd’hui le sacerdoce, on trouve un défaut méthodologique dans la réception de l’Ecriture comme parole de Dieu. » Ici est mis en cause radicalement le dogme exégétique contemporain qui refuse de voir que l’Ancien Testament annonce en figures le Nouveau, et considère l’interprétation allégorique comme une sorte de fantaisie intellectuelle dépourvue de fondement, alors qu’elle est « l’expression d’un passage historique qui correspond à la logique interne du texte ». L’exégèse (d’origine protestante) qui rejetait toute interprétation « pneumatique » du sacerdoce de l’Ancienne Alliance pour comprendre le sacerdoce de la Nouvelle Alliance était tellement forte, dit Benoît XVI, que le concile Vatican II s’est abstenu de traiter la question (y compris dans le décret sur les prêtres), alors qu’il était devenu urgent de traiter de la différence entre les « ministères » et le « sacerdoce ». Ici Benoît XVI fait une première confidence, avouant que lui-même à cette époque a fait une conférence sur le thème du prêtre comme l’homme qui médite la parole et non comme artisan du culte. Il fera plus loin une autre confidence, à propos des deux versets du psaume 15 qui, « avant le concile Vatican II, étaient utilisés durant la cérémonie de tonsure qui marquait l’entrée dans le clergé » : « Le Seigneur est ma part d’héritage et mon calice, ma vie est entre tes mains. La part qui me revient fait mes délices, j’ai même le plus bel héritage. » Il dit qu’il se rappelle qu’il avait longuement médité ces deux versets la veille de sa tonsure et qu’il avait « brusquement compris » ce que le Seigneur attendait de lui : « il voulait disposer entièrement de ma vie et, en même temps, il se confiait entièrement à moi. » Dieu veut disposer entièrement du prêtre, qui ne peut donc pas avoir de famille. C’est ce que Benoît XVI souligne par le commentaire d’un texte du Deutéronome, avant de commenter un passage de la « prière sacerdotale » du Christ dans l’évangile de saint Jean, qu’il avait particulièrement médité la veille de son ordination sacerdotale. Ce texte bref, où l’on retrouve toute la rigueur et vigueur intellectuelle de Joseph Ratzinger, est aussi un texte émouvant où le vieux pape se souvient du jeune clerc. Le texte du cardinal Sarah est intitulé : Aimer jusqu’au bout. Regard ecclésiologique et pastoral sur le célibat sacerdotal. C’est très exactement de quoi il s’agit. Le regard ecclésiologique, c’est essentiellement l’union sponsale du prêtre avec l’Eglise, union qui ne permet pas, en toute rigueur, une autre union sponsale. Les prêtres mariés des Eglises orientales sont une anomalie, une tolérance qui ne rend pas compte intégralement de ce qu’est le sacerdoce. Le cardinal Sarah cite à plusieurs reprises Paul VI, Jean-Paul II… et Benoît XVI. Les principaux arguments de la nécessité du célibat sont ici repris, de façon claire, et avec ces accents de ferveur qui caractérisent Robert Sarah. Le regard pastoral, c’est celui d’un pasteur qui est né dans un milieu qui s’ouvrait à la foi grâce à des missionnaires. On sait que le cardinal Sarah aime revenir sur ce sujet, et la question amazonienne lui permet d’y revenir, comme expert, en quelque sorte, puisqu’il a vécu cette situation de communautés reculées manquant de prêtres. Il montre à quel point ce serait une erreur d’ordonner prêtre un homme marié d’une communauté qui n’est pas affermie dans la foi. La « conclusion des deux auteurs » est un vibrant cri d’amour de l’Eglise, qui se termine par : « Malheur à qui se taira. “Malheur à moi si je n’annonce pas l’Evangile !”. » Ce n’est ici qu’un aperçu de ce livre qui, pour être bref, est singulièrement dense. [ Publié le jeudi 16 janvier 2020 ]
La guerre des papes n'aura pas lieu
5/5 Présent
.----. Sacrés journalistes. Il n'y a qu'eux pour inventer un débat sur un livre que personne n'a encore lu. Ce livre, Des profondeurs de nos coeurs, sorti chez Fayard était à la base co-écrit par le cardinal Sarah et le pape émérite Benoît XVI. Cet ouvrage prend notamment la défense (mais pas seulement) du célibat des prêtres. « Le célibat est indispensable. Je ne peux pas garder le silence », dit Benoît XVI. « La capacité de renoncer au mariage pour se rendre totalement accessible au Seigneur est devenue un critère du ministère sacerdotal », défend-il. Bien que l'ordination d'hommes mariés puisse être très limitée, pour le cardinal Sarah, les conséquences seront lourdes : « Tout affaiblissement du principe du célibat, même limité à une seule région, ne saurait être une exception mais une rupture, une blessure dans la cohérence interne du sacerdoce », expliquait-il au Figaro. Devant la polémique, Benoît XVI a, par le biais de son secrétaire particulier, annoncé qu'il retirait son nom et sa photo de l'ouvrage. Sans toutefois renier être l'auteur de plusieurs dizaines de pages sur le sujet. Mgr Gaenswein affirme que « le pape émérite savait en effet que le cardinal était en train de préparer un livre, et il lui avait envoyé un bref texte sur le sacerdoce en l'autorisant à en faire l'usage qu'il voulait. Mais il n'avait approuvé aucun projet pour un livre à double signature, ni n'avait vu et autorisé la couverture. Il s'agit d'un malentendu, sans mettre en doute la bonne foi du cardinal Sarah ». Evidemment, les observateurs avisés ont, avec la