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Deborath Lipstadt et l´holocauste ou la faillite d´une historienne militante

Référence : 91329
1 avis
Date de parution : 1 mai 2017
Auteur : RUDOLF (Germar)
EAN 13 : 0000000913294
Nb de pages : 264
20.00
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Description
Figure de proue de l'exterminationnisme aux États-Unis et de la communauté juive américaine, Deborah Lipstadt n'a pourtant d'une "historienne" authentique que le nom, en récompense de son discours toujours convenu et conformiste.
C'est ce qu'illustre ici, en donnant une leçon de probité intellectuelle, Germar Rudolf, avec à l'appui plusieurs centaines de références, employées à bon escient mais jamais sollicitées. Il ressort de cette analyse au scalpel d'un livre de D. Lipstadt réédité en 2016 et qui prétend en finir avec les "négateurs de l'Holocauste", que cette "historienne" ignore tout des principes et des méthodes d'une vraie science, ainsi que des règles élémentaires de la recherche académique. D. Lipstadt cite trop rarement des sources primaires et trop souvent des sources de troisième main, ne sait pas traduire les auteurs étrangers dont elle parle, surinterprète les données existantes quand elle ne les sort pas de leur contexte légitime. C'est une ennemie de la vérité qui ne conçoit l'histoire que dans une perspective ultra-partisane et toujours militante.
Grâce à Germar Rudolf, la démonstration est faite et l'hésitation n'est plus de mise : chez D. Lipstadt, zélatrice du discours officiel sur l'Holocauste, tout ou presque est à jeter !
TitreDeborath Lipstadt et l´holocauste ou la faillite d´une historienne militante
Auteur RUDOLF (Germar)
ÉditeurLA SFINGE (EDITIONS)
Date de parution1 mai 2017
Nb de pages264
EAN 130000000913294
Épaisseur (en mm)20
Largeur (en mm)142
Hauteur (en mm)220
Poids (en Kg)0.39
Les avis clients
Rudolf
3/5 DIONYSOS ANDRONIS
Cet ouvrage intéressant nous a été envoyé par e-mail de notre intellectuel préféré Franck Buleux. Donc nous l'avons lu uniquement sur internet. Nous aimerions vous reproduire une définition originale du mot "antisémite" qui se trouve parmi les premières pages : "L'antisémite était celui qui détestait les Juifs. Aujourd'hui, c'est celui qui est détesté par les Juifs." (op.cit. page 44). Inutile à vous préciser que cette définition est très logique puisque aujourd'hui les juifs sont détestés par tout le monde pour leur politique dominatrice pas seulement au moyen orient mais partout dans le monde. Donc ce serait logique qu'ils soient mutuellement détestés par leurs ennemis très nombreux, pas seulement les palestiniens. Germar Rudolf (né en 1964) est un Révisionniste allemand, chimiste de formation, qui est devenu le directeur du CODOH (comité de dialogue ouvert sur l'holocauste) basé aux états Unis. A travers cet ouvrage de 263 pages il nous raconte les raisons qui ont imposé l'ouverture de cette institution et aussi de toutes les autres similaires. Ainsi il a pris plusieurs pseudonymes comme Germar Schreeter ou Ernst Gaus qui a envisagé l'holocauste comme "une forme imagée du dialogue" (in "Pires que les chambres à gaz" de René Berclaz, éditions Cassandra, 2009, Sierre, page 8) . En tant que militant révisionniste il a été confronté plusieurs fois avec la loi sioniste internationale et incarcéré aussi. Sa première incarcération datait de 1995 : "Cela se produisit en 1995, lorsque je fus condamné à 14 mois de prison pour mes activités de recherche scientifique" (op.cit.p.41). Deborah Lipstadt est une professeur universitaire américaine et juive qui enseigne "la religion de l'holocauste" à ses étudiants. En tant que telle, elle a été plusieurs fois confronté avec les institutions présidés par Rudolf. Lipstadt raconte que "La négation de l'Holocauste est l'apothéose de l'irrationalisme" (repris in op.cit. p.54) et Rudolf réplique "Ou peut-être est-ce l'inverse: le fait qu'elle ait choisi le terme "négationniste" est sa façon d'insulter les révisionnistes afin de les dénigrer d'entrée de jeu. Le tout est de savoir si le révisionnisme de l'Holocauste, autrement dit la négation de l'Holocauste, possède ou non une valeur scientifique" (op.cit. p.55). Ce serait impossible pour Rudolf de ne pas mentionner les autres institutions révisionnistes américaines qui ont vu le jour comme l'I.H.R. (Institut of Historical Review) en 1978. Son co-fondateur serait Willis Carto (1926-2015) qui inaugura aussi le bulletin de l'institut. Mais "la situation changea en 1993, comme l'indique D. Lipstadt dans sa note 68 de la page 259, lorsque l'organisation qui chapeautait l'IHR (et non le Liberty Lobby, comme elle prétend) hérita de quelque 7,5 millions de dollars de la succession de Jean Farrel, petite-nièce de Thomas Edison (et non pas de 75 millions de dollars de la petite-fille d'Edison, comme Lipstadt l'affirme sans fournir de source)." (op.cit.p.136). Cette référence fait allusion à l'ouvrage de Lipstadt "Denying the holocauste", édité en 1993 pour la première fois. Mais nous allons vous présenter maintenant la raison pour laquelle nous avons adoré cet ouvrage sur les institutions de notre univers révisionniste. A la page 231 (un peu avant la fin, nous savons très bien qu'il ne fait pas révéler la fin mais cette exception s'impose à nous) Rudolf démythifie un roman malheureusement devenu 'classique". A la page 231 il écrit que ce roman a été rédigé par son père, puisqu'elle avait seulement 15 ans au moment de la rédaction. " Le fait qu'Anne Frank, jeune fille de 15 ans, n'ait pas été gazée à Auschwitz, mais ait été normalement enregistrée, puis qu'elle ait été transférée à Bergen-Belsen vers la fin de la guerre et y soit morte du typhus, comme des milliers d'autres Juifs, ne contredit pas la thèse révisionniste. Au contraire, l'histoire d'Anne Frank la renforce" (op.cit.page 231). Donc le "Journal d'Anne Frank" est un Faux et pas nos "Protocoles des Sages de Sion", que nous avons déjà présenté ici.