prudence, la nuance et la réserve que l'on serait tenté d'observer pour un pareil cas, monté l'affaire en épingle à cheveux en parlant de « divorce » entre les deux pontifes. Certains adorateurs du pape François ont par ailleurs insinué que Benoît XVI aurait été « instrumentalisé en raison de son âge avancé ». D'autres plus critiques envers le pontife argentin ont sauté sur l'occasion pour pourfendre l'évêque de Rome en s'emparant de Benoît XVI comme improbable fer de lance d'une sorte de croisade contre ce pape qui participerait à l'effondrement de l'Europe avec sa politique pro-migrant. Comme dans tout débat concernant l'Eglise, tout le monde a un peu raison donc tout le monde a tort. D'un côté, les vaticanistes progressistes, les observateurs modernistes et plus globalement ceux qui ne connaissent pas l'Eglise, qui y voient une sorte de guerre interne opposant les partisans du pape François et ceux de Benoît XVI dans une épique guerre des anciens contre les modernes avec à la clef un schisme possible. De l'autre, il y aurait le camp des traditionnalistes qui ne manqueraient pas une occasion de casser du sucre sur le dos de ce pauvre pape François, oubliant qu'il est allé beaucoup plus loin que son prédécesseur dans le rapprochement avec la Fraternité Saint-Pie X notamment. « Beaucoup disent connaître le pape François alors qu'en réalité ils n'ont lu de lui que les cinquante premières pages de Laudato Si » soupire une journaliste passée par France Télévisions et la presse catholique. Et, sur le célibat des prêtres, François a toujours dit qu'il était favorable à son maintien. Mais cette disposition n'est pas un dogme et il n'est pas interdit d'en débattre. Comme dans tout sujet ecclésial, la prudence est de mise. Cette polémique est née d'un livre que personne n'a lu parce que chacun y voyait l'incarnation de ses fantasmes. Maintenant que les poches à venin se sont vidées, peut-être pourrions-nous laisser la raison et le coeur prendre le relais ? <p align="right">Etienne Defay dans Présent n° 9532 du 16 janvier 2020 <a href= http://www.present.fr/ target=_blank>www.present.fr</a>
Contre l’ordination sacerdotale d’hommes mariés
5/5 Le Salon beige
.----. Le pape émérite prend fermement position contre l’ordination sacerdotale d’hommes mariés, dans un livre cosigné avec le cardinal Sarah, dont Le Figaro dévoile certains passages. Il est urgent, nécessaire, que tous, évêques, prêtres et laïcs, retrouvent un regard de foi sur l’Église et sur le célibat sacerdotal qui protège son mystère L’ouvrage cosigné par Benoît XVI et le cardinal Sarah sera publié le 15 janvier chez Fayard. Ces derniers mois, alors que le monde résonnait du vacarme créé par un étrange synode des médias qui prenait le pas sur le synode réel, nous nous sommes rencontrés. Nous avons échangé nos idées et nos préoccupations. Nous avons prié et médité dans le silence. Chacune de nos rencontres nous a mutuellement confortés et apaisés. Nos réflexions menées par des voies différentes nous ont conduits à échanger des lettres. La similitude de nos soucis et la convergence de nos conclusions nous ont décidés à mettre le fruit de notre travail et de notre amitié spirituelle à la disposition de tous les fidèles à l’instar de saint Augustin. En effet, comme lui nous pouvons affirmer : «Silere non possum! Je ne peux pas me taire» Le cardinal Robert Sarah, préfet de la Congrégation pour la divine liturgie et la discipline des sacrements, est interrogé dans Le Figaro : Comment qualifier le fait que le pape émérite, Benoît XVI, cosigne avec vous un ouvrage de défense du célibat sacerdotal, suppliant le pape François de ne pas modifier cette règle dans l’Église ? Si ce livre est un cri, il est cri d’amour pour l’Église, le pape, les prêtres et tous les chrétiens. Nous voulons que ce livre soit lu le plus largement possible. La crise que traverse l’Église est saisissante. Le pape émérite s’était pourtant engagé au silence, pourquoi sort-il de sa réserve ? Avec ce livre, le pape émérite Benoît XVI ne rompt pas le silence. Il nous en offre le fruit. Ce qu’il a écrit dans ce livre n’est pas une théologie bavarde, une théologie qui veut charmer les médias, mais une lecture contemplative des Écritures. Ne croyez pas qu’il s’agisse de polémique, ni même d’une disputatio universitaire coupée du réel. <p align="right">Le Salon beige Janvier 2020 <a href= https://www.lesalonbeige.fr/celibat-des-pretres-benoit-xvi-sort-du-silence/ target=_blank>www.lesalonbeige.fr/celibat-des-pretres-benoit-xvi-sort-du-silence/</a>
Célibat sacerdotal .
4/5 Altaïr , poésie et tradition .
.----. Cet ouvrage traite du célibat sacerdotal dans l'Eglise catholique, une habitude fort contestée actuellement . Les auteurs défendent la thèse selon laquelle le prêtre est totalement donné à Dieu . Comme le Christ est vraiment l'époux de l'Eglise, le prêtre à son tour se livre pour toute l'église, sans possibilité de partage . Le célibat manifeste ce don . Cet ouvrage fit pas mal de bruit à sa parution, il fut même passablement éreinté dans les journaux catholiques "conciliaires". Raison de plus pour en prendre connaissance . [ " Altaïr " poésie et tradition - numéro 185 - septembre 2020 .Périodique trimestriel , éditeur responsable Jean Pierre Hamblenne BP 19 B-1420 - Braine l'Alleud - Belgique .]